La Déshumanisation Des Juifs

(1935) Différents degrés de terreur : * En Allemagne : - camps de concentration ou on déporte les races « inferieure ». Niveau d’hygiène bas => création d’épidémie => certain meurt d’épuisement. Les 1ers camps ne sont pas réservés aux juifs mais aux homosexuels... Leur exécutions total est décidé est organiser en 1942, C’est « la solution finale ». - Camps spécialisé dans l’extermination (Auschwitz)  Spécificité nazis * Italie = il n’y a pas de camps. Mais arrestation amené

une fois d’un système de déshumanisation propre aux hommes marocains et qui est scandaleusement proche de ceux utilisés par Hitler lors des déportations dans les camps de concentration ? Les femmes marocaines ne sont-elles pas triées comme les déportés juifs ou tziganes ? Déshabillées ? Tatouées de sperme comme les marocains se plaisent à dire ? Matriculées par leurs numéros de téléphones…? Sachez que ceux sont là les étapes les plus significatives de la déshumanisation d’un individu : désormais

personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… On peut penser que le combattant affublé de son casque et de son masque a gaz fait référence à la déshumanisation des poilus: on ne voit chez lui rien d’humain, il assiste à la guerre, à l’Enfer sans avoir l’air de broncher. Des corps de soldats, des membres sont éparpillés : dans un arbre sur la gauche un cadavre propulsé : Le cadavre suspendu joue le rôle

conditions sur un terrain toujours aussi désavantageux pour les Français. Il s'agit là d'une des principales causes de ces refus de monter en première ligne. Condition du fantassin 1. 2. Brutalisation du conflit 3. Stress 4. Déshumanisation du combat et des soldats (shrapnell : obus remplis de lames de rasoir) 5. Souffrances psychologiques 6. Intempéries 7. Alerte permanente 8. Armement ne colle pas avec la technique de combat 9. No man’s land 10. Réinsertion

tatouage, était celle qui constituait une étape décisive dans la perte du nom et dans la déshumanisation de la personne, ce qui est plus courant à Auschwitz, où ils marquèrent une partie des déportés des camps de concentration et d'extermination d'un tatouage, sur l'avantbras, d'un numéro de matricule (tout comme les animaux de nos jours). Il y avait des codes pour les reconnaître ainsi, le numéro de certains Juifs était précédé de la lettre J, et le numéro de certains Tziganes de la lettre Z. Les nazis

d'une maladie grave : un décollement de la rétine à l'œil droit. 1973 : Vingt ans après son installation en France, Memmi adopte la nationalité française. 1975 : Violente polémique avec l'écrivain marocain Abdelkebir Khatibi lors de la parution de Juifs et Arabes. Les positions tranchées de Memmi sur la Palestine le coupent alors des intellectuels maghrébins dont il a pourtant permis le foisonnement. 1995 : Grand prix littéraire du Maghreb de la Fondation Nourredine Aba. PORTRAIT MYTHIQUE DU COLONISE:

le bolchevisme, LVF en France) ou à participer à des organisations paramilitaires comme la Milice qui aident les nazis à pourchasser les résistants et les Juifs dans les pays occupés. En Europe de l’est, les nazis s’appuient sur l’antisémitisme d’une partie de la population pour recruter des troupes qui participent à l’extermination des Juifs. Le pillage de l’Europe Afin de faire tourner l’économie de guerre allemande, le pillage des produits alimentaires, des matières premières et

argument clé pour démontrer la primauté de l’idéologie sur l’économie, il fut, en dernière instance, une politique qui allait à l’encontre de la « rationalité » économique. Mais cela n’apparaît qu’au dernier stade d’une évolution (confiscation des biens juifs par exemple) qui pendant longtemps demeura compatible avec les intérêts du capitalisme allemand. Enfin et surtout, toutes les composantes du « cartel du pouvoir » s’unirent pour préparer et déclencher la sauvage guerre de conquête qui fit du génocide

celui des déportés, fortement chargé de notes affectives (« nos parents, nos enfants »). L’auteur a mis en valeur d’un côté  l’utilitarisme des comportements, de l’autre la déchirure familiale que provoque la déportation, premier pas vers la déshumanisation, employant les termes ombres et masse. Le discours rapporté renforce l’absurdité des propos et l’incommunication qui règne dans une situation aussi cruelle. LE FOND Soif mais eau pas potable : « c’est cela, l’enfer. » « On ne peut plus penser

dans le métro pour traquer le marché noir) ou... accommodements avec la faim et le froid (L.Jardie qui réduit sa consommation de charbon et mange des rutabagas) l’engagement de fait de l’administration française dans la répression à l’encontre de juifs, des étrangers et des résistants : camp d’internement en zone sud, géré par l’administration et la gendarmerie française qui remettent Ph.Gerbier à la Gestapo, action de la milice (contrôle dans le restaurant où est arrêté Ph.Gerbier, à Lyon) l’aide