La Déshumanisation Des Juifs

facile. Les gens n’étaient pas considérés comme humain mais comme des fauves. Acheminés au camp dans des wagons à bestiaux dans des conditions abominables, sans hygiène et Sans eau, les nazis commencent leur boulot d'extermination, de déshumanisation envers les juifs à travers des humiliations destinées à saper systématiquement toute velléité de résistance. A travers le simple fait de les faire rentrer dans une salle entièrement vide et de leur demander de se mettre tout nu, cela les rabaisse

: coiffures, récurrence du rouge et du blanc éminemment symboliques dans les costumes des unes comme des autres, rapport proxémique souvent très intime qui exploite toutes les ressources de la marionnette portée → réification de l’individu, déshumanisation propre au processus d’extermination. Violence faite au corps des marionnettes et des marionnettistes : poupées démembrées ou aux têtes arrachées ; scène où les comédiennes, transformées en instruments de musique déglingués, ont les doigts/la

fait social. Répond à des causes extérieures à l'individu. -> Taux de suicide croît avec l'âge. -> Taux de suicide supérieure homme que chez femmes. -> Taux de suicide des protestants dépassent celui des catholiques qui l'emporte sur celui des juifs. Thèse multiplicité des causes de suicide : -> Altruiste : individus fortement intégrés à leur groupe. Incapable résister revers groupe familial ou social. -> Egoïste : Etat de dépression, d'apathie, livrés à eux mêmes. Manque autorité intégrative

également, on voit une main gantée déposer un timbre- poste dans la main artificielle d’un paraplégique, tandis qu’un autre handicapé se déplace sur une planche à roulettes. Celle-ci roule sur un tract antisémite où on peut lire « Juden raus » (les juifs dehors). Un de ses collages les plus admirés, Les joueurs de skat, est une satire amère du célèbre tableau de Cézanne Les joueurs de cartes. Trois personnages sont assis autour d’une table, jouant au skat, un jeu de cartes allemand. Les trois

multiraciales se déroulent en avril 1994, débouchant sur l'élection de Nelson Mandela, premier président noir de la république d'Afrique du Sud. Autres exemples du racisme mondial : l’Holocauste des juifs et des tziganes sous le régime nazi Les diverses spoliations sur les Juifs et les Lombards au Moyen Age Le système de la citoyenneté dans la République de la Rome Antique et dans les cités grecques (réservée à une minorité) L’esclavage des Noirs en Amérique L’antisémitisme

possédé est perdu. On peut élargir cette perte à la soumission à d'autres agents qui nous raviraient ce que l'on perd : ainsi en va-t-il de tel prisonnier, ayant perdu sa dignité en raison de mauvais traitements. Je pense notamment au processus de déshumanisation dans les camps nazis durant seconde guerre mondiale, dans les camps de concentration ou d'extermination. C. Larzeman dans Shoah dit "L'homme est le seul animal qui est capable de détruire ceux de sa propre espèce, la destruction de l'homme par

est tout autre. Si elle s’abat sur les opposants au régime, elle se concentre essentiellement sur un groupe que l’idéologie raciste développée par Hitler désigne comme des ennemis par nature, par essence de la « race supérieure » des Aryens : les Juifs, dénoncés comme membres d’une « race inférieure ». Cette distinction fonda© Nathan 2011, Histoire 1re coll. Sébastien Cote mentale est particulièrement mise en valeur par l’étude de la finalité des systèmes concentrationnaires. Dans l’URSS de Staline

incapable de transmettre son expérience. 1915-1916 : dans le même temps de la 1e guerre mondiale a lieu le 1e génocide : arménien 2nd guerre mondiale : Shoah, génocide contre les juifs et autres qui sidèrent a cause des chiffres,a cause de la mort scientifique d’un peuple et a cause des processus de déshumanisation exercés. 6 aout 45 : Hiroshima. De 75 à 79 : génocide contre la population Cambodgienne D’avril a juillet 94 : génocide des Houtous contre les Toutsi au Rwanda. ---) Dates catastrophiques

qu'ils ne peuvent pas, selon l'auteur, être véritablement compris par le lecteur. Le résultat de ceci est une destruction totale, autant physique (par les fours crématoires), que psychologique (le désespoir des prisonniers) ou morale (on retire aux juifs leur condition d'hommes). D'autre part, l'un des thèmes majeurs de Si c'est un homme est celui de l'incommunicabilité comme facteur de destruction : en effet, il faut comprendre rapidement les multiples ordres proférés en allemand si l'on ne veut pas

dans ce genre de roman, mais il n’en est pas moins poignant pour autant. A l’inverse de nombreux livres sur les camps de concentration, l’objectif de Valentine Goby n’est pas de raconter la vie d’une déportée, l’injustice, et le processus de déshumanisation de façon dramatique et émouvante, mais de montrer justement, la part de vie et d’humanité qu’on trouvait dans les camps. L’amitié, le rire, la solidarité, la naissance… c’est en cela que Kinderzimmer touche. Il est une véritable réflexion sur