La Désignation Des Gouvernants

l’objet est de garantir au groupe social son identité, sa cohérence et sa permanente. * Définition de la constitution : La constitution, au sens matériel c’est l’ensemble des règles relatives à l’organisation de l’état c'est-à-dire à la désignation des hommes qui exercent ce pouvoir à leurs compétences à leurs rapports mutuels. Le droit constitutionnel a pour objet la constitution de l’état. Paragraphe 2 : un droit supérieur de l’état Définition du droit constitutionnel : C’est le

choisir le modèle de gouvernement, de fixer le mode de désignation des gouvernants, et de préciser le mode d'exercice du pouvoir. En effet lorsqu'on a identifié le souverain, en fonction de son identité, on va fixer le reste (mode de désignation...) Le monarque est le souverain => mise en place d'une monarchie (absolue ou constitutionnelle). Choix également du mode de désignation, si monarque = pas forcément d'élection. Le mode de désignation se fait fonction du souverain. Si le souverain est la nation

de choisir le modèle de gouvernement​ , de fixer le mode de désignation  des gouvernants, et de préciser le mode d'exercice du pouvoir. En effet ​ lorsqu'on a identifié le  souverain, en fonction de son identité​ , on va fixer le reste (mode de désignation...) Le  monarque est le souverain => mise en place d'une monarchie (absolue ou constitutionnelle).  Choix également du mode de désignation, si monarque = pas forcément d'élection. Le mode  de désignation se fait fonction du souverain. Si le souverain est la nation

- Etc. Avec le Traité de Lisbonne, les symboles ont disparu. On est revenu à un traité tout ce qu'il y a de plus classique. Un groupe peut chercher à renforcer son unité "sur le dos de quelqu'un d'autre": le symbole est alors utilisé dans la désignation des adversaires. C'est notamment ce qui se passe en temps de guerre. Cf. l'axe du mal de G. W. Bush. Cela arrive également en temps de paix aussi: maccarthysme de la Guerre Froide. 2 La légitimation de l'ordre social Les outils symboliques

d'exercice du pouvoir, mais ces conditions peuvent être entendues de 2 façons. L'approche étroite du régime politique a notamment été défendue par Philippe Braud : il correspond à l'organisation du pouvoir politique, c'est à dire leur mode de désignation, leurs compétences respectives et les règles qui président à leurs rapports. L'approche large du régime politique a été défendu notamment par Duverger. Pour lui, ce n'est pas seulement l'organisation du pouvoir politique, le régime politique comprend

preuve qu’il est une pièce centrale de cette institution. Par ailleurs, si le citoyen se désintéresse du vote alors des problèmes peuvent surgir. Le suffrage peut être direct ou indirect. De Le suffrage universel direct est évidemment un mode de désignation légitime, mais qui peut être dangereux (cas de 1933 et d’Hitler en Allemagne) et pose de nombreux problèmes, notamment l’abstention ; Il faut s’interroger sur le civisme des citoyens. On peut reconnaître un droit aux citoyens, l’important reste

professionnels de la politique, homogénéisation / opinion publique existe-t-elle ? / Médias ; e-démocratie) 3- les pratiques politiques en démocratie (distinction entre le point de vue des citoyen et des gouvernants > pour citoyen : participation politique, comportements électoraux, mouvements sociaux / pour gouvernants : action publique). Examen : écrit 1h30 sur 10, 2 Q° sur 2 parties différentes (réponse claire, logique, argumentée ; référence ou illustration sont des +). Manuel de la biblio : P.Braud le plus

définir les règles juridiques relatives à la création et à la perception des recettes publiques (règle fiscal), il doit également définir les conditions dans lesquelles ses recettes sont réparties, présenté et affecté (droit budgétaire). Les principes gouvernant l’utilisation des recettes publiques de dépenses (droit comptable). -le droit constitutionnel qui a d’abord pour objet l’étude de l’Etat à travers l’analyse de son statut, son organisation et les rapports existants entre les représentants du pouvoir

sur la France. La démocratie ne se réalise pas seulement (cela n’a jamais été le cas !) par les partis politiques qui agrègent les préférences et préparent les élections, par l’accomplissement du « devoir électoral » du citoyen, puis la désignation des gouvernants ; elle utilise aussi des formes nombreuses de mobilisation qui influencent la décision politique et garantissent la vitalité de la démocratie. Le vote est l’acte-symbole de la participation politique, mais en fait, celle-ci dessine un univers

sein d'un même pays et dans l'espace entre plusieurs pays. L'intérêt général n'a pas fait l'objet d'une définition légale. Toutefois, une démarche pragmatique permet de qualifier d'intérêt général, l'intérêt qui est considéré comme tel par les gouvernants du moment. Toutefois, il existe des besoins incompressibles sinon irréductibles en ce sens qu'ils sont exprimés en permanence dans toute société organisée. Il s'agit notamment du maintien de l'ordre public ou de la gestion des services publics qui