La Désignation Des Gouvernants

constitutionnel, droit qui forme un ensemble de règles présidant à l’organisation et au fonctionnement de l’Etat et de ses administrations. Dans un régime démocratique, les citoyens ont un pouvoir de participation au pouvoir politique par la désignation de gouvernants au moyen d’élections périodiques ainsi qu’un pouvoir de contestation par la liberté d’opposition. La souveraineté passe ainsi de monarchique à démocratique. A travers cette souveraineté démocratique coexistent ainsi deux conceptions de

population totale entre 250 000 et 300 000 habitants. Une cité qui se construit sur l’exclusion drastique des non citoyens. En gros, on a 1/10eme de citoyens. Par contre, a l’intérieure de la citoyenneté, il n’y a pas de différenciations entre gouvernants et gouvernés. On peut dire que la société politique Athénienne est indifférencié. On estime que la participation citoyenne atteint un haut degrés . D’abord, tous les citoyens participent aux travaux de l’Ecclésia qui est l’assemblée des citoyens

PARTIE 1- THEORIE GENERALE DU DROIT CONSTITUTIONNEL Chapitre 1- Le cadre de l’exercice du pouvoir Section 1- L’État Trois acceptions courantes du mot Etat :  Il désigne d’abord les pouvoirs publics : les gouvernants par rapport aux gouvernés. Le domaine de l’Etat s’oppose à celui de la société civile.  Il désigne aussi le pouvoir central (Paris), par opposition aux collectivités locales.  Il désigne enfin, plus globalement, une société politique organisée (en ce sens, on parle

de la faiblesse des taux d’intérêts et de conditions de prêt assez ‘généreuses’ à cause de la surliquidité qui caractérisait les marchés financiers. Cette situation, plutôt favorable, était en même temps un argument de taille pour persuader les gouvernants du Sud à engager de gros investissements d’infrastructures financés par les emprunts et les crédits extérieurs. La nouvelle donne de la dette, qui a émergé au cours des années 80’sous l’effet du nouvel ordre capitaliste mondial, se caractérise

la société actuelle et ce besoin de retour en arrière montre bien la volonté d’inverser le progrès. En outre, on peut dégager certains idéaux ou valeurs communes aux extrêmes-droites : hostilité à la classe politique, opposition à l’oligarchie gouvernante, une référence constante à une identité sociale-populaire, l’anticommunisme, vouloir des changements radicaux, opposition à l’égalitarisme, culte du chef, de l’autorité, la force, la nation et la virilité. De toutes ces valeurs découlent deux tendances :

Paris 2003, 126 pages Roland Pérez_, agrégé de sciences économiques et de gestion, est professeur émérite à l'université de Montpellier. Il travaille sur les stratégies industrielles et financières et les questions sociétales de management et de gouvernante. Il préside le conseil scientifique de la Revue française de gouvernance d'entreprise (RFGE) éditée par l'Institut français des administrateurs (IFA)._ Ce livre est une synthèse d’économie sur la gouvernance de l’entreprise. Il est convenu d'appeler

et le Parlement, à des places qui permettraient cette représentation nationale. Sous la 6ème République, le Président de la République se verra réduire ses pouvoirs, jugés beaucoup trop importants, et une remise en question des modalités de sa désignation se fera. Le Gouvernement sera, lui, réellement issu de la majorité parlementaire, et devra rendre des comptes à une Assemblée Nationale qui sera, sous la 6ème République donc, souveraine, délibérante, et représentative : elle sera notamment élue

plusieurs étapes et aboutit à la désignation de l'élu par des intermédiaires eux-mêmes élus. Le recours à un tel système se justifiait à une époque où les communications étaient difficiles. L'électeur de base devrait déléguer son droit de suffrage à quelqu'un qui avait la même option politique que lui. Ce système était appliqué le plus souvent dans les régimes dits révolutionnaires. Le scrutin indirect a pour avantage d'opérer un "filtrage" dans la désignation des gouvernants, dans la mesure où ceux-ci

Le constitutionalisme étant historiquement un mouvement issu du siècle des lumières qui visait, en réaction le despotisme et l’absolutisme royal a doté les États d’une constitution écrite pour d’une partie encadrer, voire limiter le pouvoir des gouvernants, d’autre part, garantir les droits et libertés des gouvernés. Il fallait une juridiction pour assurer la norme fondamentale. Ainsi, la justice constitutionnelle s’étend de toute fonction juridictionnelle ayant pour but d’assurer la suprématie et

l’ordre ancien). Cette haine prend 3 formes : racial, social et national. b- La dimension idéologique Le totalitarisme repose sur une doctrine élaborée qui se définie elle-même comme scientifique et qui est censé justifier la conduite des gouvernants. Cette doctrine s’appuie sur un substrat idéologique qui permet de considère le totalitarisme comme un mythe du salue dans le monde. Un groupe humain est présenté comme l’avenir de l’humanité est sa seule expression légitime. Ce groupe qui est attaqué