La Filiation Par Le Sang

un pont entre le problème initial sommes-nous issus d’un seul (la terre) ou bien de deux (homme et femme) et le problème dérivé le même nait-il du même ou bien de l’autre. Par ce moyen une corrélation se dégage : la surévaluation de la parenté de sang est à la sous-évaluation de celle-ci comme l’effort pour échapper à l’autochtonie elle a la possibilité d’y réussir. » Lévi Strauss : la culture grecque utilise le modèle végétal pour penser la génération humaine. D’autre part il est manifeste qu’il

déesse de l’amour, est toute puissante « redoutable » → hyperbole qui fait de Phèdre une victime. L’acharnement de la déesse fait référence à la tragédie familiale, depuis qu’Hélios, ancêtres de Phèdre, à révélé les amours adultères de Vénus : « d’un sang qu’elle poursuit » → Métonymie qui désigne la famille qui sera toute entière la cible de la vengeance. C’est par l’amour malheureux que Vénus a sa revanche → métaphore des feux, amour passionné mais désespéré = tourment. Le verbe « poursuivre » insiste

caractéristiques communes résultant de contacts historiques dans une zone définie. b) Ankerman et Graebner (Allemagne) furent frappés par les ressemblances que présentaient différents objets des collections du Musée de Berlin ce qui laissait supposer une filiation entre certains peuples. Leur schéma explicatif général voulait que tout développement culturel parte d’un centre, d’un foyer et se diffuse aux alentours comme des ondes dans une mare. Un tel modèle n’envisageait pas d’obstacles à cette diffusion

détruire » 1) le droit des personnes : le principe des droits dfes personnes est qu’il doit être laïque. Le cc conserve de la révolution l’idée de la laïcité, le mariage est donc civil désormais, il garde le divorce mais le rend très rare, on permet la filiation hors mariage mais on la rend difficile, on donne des droits à l’épouse mais on la place sous la puissance du mari. 2) Les droits matrimoniaux : le cc garde la notion de propriété, il va garder la liberté du commerce, la liberté contractuelle, il

« adorais » 286 Vers 283 : chiasme adj-nom/nom-adj ………………………………………………………………… qui mime l’enfermement de Phèdre dans cet amour : elle est prise au piège, ne trouve aucune issue. 3) Le poids de l’hérédité Les références à la filiation maudite sont nombreuses : « Vénus », « Ariane », le sang, ; champ lexical de la fatalité

les époux et leur famille mutuelle. Le lien d’alliance existe en ligne directe (beaux-parents, bru, gendre) et en ligne collatérale (beaux-frères, belles-sœurs). La Parenté : Lien du sang résultant de la filiation. Rapport juridique qui va s’installer entre personnes soit par un lien d’alliance, soit d’une filiation sanguine ou adoptive, soit en ligne directe ou collatérale. La parenté englobe beaucoup plus de personne que l’alliance. Ligne Collatérale : C’est le lien qui existe entre des personnes

principalement pour les héritages. C’est une règle ou l’on trouve des applications particulières dans le code. Article 312, « l’enfant conçu ou né pendant le mariage, a pour père le mari ». Si le mari décède avant l’accouchement, l’enfant aura quand même une filiation paternelle établie. Deuxième application dans le code, article 725 « pour succéder, il faut exister à l’instant de l’ouverture de la succession…. » Règle généralisée par la jurisprudence : Arrêt 8 mars 1939. L’enfant simplement conçu pourrait

l'enfant à travers son don ou son abandon aux parents d'intentionNote 5. Très tôt, différents auteurs ont toutefois contesté la pertinence, et même l'existence, de ce principe, en mettant en avant les multiples dérogations qu'il rencontre : don du sang, don d'organe, contrat de nourrice, et même, dans une certaine mesure, certains contrats de travailNote 6. Par la suite, le législateur de 1994 donna quelque crédit à cette critique en ne consacrant pas ce principe d'indisponibilité dans le chapitre

international. 1. Les sources internes a. La loi La loi joue un rôle très faible ds le DIP. En 1804, il y avait 3 textes sur le DIP : art 3, 14 et 15. Auj qq dispositions sur la filiation et le divorce. Ds le Cciv il y a eu des ajouts au moment de la réforme du divorce et de la filiation. Quand la loi est muette il faut trancher un litige et ds ce cas celui qui énonce la règle est le juge. b. La jurisprudence La JP a élaboré ts les gds arrêts du DIP. Elle joue le rôle

existants. Pour chaque membre de la Commission, participer à cette réflexion était une lourde responsabilité, en même temps qu’un challenge passionnant. Le champ confié à la Commission par la lettre de mission du Garde des Sceaux était immense : la filiation, l’autorité parentale, le divorce avaient chacune fait l’objet d’une grande loi après de longs débats ; quant à la situation successorale du conjoint survivant, elle avait fait la matière de plusieurs pré-projets qui n’avaient pu aboutir. Réunir