La Fille Fable

Niveau : licence 2 SOMMAIRE INTRODUCTION I. DIFFERENCE DANS LA FORME II. DIFFERENCE DANS LE FOND III. DIFFERENCE AU NIVEAU DES PERSONNAGES CONCLUSION Conte, mythe, épopée, légende, fable, merveilleux, facétieux, etc. Difficile de s'y retrouver dans les différents genres de la littérature orale, d'autant qu'ils s'interpénètrent fréquemment et que certains récits peuvent, selon leur version, appartenir à l'une ou l'autre des catégories

mythique de Don Juan serait né d'un fait divers3 rapporté par la Chronique de Séville. Selon la légende, il aurait vécu au XIVe siècle : fils de l'amiral Alonso Jofre Tenorio, Don Juan Tenorio aurait tué le commandeur Ulloa dont il avait séduit la fille, et les moines du couvent où fut enterré le commandeur, outrés de cet acte, l'auraient assassiné et fait disparaître le corps, racontant ensuite qu'il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer comme châtiment de ses fautes et de son refus

évoque son expérience de résistant. L'œuvre rencontre un certain succès. En 1949 paraît Le Corbeau vient le dernier. Ces deux œuvres naissent dans l'atmosphère néoréaliste mais sont empreintes, la première surtout, d'un style qui se rapproche de la fable. En 1952, sur les conseils de son éditeur, il abandonne sa manière néo-réaliste et se laisse aller à ses penchants pour le conte fantastique, à travers Le Vicomte pourfendu qui formera, avec Le Baron perché et Le Chevalier inexistant, la célèbre trilogie

composé de quatre textes poétiques issus d’époques différentes. Le premier texte est un sonnet de Joachim Du Bellay intitulé « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon oeil… ». Il est extrait des Regrets et est publié en 1558. Le deuxième texte est une fable de Jean de La Fontaine intitulée « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion ». Le troisième poème est un sonnet de Paul Verlaine, « L'enterrement » extrait des Poèmes saturnien. Enfin, le dernier texte est une œuvre d’Arthur Rimbaud

nirtWÏïr crtf ^ffVijTaLv / ê 9 Q La petite fille qui aimait trop les allumettes ou la métaphore du Québec Gaétan Soucy La petite fille qui aimait trop les allumettes Aurélien Boivin Troisième roman de Gaétan Soucy, qui a déjà publié L'Immaculée Conception ( J 994) et L'acquittement (1997), La petite fille qui aimait trop les allumettes' été acclamé par ba critique, tant québécoise que française, au moment de sa parution en 1998. Grande vedette du « Printemps du Québec à Paris

« faith-based ». Mais la guerre compte plusieurs petits fronts, moins visibles. Les commissions scolaires, par exemple. Certaines sont noyautées par des chrétiens républicains. Ça donne des écoles où il faut enseigner le créationnisme, cette fable selon laquelle le monde fut créé en sept jours par un barbu bienveillant. Écoles où on ne peut pas parler de condoms... L'ultime rêve mouillé des born-again engagés dans le Parti républicain? Placer suffisamment de juges conservateurs à la

interprétation Seconde partie Fables en échos et résonances poétiques Quelques outils pour les mises en réseaux des fables de La Fontaine I: Le corpus des fables De La Fontaine II: Les sources III: La fable après La Fontaine, la continuation poétique du genre IV: La postérité des fables De La Fontaine, allusions, réécritures et transpositions. IV.1.: Allusions, citations et influences dans les poèmes contemporains IV.2 : Détournements, pastiches

des vers est immediate : dès le depart du premier personnage, la voisine va repeter et cela rend un aspect encore plus comique a la fable.L’augmentation de cet aspect est croissant. Au début, c’est un oeuf que l’homme a pondu, mais a la fin de la fable la rumeur s’est aggrandie et l’homme aurait alors pondu plus de cent oeufs. Mais ce tableau de la femme impatiente et bavarde ne serait pas complet sans un dernier défaut: la propention (= tendance à mentir). III. La femme menteuse 3.1

Enfin, les poètes peuvent puiser leurs idées dans des thèmes déjà étudiés par les anciens poètes comme l'amour et la nature avec la Pléiade, la guerre et la mort au Moyen-Âge… Ainsi, dans "Demain, dès l'aube" (1856) Victor Hugo fait le deuil de sa fille décédée. En plus d'être un atout pour la création poétique, l'héritage est aussi une source d'inspiration des poètes. Depuis des siècles, les poètes utilisent les oeuvres de leurs prédécesseurs afin de s'inspirer eux-même. Certaines poésies apparues

première phrase. « Le Racisme expliqué à ma fille », T. Ben Jelloun. T. Ben Jelloun définit la raciste comme un homme qui considère sa race et ses coutumes comme supérieures aux autres alors que si les différences socio- culturelles sont incontestables , elles ne doivent pas masquer pour autant une égalité de nature à l’intérieur de l’espèce humaine. Il utilise le dialogue argumentatif et un ton très didactique pour donner à sa fille une définition simple, précise et objective en