La Flagellation du Christ

d’Orléans (un évêque) va développer cette notion de ministérium regis, ordonnant au roi de gouverner le peuple de Dieu avec équité et justice pour qu il puisse connaître la paix et la concorde. Pour les carolingiens, leur rôle est de préparer le retour du Christ sur terre, de convertir la population, et faire en sorte que toutes les règles divines soient respectées. b)les liens de fidélité Charlemagne, à la suite de trahison et d’attentats, remet en vigueur l’ancien serment de fidélité publique qu’il

dogme chrétien en copiant le principe idéologique, à savoir que le Roi a un corps physique, charnel (le Roi est un homme), mais il a également, à partir du sacre, un corps mystique qui le distingue des autres hommes et l’associe à la mission de Jésus Christ : le salut. Les théologiens relèvent plusieurs caractères du corps mystique : il est immuable, éternel et peut passer d’un individu à un autre sans être altéré. Il ne faut pas mélanger l’institution royale et l’Etat. Il y a en effet, le Roi en tant

délégation de pouvoir faite aux magistrats, et le roi ou le chancelier enregistre de force le texte. Cette procédure montre un conflit grave entre le roi et ses parlements. Le plus célèbre est celui de mars 1766 fait par Louis XV, la séance de la flagellation des suites d'une exaspération du roi face à son parlement devant des réformes financières. Il arrive au parlement de Paris au cours d'une partie de Chasse, en tenue, avec sa cravache en main, fait lire un discours à son chancelier, rappelant que

régionales d’ermites suivent une règle tout en conservant leur autonomie, leur autarcie. La 1ère règle est apparue vers 320 et est du à Pacôme à Thèbes en Egypte. Cette règle est fondée sur la prière, la chasteté, la pauvreté et sévérité par la flagellation. La 2ème règle apparait vers 360 et est du à Basile en Asie mineure, elle insiste sur la méditation et sur l’obéissance (mouvement vers le monachisme pur). On n’a là la base répondant à une règle. En Occident, le mouvement est connu par la venue

mènerait à l’union de la chrétienté. Ex : Texte du 9e s après JC de l’archevêque de Lyon Agobard qui ne rêvait à l’unification des droits adresse à Louis le Pieux (fils de Charlemagne) un texte où pour résumer est dit : « comment unit dans le corps du christ peut-on être diviser dans le droit ». A partir du 9e s, les droits barbares sont de moins en moins allégués en justice due à une évolution des mentalités et des mœurs. On ne réfléchit plus en terme d’ethnie, on se sent plus proche de l’endroit où

la Semaine Sainte, ces indécents spectacles qu’on appelle ‘’la Passion’’, la moitié de la salle est remplie de Juifs, exultant à la pensée qu’ils vont mettre une seconde fois le Christ sur la Croix, au moins en effigie. Au concert Lamoureux, j’avais pour voisin, un jour, un riche banquier juif. On joua ‘’l’Enfance du Christ’, de Berlioz, il était consterné. Mais il retrouva bientôt l’expression de béatitude en entendant ‘’l’Enchantement du Vendredi-Saint’’. » (II, pages 1104-1105). Marcel lui ayant

devient à la fois principal ministre et général des armées. 12 Au IXème siècle, l’archevêque de Lyon Agobard s’indigne d’une telle situation directement auprès de l’Empereur Louis le Pieux, fils de Charlemagne : « Comment accepter qu’unis dans le Christ, les sujets de l’Empereur chrétien restent désunis par la diversité des lois ? Plût au ciel qu’unis sous un seul roi très pieux, tous fussent régis par une seule loi ! ». 13 Pour ce faire, l’Eglise utilise le droit matrimonial, que les conciles du

l’interpréter, la commenter. Pour les grecs, les hommes sont doués de raison, ils ne peuvent pas connaître parfaitement la loi de la nature, mais ils peuvent sans cesse s’en rapprocher. Le christianisme est l’héritier de ces deux conceptions. Le christ est un juif, il ne remet pas en cause création du monde par être extérieur, il ne remet pas en cause la Thora. Mais en même temps, une partie des Chrétiens pensent que Dieu a créé un monde ordonné, rationnel. Et qu’il a créé  des hommes capables de

toujours vivant, devint l'expression d'un cœur presque effrayé de son bonheur, en présence des splendeurs d'un périssable amour qui durait encore et venait l'agiter au delà de la tombe religieuse où s'ensevelissent les femmes pour renaître épouses du Christ. L'orgue est certes le plus grand, le plus audacieux, le plus magnifique de tous les instruments créés par le génie humain. Il est un orchestre entier, auquel une main habile peut tout demander, il peut tout exprimer. N'est-ce pas, en quelque sorte

toujours vivant, devint l'expression d'un coeur presque effrayé de son bonheur, en présence des splendeurs d'un périssable amour qui durait encore et venait l'agiter au delà de la tombe religieuse où s'ensevelissent les femmes pour renaître épouses du Christ. L'orgue est certes le plus grand, le plus audacieux, le plus magnifique de tous les instruments créés par le génie humain. Il est un orchestre entier, auquel une main habile peut tout demander, il peut tout exprimer. N'est−ce pas, en quelque sorte