La Fontaine Les Obsèques De La Lionne

C’est quand devant le roi, d’un visage hypocrite, Ils se prennent à rire et ne savent pourquoi. Texte 2. La Fontaine, Fables, 1668-1694, VIII, XIV, « Les Obsèques de la Lionne » La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut Pour s’acquitter envers le Prince De certains compliments de consolation, Qui sont surcroît d’affliction. Il fit avertir sa province Que les obsèques se feraient Un tel jour, en tel lieu ; ses prévôts y seraient Pour régler la cérémonie, Et pour placer la compagnie

Jean de la fontaine, né 8 juillet 1621 à château thierry et mort le 13 avril 1695 à paris est un poète francais de grande renommée, principalement pour ses fables. IL fut membre académie fr et courant classicisme. Dans son œuvre, fables fontaine, il va principalement animaliser mœurs cour afin de se dédouaner de ses critiques. Sorti en 1678. Ici, dans obeque lionne, nous allons parler de personicifaction. En effet, personifie animaux en leur faisant agir comme des humains. Dans cet extrait, [PRESENTE

Grande vivacité de cette chronique de la cour, audace de la Fontaine parce qu’il ne se contente pas d’allusions, de critique indirecte. Ici il prend la parole directement, ne parle plus derrière le masque des animaux, désapprouve les courtisans et les rois (mais pas le roi, quand même). Nous avons donc vu que la cérémonie des obsèques de la Lionne tournait à un cérémonial de cour empreint de flatterie et de mensonge, pratiques suscitées par un pouvoir royal tyrannique et brutal. Fable polyphonique

abus du pouvoir. La fable « Lesobsèques de la lionne » a été écrite au XVIIe s; en 1885 Zola crée l’une des plus importantes œuvres de son répertoire : Germinal ; « Ubu roi » est écrit à la fin du XIXe s. Pour arriver à convaincre, lesauteurs cités emploient des registres différents àfin de persuader ou de convaincre. Dans un premier temps, «Les obsèques de la lionne » est une critique du système monarchique absolu. Lespersonnages principaux, le Roi lion et le cerf, correspondent aux idées de la crédulité

texte : Le Lion, le Loup et le Renard, Jean de La Fontaine. Introduction Jean de La Fontaine est un poète et moraliste du XVIIème siècle. Il a été tenu à l'écart de la cour du roi Louis XIV pour des raisons politiques, mais a connu le succès grâce à ses Fables et ses Contes. Ses Fables sont du genre de l'apologue, c'est-à-dire que c'est un récit plaisant et imaginaire, contenant une morale. La Fontaine renouvelle la forme de la fable grâce à son écriture poétique. Cette fable Le Lion, le Loup

Margaux FRANCAIS : La Fontaine . DASCON 1es4 Première fables choisie : Le corbeau et le Renard . Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : "Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau*. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix* des hôtes de ces bois." A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle

I L’art du récit 1.Rapidité,variété et l’enchainement des actions Le schéma narratif de l’histoire révèle une articulation des événements très maitrisée Sit initale: mort et preparation des obsèques de la lionne ( v1 a v16) avec digressions de l’auteur v11 et commentaire de 17 a 24 Element pertubateur: le cerf ne pleure pas (v25 etv28). Le narrateur explique sa conduite avec l’analepse v26-27 Péripetie:delation v29 et la condamnation a mort du cerf invention du songe( la reine l’a obligée

La Fontaine, réputé pour ses critiques plutôt ouvertes à travers les animaux, à pourtant traité d'un sujet assez complexe : la mort. Dans le livre VIII de son recueille de fable c'est un sujet assez présent, ce qui amène à se demander Comment La Fontaine à travers ces fables présente-t-il la mort et quels attitudes les hommes ont-ils face à elle ? Pour répondre à cette question nous verrons dans un premier temps comment est présenté la mort et les sentiments des hommes face à elle, ensuite nous

politique * Critique des cérémoniaux qui établissent une hiérarchie rigide : des courtisans déshumanisés, sortes de pantins mécaniques. * Abdication de toute individualité : un personnage collectif qui n’a pas d’âme (rappel de La Fontaine : « Les obsèques de la Lionne » : « On dirait qu’un esprit anime mille corps / C’est bien là que les gens sont de simples ressorts »). Ici, utilisation du pluriel : « ceux qui… », « les grands », « ils » ou d’un mot collectif (« ce peuple ») soumis à la volonté

LA FONTAINE Livre VII : - Les Deux Coqs : Il ne faut pas parler trop vite ou se venter lorsque nous sommes vainqueur car la situation peut se retourner contre nous même. Il est inutile de se venger, la vie s'en charge pour nous. - La Laitière et le pot de lait & Le Curé et le mort : Ces 2 fables sont différentes mais ont la même morale, il faut rester réaliste et ne pas prendre pour acquis ce que l'on ne possède pas encore, car tout peut se briser d'une minute à l'autre. - La Cour du lion : Il