La Fourragère

ovin reste l’unique activité rémunératrice des populations. Cet élevage était caractérisé dans le passé par la mobilité (nomadisme et transhumance), l’exploitation collective des ressources pastorales des parcours, l’abondance des disponibilités fourragères sur les parcours et l’importance des relations sociales. Aujourd’hui, cet espace pastoral valorisé par l’élevage ovin change complètement de visage où les systèmes de production ont tendance à la sédentarisation, l’accès à la propriété privée

du cotentin sont de type limono argileuses profondes. Ces sols sont généralement proches de la neutralité avec un PH compris entre 6,5 et 6,8. Ils sont donc favorables sur le site de Béthanie comme dans tout le cotentin à toutes les productions fourragères. 2.2. L’hydrographie A l’image du département, le cotentin est bien pourvu en rivières. Le Merderet à l’est de l’exploitation et la Douve au sud délimitent certaines parcelles de marais (6 hectares). Ces parcelles ne sont utilisables que

Un paysage adapté à l'activité agricole : Le bocage est idéalement adapté à la production fourragère et à l'élevage en pâturages, et offre également des ressources fruitières, en gibier et en champignons bien plus importantes que dans le cas de l'openfield. Une meilleure rétention et protection de l'eau ainsi qu'une forte limitation de l'érosion

l’amélioration des pâturages, l’approche pluridisciplinaire est souhaitée pour entre prendre des opérations techniques allant dans le sens d’une meilleure gestion des parcours. Ces opérations consistent ente autres, à la mise en place de banque fourragères ligneuses à haute valeur nutritive et fertilisante, l’amélioration des jachères, la mise en défense, la rotation des parcelles pâturées. Enfin la mise en place des programmes forestiers nécessite un système d’information efficace qui comprendra

Les variétés maraîchères sont cultivées comme des plantes annuelles car ce qui intéresse le jardinier est la racine tubérisée et non la graine. La plupart des variétés présentent une couleur orange caractéristique. Il existe aussi des carottes fourragères blanches. Des variétés anciennes aujourd'hui en voie d'extinction (cf catalogue des espèces et variétés) sont aussi de couleur rouge, violette ou jaune.

que cela puisse sembler élémentaire en apparence, la réalité est beaucoup plus complexe, car de nombreuses variables entrent en ligne de compte, notamment la fluctuation quotidienne des prix au comptant, les prix à terme, les prix des céréales fourragères, le risque de change lié au fait que le marché et les prix des bovins canadiens sont fondés sur le marché des ÉtatsUnis, et le risque de base – c’est-à-dire l’écart entre le prix local et le prix offert sur un autre marché. Remarque : le risque

activités suivantes: L'élevage (camelin seul, bovin avec quelques ovins/caprins); La phoeniciculture; Les cultures sous pluie; Les cultures de décrue; Les cultures irriguées; Les cultures maraîchères; Les cultures fruitières; Les cultures fourragères; La pêche; L'artisanat; Le bois de chauffe et le charbon de bois; L'émigration saisonnière ou internationale. Cas où le producteur rural combine, en fonction de ses besoins et moyens ainsi que son milieu (conditions agro- écologiques et socio-économiques)

performantes sont proposées à l’inscription au catalogue officiel. Inscription au catalogue officiel Au cours des 10 dernières années la SONACOS a inscrit en collaboration avec ses partenaires, 74 nouvelles variétés de céréales d’automne, de fourragères, maïs, tournesol et pomme de terre, et dont la répartition par espèce se présente comme suit : Espèces Nombre de variétés inscrites au Catalogue officiel marocain Blé tendre 18 Blé dur 17 Orge 12 Triticale 4 Avoine 4 Vesce 2 Féverole 1

d’affaires : | 570 000 000 Dhs | Nombre d’adhérents : | 144 dont 49 coopératives (7 500 producteurs) | Cheptel bovin : | 36 000 têtes dont 18 500 vaches laitières | Superficies : | *Agrumes : 3 200 ha | | *Primeurs : 1 000 ha | | *Cultures fourragères : 1500 ha | 2. Historique Comme le témoigne son historique, la COPAG a su se tisser une histoire riche et prometteuse. Son développement a passé par les étapes suivantes : 7/05/1987 : Création de la COPAG par 39 producteurs de la région

ha grandes cultures (dont 12 ha maïs ensilage) 70 UGB totaux 350 000 l quotas (vaches laitières) Ce système est présent dans les cinq départements des Pays de la Loire. Un élevage laitier de 70 UGB totaux (bovins ou caprins) valorise la surface fourragère (SFP) de 56 ha, soit un chargement de 1,25 UGB par hectare de SFP. Les terres assolées ont de bons potentiels. Les textures sont variables d’un département à l’autre allant d’argilo calcaire à limono sableuses. 25 ha sont irrigables. Ces parcelles