La Gazette de l'Hôtel Drouot

à la fontaine de la place du marché. Arrivé au coin de la rue Poichevert, il tourna à gauche et se dirigea vers la mairie. Il y entra, puis sortit un quart d’heure après. Un gendarme était assis près de la porte sur le banc de pierre où le général Drouot monta le 4 mars pour lire à la foule effarée des habitants de Digne la proclamation du golfe Juan. L’homme ôta sa casquette et salua humblement le gendarme. Le gendarme, sans répondre à son salut, le regarda avec attention, le suivit quelque temps

fichiers constitués aux Archives nationales depuis quinze ans, dans le centre que dirige avec compétence Madame Marianne Mulon, peuvent rendre d'autres services que ceux dont profitent les chercheurs qui ont la chance de fréquenter les salles hautes de l'Hôtel de Clisson. Il m'a semblé qu'une telle publication pouvait être utile. Au moment où, en ville comme à la campagne, le réaménagement de l'espace bouleverse la toponymie, et où les facultés d'invention de nos contemporains doivent s'appuyer sur une

de « chose sacrée » sont toujours mystérieuses, comme celles qui font qu'on peut donner une valeur à cette chose, sans trop savoir laquelle. Les commissaires-priseurs vendent toujours des « reliques » sous des rubriques diverses : la Gazette de l'Hôtel Drouot emploie les mots « religiosa », « art sacré », « archéologie » ou encore « curiosa » pour qualifier ces choses « sacrées ». Il existe ainsi des paramètres pour évaluer un reliquaire bakota, comme nous le rappelle, en 1967, la revue Connaissance

de l’approvisionnement III.4.3.2 1. La réglementation limite les particuliers non inscrits au Registre du Commerce et des Sociétés à vendre exclusivement des objets personnels et usagés, n’ayant pas été achetés 179 Source : La Gazette de l’Hôtel Drouot, Guide juridique des enchères - Le régime juridique des brocantes Actualisation du panorama de la deuxième vie des produits en France – Inventaire des structures du réemploi et de la réutilisation. 279/313 Octobre 2012 ou fabriqués