La Gestion Du Risque Opérationnel Microfinance

manière incontrôlé a contribue à de nombreux cas de faillite qui ont asséchés les maigres économies d'une population devenue très frileuse, au risque de compromettre lourdement les chances de suivie du secteur et surtout de consacrer définitivement la défiance d'une grande frange des populations de la zone à l'égard de tout organisme. Au regard de ce risque de faillite et ses conséquences fâcheuses sur les épargnants et enfin de permettre au secteur de jouer pleinement son rôle comme instrument de

d’états informatiques logiques, de statistiques des interventions. Ainsi les clients disposent d’éléments pertinents pour évaluer le service réalisé. Comparé à un produit, le service reste souvent intangible. Le client perçoit donc un risque supérieur. Pour atténuer ce risque, il recherche des éléments concrets d’évaluation. C’est pourquoi, il vaut mieux baliser la réalisation du service par la proposition d’indices tangibles dans les phases qui précèdent et qui suivent sa réalisation (cf. figure 6.2)

Des Assises Nationales De L'Action Sociale Au Sénégal REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple- Un But- Une Foi ------------------------------------------------- MINISTERE DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITE NATIONALE, DE L’ENTREPRENARIAT FEMININ ET DE LA MICROFINANCE ------------------------------------------------- ASSISES NATIONALES DE L’ACTION SOCIALE Premium8274 Mots34 Pages Analyse De La Promotion Touristique Du Sénégal INTRODUCTION Le tourisme est le fait de voyager dans, ou de parcourir pour son plaisir

marocaines. Ce projet financé par l’Union européenne et géré par la CGEM est composé de 21 thèmes de formation, d’une formation de formateurs et de 5 conférences thématiques spécialisées axées autour des 5 modules (Module Management Associatif Opérationnel, Module Management Associatif Stratégique, Module Services aux Adhérents, Module Marketing & Communication Associative et Module Partenariat, Réseautage & Lobbying Associatif). Ce séminaire de formation a été l’occasion pour présenter le consortium

multiples risques, et la maîtrise de ceux-ci devient un défi important à relever. L’idée d’un engagement sans risque relève d’un mythe, car le risque est inhérent à toute activité bancaire. L’idée d’un risque zéro est donc un concept loin de la réalité. Il y a toujours un risque résiduel après avoir couvert le risque principal. En effet, au sein des institutions bancaires, la maîtrise du risque, sa gestion, la spécialisation dans les activités et l’anticipation surtout dans la gestion de l’encaisse

d’états informatiques logiques, de statistiques des interventions. Ainsi les clients disposent d’éléments pertinents pour évaluer le service réalisé. Comparé à un produit, le service reste souvent intangible. Le client perçoit donc un risque supérieur. Pour atténuer ce risque, il recherche des éléments concrets d’évaluation. C’est pourquoi, il vaut mieux baliser la réalisation du service par la proposition d’indices tangibles dans les phases qui précèdent et qui suivent sa réalisation (cf. figure 6.2)

contrat par l’autre. Hadith : Recueil des paroles et actes du Prophète, notamment lorsqu’il était sollicité pour trancher un différend. Halal : Ce qui est autorisé au titre de la loi islamique car conforme à la Charia. Idjara : Contrat de bail opérationnel en vertu duquel les responsabilités du propriétaire justifient le paiement d’un loyer. Ijtihad : Interprétation faite par un expert de la jurisprudence islamique, notamment un érudit siégeant au conseil de la Charia d’une institution financière

relative (résultats / objectifs) - efficience : mesure selon laquelle les ressources (fonds, expertise, temps…) sont convertis en résultats de façon économe (résultats / moyens) - outputs (« extrants opérationnels ») : biens et services produits par le programme. Ce sont des variables opérationnelles qui peuvent être mesurées par l’organisation elle-même. - outcomes (impacts, effets) : effets à long terme, positifs et négatifs, primaires ou secondaires, induits par une action de développement,

2 pour cent en 2003. Sur une base d’ordonnancement, l’exécution des dépenses de capital était plutôt satisfaisante (67.3 pour cent) en septembre 2004. Les difficultés rencontrées par les autorités en matière de revenus ont eu pour conséquence une gestion délicate de la trésorerie publique. Le gouvernement a dû recourir à l’émission de bons du Trésor pour un montant de 21 milliards de francs CFA (39.7 millions de dollars) en juillet 2004. Cette situation s’est encore aggravée par la suite. Les besoins

REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple- Un But- Une Foi ------------------------------------------------- MINISTERE DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITE NATIONALE, DE L’ENTREPRENARIAT FEMININ ET DE LA MICROFINANCE ------------------------------------------------- ASSISES NATIONALES DE L’ACTION SOCIALE 5, 6, 7 et 8 août 2008 Méridien Président et Savana Sally PANEL ORIENTATION NOTE INTRODUCTIVE Par Monsieur Moustapha Mbodj