La Goutte D Or

C’est pour cela que nous avons décidé d’étudier plus en détails le personnage de Bérénice. Dans un premier temps nous nous demanderons comment Aragon à crée ce personnage, à quelle figure réelle il se rapporte. Dans un deuxième temps nous étudierons ce goût de l’absolu cher au cœur d’Aragon et incarné par le personnage de Bérénice. Et dans un troisième temps nous verrons une autre facette de Bérénice, celle de la femme engagée. I - Bérénice ou Denise Lévy Tout comme dans le Paysan de Paris (1926)

de la définition du beau. Deux points sont essentiels ici : la notion d’universalité et celle d’absence de concept. Pour parvenir à une telle définition, Kant commence par distinguer le beau de l’agréable: l’agréable renvoie au principe « chacun son goût ». Je peux être amené sans difficulté à reconnaître que ce qui m’est agréable ne l’est pas nécessairement pour l’autre. Nous disons d’ailleurs « cela m’est agréable » ; le beau, au contraire ne renvoie pas uniquement à moi-même, je ne dis pas « C’est

décrit comme un personnage mystérieux.Oon dirait qu’il veut cacher un secret « Son front, volontairement caché sous les cheveux de sa perruque lisse […] ». Ensuite à la ligne suivante les yeux du colonel semblent « couverts d’une taie transparente » or les yeux sont les fenêtres de l’âme et donc Chabert souhaite cacher quelque chose, mais qu’est ce ? Après ça on nous dit que le jeune avoué ne nous décrit pas le héros lui-même mais sa silhouette donc nous ne sommes pas sûrs que le colonel ressemble

arc, bouclier. L’un est replié sur le casque, l’autre tient un arc. 2 tiers supérieurs : ciel encombré de nuages, 3ème tiers supérieur un couple se tenant la main, homme chvx longs, barbe fournie, drapé rouge, femme couronne d’or voile, drapé jaune or. Deux animaux associés au personnages, derrière l’homme coin gauche un aigle, derrière la femme coin droit deux paons dont un qui fait la roue. On devine derrière les nuages un char doré. Tripartition horizontale de l’ensemble. Lignes droites formées

quels noms, mais non pas, à la façon dont s'y prennent les ïambographes, pour composer sur des faits personnels.
VI. Pour la tragédie, les poètes s'emparent des noms de personnages qui ont existé. La raison en est que ce qui est possible est probable ; or, ce qui n'est pas arrivé, nous ne croyons pas encore que ce soit possible ; mais ce qui est arrivé, il est évident que c'est possible, car ce ne serait pas arrivé si c'était impossible.
VII. Néanmoins, dans quelques tragédies, il y a un ou deux noms

transmutation, permettant de convertir les métaux les plus vils en or. C’est également le cas de l’art poétique qui dans sa quête d’une transformation spirituelle par la parole, métamorphose le monde, donnant une forme transcendante à la réalité. Tout l'art du poète revient alors à sculpter une matière laide ou triviale pour en faire un objet précieux, comme un alchimiste qui réussirait miraculeusement à transformer le plomb en or. Les deux principaux poètes dit comme principaux alchimistes sont Charles

d’aimer ses effets de relèvement et de pacification. Le monde est fait sur un plan que nous ne pouvons changer. C’est le plan du Maître. Nous sommes des serviteurs. Il faut le prendre comme Il l’a tracé et y conformer notre volonté et nos efforts. Or ce plan comporte la souffrance. C’est le chemin de la joie ; tout comme la mort (la mortification, la mort à soi) est le chemin de la vie : « Qui perdiderit animam... inveniet eam ». Nous sommes de petites semences jetées en terre pour y mourir et ensuite

dépasser soi-même ou des autres. C’est un mélange d’émotions, de réussites ou de défaites. Ainsi, il y a l’envie de réussir, de goûter à la victoire pour satisfaire l’apprentissage et l’effort effectués auparavant. François BÉGAUDEAU constate que l’Inde n’a plus le niveau international aux jeux olympiques. Mais qu’elle cherche à corriger cette anomalie en essayant de prendre goût à la victoire, à la réussite en accomplissant les exercices physiques sans se dépasser physiquement. Haruki MURAKAMI affirme

où il permet de satisfaire des intérêts communs ? Mais le beau n’a-t-il pas le privilège de satisfaire les intérêts supérieurs de l’esprit ? Or ne faut-il pas dépasser le beau canonique en intégrant ce qui lui est opposé pour vraiment réaliser une dimension spirituelle ? Début de rédaction : Heureusement que les scientifiques n'ont pas suivi le goût de Goethe pour les grands espaces. * Faut-il en conclure comme Théophile Gautier qu' « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à

L’Etranger) 3. leur étude ne doit pas détourner des productions contemporaines Le conformisme du goût conduit à rejeter toute nouveauté : en peinture, rejet des impressionnistes au profit de la peinture officielle présentée dans les Salons, en architecture les concepts d’un Le Corbusier, en littérature, au XIXè s les romans naturalistes de Zola honnis des contemporains qui admiraient Balzac. Or, certains sont aujourd’hui considérés comme des artistes de grand renom. II. Pourtant les chefs d’œuvre