La Grande Puanteur

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un

a été déclarée non responsable de cette guerre, pour le peintre ce n'est que mensonge. Dans l'après-guerre, à travers ses œuvres, il cherchera à dénoncer la puanteur des cadavres cachés sous les tapis de l'Autriche afin de mettre au grand jour la responsabilité qu'ils ont eu dans la destruction non seulement des êtres humains, mais des grandes richesses culturelles. C'est pourquoi, après ses années de formations à l'école des arts décoratifs de Graz et l'Académie des arts appliqués, soit en 1958,

Pierre est embauché sur La Lorraine, un navire transatlantique. Cependant, sa nouvelle vie inconnue le rend triste et morose. Morowsco et la fille de la brasserie ne montrent aucun signe de tristesse lorsque Pierre leur annonce son départ. La veille du grand jour, il paraît plus calme et adouci. Ses parents lui feront leurs adieux le lendemain depuis leur barque. Nous pourrons étudier tout d'abord la description du luxueux salon réservé aux riches puis l'identification de Pierre aux émigrants ainsi que

idées de grandeur du fait du but qu'il s'était fixé, et il connaîtra enfin sa première extase psychologique lorsqu'il se verra adoré, vénéré comme un dieu grâce à son parfum, résultat de plusieurs années de recherche et de labeur. Il se qualifiera de "Grand Grenouille" Mais son triomphe se révélera effrayant car, paradoxalement, rejaillit en lui son sentiment le plus profond : sa haine et son dégoût des êtres humains "stupides, puants" qu'il voudrait rayer de la surface de la terre. Véritable misanthrope

nonchalante  » et «  cynique  » montrent la représentation d’une femme sans gêne qui se transforme en prostituée. V.8 : «  son ventre plein d'exhalaisons  » renforce l’idée de puanteur des parties intimes de la femme. Strophe 3  : l’allégorie «  puissante / nature  » montre l’idée d’une toute-puissance divine. Rappel définition allégorie  : narration mettant en œuvre

Première fois que T. appelle Mme N. « maman » mais dans un univers glauque (poissonnerie) »L’étal aux poissons était effrayant dans le demi-jour. La lumière verte glissait sur les écailles livides couvertes de débris de glace ; la puanteur suffoquait malgré el grand air. » et sèchement « Thérèse la repoussa avec beaucoup de violence. « Non, pas vous, maman », dit-elle. C’était la première fois qu’elle l’appelait maman. Le mot était venu tout seul. » (Le Contre) « Il y a un proverbe : « Bien mal

le Second Empire » dans ces romans dont les héros appartiennent à la famille des Rougon-Macquart. C’est ainsi qu’il décrira le milieu de la mine dans Germinal, des paysans dans La Terre ou des artistes dans L’Œuvre. Le roman L’Assommoir, qui fut un grand succès, met en scène le petit peuple du quartier de la Goutte d’or à Paris. Gervaise, l’héroïne, après avoir connu l’espoir d’une vie meilleure, plonge dans la déchéance. - présentation de l’extrait : L’extrait que nous allons étudier décrit cette

le titre, « charogne » veut dire une bête morte déjà en putréfaction, ou encore à travers certains mots comme «cette pourriture», «la puanteur ». «L’araignée» poème extrait Des contemplations de Victor Hugo, semble constituer un bon exemple, en effet, il parle d’une araignée, dans la vie courante, cela est souvent détestée par sa morphologie, à petit corps et grandes pattes représentant bien la laideur, ici dans le poème on peut trouver « elles sont maudites », «parce qu’on les fuit » ou encore «la

Université. Grâce à elle, Paris a de l'esprit. Les Rues et ses changements de Paris Elles étaient très étroites et enchevêtrées. quelques-unes ne permettaient le passage que d'un seul homme à la fois. Les plus larges étaient la rue Saint-Martin et Grande-Rue Saint Honoré. Une charte de 1222 fixa la largeur d'une de ces rues à un peu moins de 6 mètres pour que deux charrettes puissent se croiser. Apparurent alors des bornes de pierre en bordure de chaussée, afin que les charrettes n'endommagent pas

(" Hymne à la beauté "), puanteur du cadavre (" Une charogne "), vapeurs d'encensoir (" La Muse vénale ", " Harmonie du soir "), ivresse des senteurs exotiques (" La Chevelure "), " âcre odeur du temps, poudreuse et noire " (" Le Flacon "), le parfum de la femme glorifiée en maintes poésies car le désir, " tout se fera Benjoin, Encens, Oliban, Myrrhe " (" A une Madone "). 3) l'ouïe : bruits de la nature et singulièrement de la mer, du vent, du feu (" La servante au grand cœur "), la musique (" Le