La Grande Puanteur

surnaturels. Ce genre attire De grands auteurs français, notamment Maupassant, Mérimée ou même Balzac. Aujourd’hui il est encore très exploité notamment au cinéma. Patrick Süskind, auteur allemand de la 2eme moitié sur XX eme siècle, lui, débuta son succès avec son œuvre Le Parfumqui traite du Fantastique, à travers son anti-héros nommé Jean- Baptiste Grenouille. Cet homme naquit dans des conditions affreuses en plein paris au milieu du XVIII eme siècle. La puanteur régnait dans Paris à cette époque

désordonnée, sale et puante : "cheminée condamnée", "divers morceaux de pains, des triangles de fromage de Brie", "L'odeur de ces comestibles s'amalgamait si bien avec la puanteur du poêle chauffé sans mesure", "cartons jaunis par l'usage", "mobilier crasseux". Nous remarquons bien que Balzac ne cherche pas à idéaliser l'image de cette grande pièce non entretenue, mais bien au contraire, à la décrire comme les études de l'époque, où les clercs travaillaient sans se préoccuper d'un quelconque rangement

de ses caractéristiques . -comparaison « droite comme des murailles » des montagnes, les montagnes sont associé à une construction humaine , et insiste sur l’aspect protégé , défendu , infranchissable . -égalité homme/femme «  les grands officiers , les grandes officières » -organisation de la ville avec une importance de l’esthetique enumération «  les marchés , les fontaines , les edifices » champ lexical des sens : la vue , le goût , l’odorat permet de créer un lieu acceuillant . b)Un

les drapeaux déchirés, les squelettes en miettes, les bâtiments détruit, nous indiquent que nous sommes sur un champs de batailles. A milieu du panneaux ce trouvent un soldat avec un masques a gaz nous montrant alors que l’air est irrespirable, la puanteur des cadavres empoisonne les soldats, mais cela nous indique également l’usage des gaz au front des soldats. C’est une ambiance horrible, que les soldats subissent tout les jours. Conclusion= Ce panneau nous montre le front ou les soldats se retrouvent

haut, donc elle se redresse, « les coudes en l’air » 43. Elle ne transpire pas et reste engoncée dans un vêtement lourd et son bonnet. Mme Putois/ Clémence : Mme Putois est déjà âgée (45 ans), petite et austère, habits usés, vieillots. Clémence est grande, jeune et belle. La phrase de Mme Putois suggère qu’elle est très débraillée : « montrez toute votre boutique » 48. Le narrateur intervient ensuite pour la décrire : bras levés, « gorge puissante, épaules » vêtements étroits qui soulignent ses formes

insistance sur l’aspect charnel. + chaleur reprise avec « soleil rayonnait » v9 attribué à l’amplification de l’odeur ii. « exhalaisons » v8, « puanteur si forte » v15 > intensif qui introduit par ailleurs une conséquence drastique « vous crûtes vous évanouir » v16 (enjambement de la cause à effet) b. amplification exprimée par « rendre au centuple à la grande Nature » v11, les termes connotent une ironie du poète par rapport à la générosité de la nature + amplification reprise avec « tout ce qu’ensemble

vient à l'esprit est l'effet comique puisque Candide qui vient de l'Europe n'est pas habituer à cette familiarité avec le roi mais plutôt à des cérémonials caricaturaux et c'est hypothèse nous semble tout à fait plausible. Quand Cacambo demande au grand officier comment fallait-il saluer, la gradation ascendante dans le burlesque, de la réponse commence par le verbe « se jeter » bien évidement excessif, ce qui renforce l'absurdité des codes de la cour française. L'ensemble nous fait penser à un numéro

poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

pouvoir de transformation tel le poète : il transforme, il crée. On remarque que le verbe « rayonnait » est mélioratif et que la « Nature » est personnifiée par le « N » majuscule. Strophe 4 : le sens de l’odorat est évoqué de façon péjorative : puanteur qui découle de cette décomposition du corps. Toutefois, dès le 1er vers de cette strophe, cette charogne amorce sa métamorphose par l’oxymore « carcasse superbe » + comparaison méliorative « comme une fleur s’épanouir ». Le verbe « épanouir » évoque

que des rôles subalternes : les grandes officières siègent à côté des grands officiers. Il n’est pas fait mention de classes sociales, il ne semble pas y avoir de noblesse. L’Eldorado apparaît ici comme une civilisation essentiellement urbaine. Le principe est, comme il est dit au chapitre XVII, de joindre l’utile à l’agréable. Pour cela, l’espace est agrandi par de longues perspectives horizontales et verticales : édifices publics élevés jusqu’au nues, grandes places, galerie de deux mille pas…