La Grande Puanteur

personne que la façon d'être et les habitudes de celle-ci. Le sens de l'odorat de J-B G est surdéveloppé et est complètement omniprésent. La répulsion que les Hommes inspirent à notre protagoniste sont décrites non pas par des odeurs mais par des puanteurs. Un exemple prouvant le dégout ressenti par Grenouille est notamment la création d'un parfum immitant l'odeur humaine (une odeur de base, n'appartenant à aucun être en particulier), celui-ci regroupant un nombre d'immondices incalculable. Lors de

Le choix du 17ème siècle n'est pas complètement indifférent, c'est le siècle des vanités en Peinture. Pascal Quignard éprouve une véritable fascination pour la peinture de Georges de La Tour , auquel il a consacré une monographie. C'est aussi le grand siècle de la Condamnation de la vanité humaine. La fiction inventée par Pascal Quignard articule de fait Ces deux modes en donnant à l'art pictural une place singulière que le film relaie en Multipliant les références à la peinture de l'époque.

du parcours initiatique du roman 1. Préparation Début du roman : Jean-Baptiste Grenouille, le héros du roman, naît au cimetière des Innocents à Paris le 17 juillet 1738 un jour où il faisait une chaleur insoutenable qui faisait ressortir la puanteur de Paris encore plus que d’habitude. Ce cimetière des innocents faisait également office de marché où sa mère exerçait la profession de poissonière. Grenouille est né avec un odorat exceptionnel mais lui n’a aucune odeur. • Lieu sacré : le cimetière

confrontent la population à l'horreur. Les hostilités prennent fin à la mise en place de l'Edit de Nantes par Henri IV. Dans ce climat d'inquiétude où la mort et la violence sont omniprésente, la sensibilité baroque émerge. C'est aussi une période de grandes découvertes. Les européens partent à la conquête du monde, de nouvelles populations sont découvertes en Amérique, l'Europe n'est plus le centre de la terre. Sur le plan scientifique, c'est la révolution copernicienne La représentation du monde change

demain ne veut pas dire grand-chose dans un lieu où la lumière ne s’éteint jamais, peut-être doit-il entendre deux mains, ce qui est sûrement la même chose. Quant au téerre, on verra bien. Je l’ai rencontré un peu plus tard, dans le service de rééducation fonctionnelle où il venait d’être transféré. Plusieurs semaines après, il m’explique. En fait, on vous met sur le côté, le côté gauche bien sûr, avec de vigoureuses précautions. On ouvre le lit comme on ouvre la fenêtre, en grand. On est complètement

d’ordre esthétique : « vingt belles filles » (l81). • Un monde fondé sur les valeurs de la liberté et de l’égalité ! L’égalité : une place essentielle est accordée aux femmes. La garde est constituée de femmes. Parallèlement aux « grands officiers » existent les « grandes officières » (l83-84). ! La liberté : cet idéal de liberté est représenté concrètement par l’absence de cour de justice et de prison : « on lui dit qu’il n’y en avait pas et qu’on ne plaidait jamais » (l101-102) • II) La

dialogue rend le début plus vivant. Tout comme Roger Martin du Gard, Maupassant a particulièrement bien travaillé son incipit en laissant un effet de suspense, cet incipit débouche sur une série de mystère car tout n’est pas dit ce qui laisse une grande place à l’imagination du lecteur. La typographie indique une alternance régulière entre le récit et les dialogues. Dans les deux incipits, le dialogue actualise la scène et la rend plus vivante car les paroles sont prononcées par les personnages

| |- Mais oui, dit Desroches le quatrième clerc en se penchant sur la copie de son voisin, il a écrit : Il faut mettre les | |points sur les i, et sakerlotte avec un k. Tous les clercs partirent d'un grand éclat de rire. | |- Comment, monsieur Hure, vous prenez saquerlotte pour un terme de Droit, et vous dites que vous êtes de Mortagne ! | |s'écria Simonnin.

Misogynie du personnage « on devrait pécher qu’entre hommes » Préférence pour le poisson « je ne pense qu’aux poissons ». L’attrait pour la pêche est mis en valeur par le regard subjectif de M. Roland « le flot d’argent des bêtes » & « saines puanteurs » (oxymore) façon de voir positive et méliorative de la pêche. Le narrateur pense autrement « écailles gluantes », « effort impuissant et mou » & « air mortel » en contradiction avec M. Roland. Le narrateur a donc un PDV négatif de la pêche. M

se personnage à dénoncer les manies, les opinions vulgaires, la médiocrité du personnage (petit-bourgeois) Maréchal : plus riche que la famille Roland, il lègue à sa mort par testament toute sa fortune à Jean ; Ce personnage pourtant absent a une grande importance dans l’histoire. Personnages : secondaires Mme Rosémilly : jeune femme de 23 ans, veuve, voisine et amie de la famille Roland. Elle va accepter la demande en mariage de Jean. Marowsko : pharmacien polonais réfugié en France, il soulèvera