La Grande Vie Le Clézio

TEXTE 1 : extrait de LA VIE DE MARIANNE, de MARIVAUX (1731-1741) I - UN COUP DE FOUDRE 1) La première vision Point de vue interne : omniprésence du « je » et des pronoms qui y sont liés (pronom COD « me » et pronom COI « moi »). 1è et dernière phrase : « parmi les jeunes gens dont j'attirais les regards » / « le jeune homme que je laissais derrière moi » > tout tourne autour d'elle, elle est au centre de la scène, au coeur des regards, au coeur du récit. Champ lexical du regard : 1er vecteur

nid de l'alouette. Elle se mit aussitôt à crier, à taper dans ses mains, pour mettre en fuite la bête au poil jaune. Elle la chassa, la poursuivit au loin et les petites alouettes du nid furent sauvées. Un autre jour, elle sauva le rossignol que la grande couleuvre allait dévorer. Maurice Genevoix 4 - Le vieux noyer et les oiseaux - Dans mon jardin, il y a un vieux noyer presque mort qui fait peur aux petits oiseaux. Seul, un oiseau noir habite ses dernières feuilles. Mais le reste du jardin est plein

l’absurdité d’une proposition par la fausseté d’une conséquence. 3. Philosophie. (Répandu par A. Camus) Dont l'existence ne paraît justifiée par aucune fin dernière. « On ne se suicide pas parce que la vie est absurde, ou parce qu'on est abandonné. Ces raisons-là viennent après » (Le Clézio). — N. m. L'absurde : l'absurdité de la condition et de l'existence humaines. Philosophie de l'absurde. « L'absurde est la notion essentielle et la première vérité » (Camus). « Je disais que le monde est

donne un coup de pied. Le match est commencé... Le ballon vole, rebondit. Un joueur le suit et le poursuit, le pousse du pied, se le fait voler par un adversaire qui à son tour le conduit vers les buts... Quand l'occasion est bonne, il fonce et d'un grand coup de pied lance le ballon dans les buts. Alerté, le gardien se jette sur le ballon, l'attrape et le renvoie vers un de ses équipiers. L'attaque reprend... Avec une habileté et une rapidité qui ressemblent à de l'acrobatie, avec une force qui dégénère

de Candide, ou Le Chercheur d’Or de Le Clézio. Ajoutons également la thématique du hasard : l’argent est souvent associé à la fortune, c’est-à-dire au hasard, à la roue qui tourne, à ce dieu Plutus, personnification de la richesse qui distribuait en aveugle les biens… On joue au loto et la publicité nous montre la possibilité d’accomplir nos rêves les plus fous….Bref, le risque est grand de tomber dans la démesure face à l’argent. Certes, il est source de vie, permettant de satisfaire ses besoins

Nom formé à partir d’un mot grec : " herôs " qui signifie " demi-dieu" ou " tout homme élevé au rang de demi-dieu " en grec. " heros " qui signifie " demi-dieu" ou " homme de grande valeur " en latin. D'après son étymologie, ce mot désigne donc un personnage exceptionnel, au dessus de l'humanité ordinaire. Ce mot est apparu en français en 1372 soit au 14ème siècle. Le héros est né avec la littérature. Gilgamesh, roi civilisateur d’Uruk, en Mésopotamie, donne son nom

s'entretuer, tandis que le capitaine Bligh n'a de cesse de poursuivre les officiers révoltés qui l'ont abandonné sur une chaloupe). Au XIX° siècle, l'île, déjà inquiétante dans ses violences internes, s'entoure de mystère, monde isolé et de solitude. La grande histoire napoléonienne contribue à nourrir cette mythologie. De l'île d'Elbe, point de départ du retour triomphal de Napoléon à l'île de Sainte-Hélène, symbole de l'exil définitif de l'empereur déchu, ce monde clos devient hostile, synonyme de mort

(qui ne deviendra parlant qu'à partir de 1927) et où la modernité s'impose aussi dans le domaine littéraire. La littérature française du xxe siècle va à l'évidence être traversée par les coups et contrecoups de l'Histoire que nous allons rappeler à grands traits. Lénine et Staline Mussolini et Hitler Les antagonismes nationaux en Europe conduisent rapidement à la saignée de la Guerre de 14-18 d'où sortiront le communisme soviétique avec Lénine puis Staline et les fascismes mussolinien puis

le conservateur d’un musée et possède une riche bibliothèque, ce qui explique son engouement pour le manuscrit ancien. Il parle couramment un certain nombre de langues (allemand, français, islandais, latin, anglais, italien, etc.). Il est riche, grand, maigre, blond et il parait jeune pour un homme de 50 ans. Il porte des lunettes et a un penchant pour le tabac. Sa soif de découvertes et de sciences en font un homme impé- tueux, courageux et passionné, oscillant entre la folie et le génie. Malgré

DURAND Denis FIRDION Laetitia FLUXA Christine GASNIER Claudine GATIER Alexis GEFFRIN Yves GELY Alain GHEWY Xavier GUERIN André-Jean HIERSO Ghislaine HOURIEZ Guillaume JANIN Jean-Louis JENSEN Nicole LACOMBE Florian LAURO Christian LAVERGNE Richard LE CLÉZIO Philippe MAGNIER Céline MASSEUBE Florian MONTEREMAL Marion MORARD Valéry MOREAU Sylvain NIRASCOU Françoise PAPPALARDO Michèle PARIS Ludovic PLATEAU Claire PRIN COJAN Annabelle ROUSSEL Philippe ROY Nathalie SAINT-JEAN Camille SIMONOTTI Jean-Louis TRIPIER