La Guerre Est Elle Inhumaine

SUJET : L'EXPÉRIENCE COMBATTANTE : LES CIVILS, VICTIMES DES VIOLENCES DE GUERRE   La première guerre mondiale condamne les combattants à des conditions d’existence désastreuses, devenant des victimes de la guerre. Il en est de même pour l’arrière, où une violence cruciale touche la population civile, sous différentes manières. Nous nous intéresseront ainsi aux impacts violents que subissent les civils durant la Grande Guerre. Pour cela nous verrons, à l’aide de documents, les diverses atrocités

conflits mondiaux (1914-18 et 1939-45) qui marquent la fin de son hégémonie. Paul Valéry, témoin des deux guerres, a écrit en 1919 : « Nous autres civilisations nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». En quoi l’horreur et la barbarie inédites des guerres mondiales ont-elles conduit à une remise en cause de la notion même de civilisation ? Nous verrons tout d’abord que ces guerres sont caractérisées par une violence des combats sans précédent. Puis nous étudierons la nouvelle manière dont

Zeilenesseniss est le plus bel élément de ce camp. C’est une fleur entourée de ronces. Malgré cette beauté, cette « fleur » est en réalité la chose la plus inhumaine du camp. Son rôle n’est pas d’ordre naturel dans le cours du récit. Sa beauté renforce le côté inhumain et anormal de sa présence dans ce camp. «  Elle était jeune et, surtout, elle était d’une inhumaine beauté. » (l.26-27 p. 80). Parallèlement à la situation du village, un rapprochement avec la situation de l’Anderer peut être fait dans cet extrait

toujours eu une place dans l'histoire de l'Homme. On retrouve la torture que ce soit dans la mythologie grecque ( ex :le supplice de Prométhée ), les autodafés et les exécutions publique au Moyen-Âge, la barbarie Nazie durant la Seconde Guerre Mondiale , durant la guerre d'Algérie. Mais aussi dans un cadre plus spirituel du fait que dans les religions monothéistes les pécheurs sont promis aux enfers lieux ou ils seront châtiés. La torture apparaît même comme un thème qui est au coeur du christianisme

déterminer l’accusé coupable, le droit à la vie de ce dernier est effectif jusqu’à la date de son exécution. Durant cette période, l’être humain doit être traité comme tel, c'est-à-dire qu’il ne doit pas être soumis à des traitements dégradants, inhumains ou à la torture, en vertu de l’article 3 de la Convention de la CEDH ou à la servitude ou l’esclavage en vertu de l’article 4 de cette même Convention. Mais la peine de mort ne peut être prononcée envers n’importe quelles personnes et sous n’importe

que je suis toujours à la hauteur de ce qui m'arrive, en tant qu'homme, car ce qui arrive à un homme par d'autres hommes et par lui-même ne saurait être qu'humain. Les plus atroces situations de la guerre, les pires tortures ne créent pas d'état de choses inhumain : il n'y a pas de situation inhumaine ; c'est seulement par la peur, la fuite et le recours aux conduites magiques que je déciderai de l'inhumain ; mais cette décision est humaine et j'en porterai l'entière responsabilité. Mais la situation

INTRODUCTION La guerre, qui n’a jamais eu d’attrait que pour une minorité d’hommes, apparaît pourtant comme l’une des constantes de l’Histoire. Gaston Bouthoul a recensé 8 000 traités de paix1, cela signifie au moins autant de guerres. Le plus spectaculaire des phénomènes sociaux a enfanté l’histoire au point que bien souvent celle-ci a paru se confondre avec le récit des conflits armés : l’Histoire d’Hérodote est en bonne partie consacrée aux guerres médiques, l’histoire de Thucydide est le récit

lui comme la question des origines et leur rôle en chacun de nous. , le cycle de la haine , de la violence qui est une conséquence de la guerre et du pouvoir de la connaissance. L’écrivain a quitté le Liban durant la guerre civile avec ses parents, pour s’installer en France puis au Québec.« Incendies » évoque de manière souvent poignante l’horreur d’une guerre civile et le chaos dans lequel elle plonge un pays. L’œuvre évoque aussi la confrontation de l’être humain avec la fatalité, et la façon

des Droits de l’Homme du 4 novembre 1950 - lequel dispose que « Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants ». Le Conseil de l’Europe a entendu ajouter à la protection de l’article 3 un mécanisme supplémentaire au moyen de la Convention européenne pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants entrée en vigueur en février 1989. Mais concernant les privations de liberté, la Convention européenne des droits de

travers l’article 15 alinéa 2 de la Convention, article autorisant des dérogations en cas d’urgence, notamment de guerres ou autre danger menaçant la nation, cet article dans son alinéa 2 stipule que cet article n’est pas applicable à certains articles notamment l’article 3. En effet l’article 3 en ce qu’il protége les individus de la torture ou des peines et traitements dégradants ou inhumains est considéré par la Cour comme un droit intangible qui ne peut connaître alors aucune dérogation. Cet article