La Jalousie Dans Le Théâtre

qui sont mis en évidence par les différents personnages sont : Le libertinage et la jalousie. Dés la scène 1 de l'acte I, Suzanne atteste  le libertinage du Comte " C'est sur la tienne qu'il a des vues" Selon Marceline " il est jaloux et libertin"( I,4) Bartholo précise " Libertin par ennui, jaloux par vanité" (I,4) La Comtesse constate "Il ne m'aime plus"(II,1) et "la seule vanité" (II,16) est la cause de sa jalousie. Figaro ose lui dire " Vous êtes infidèle" (III,5).Il veut tout pour lui et n'hésite

A) Au levé du rideau, nous spéctateur regardons des personnages en train de regardés d'autres personnages hors scène. Le dispositif scénique de la didascalie favorise la mise en abîme des regards qui convergent. Mise en abîme = faire du théatre dans le théatre. Trois niveaux de regards: Le page qui regarde le jeune syrien qui regarde Salomé (p45). Les soldats romains qui regarde Hérode qui lui regarde Salomé (p 47-51). Le jeune syrien et Hérode tout deux regardent Salomé. Le spéctateur regarde

Le théâtre naît au Vème siècle avant Jésus Christ. Des auteurs antiques tels qu'Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce nouveau genre. Dès lors, ce nouvel art subit de profondes évolutions. Au moyen Age, il quitte la scène théâtral pour être représenté sur le parvis des Églises. A cette époque, sa fonction est purement religieuse, il est destiné à communiquer au peuple les idées théologiques du pays. Les dramaturges classiques du XVII siècle imposent au théâtre des règles strictes

le premier chapitre sert d’exposition, Maupassant présente les personnages physiquement mais aussi leurs caractères. Il construit son intrigue, étudie le développement d’une passion, la jalousie : « une de ces jalousies dormantes qui grandissent ». Il donne des indices sur la suite du roman: « une de ces jalousies […] qui éclatent à l’occasion d’un mariage ou d’un bonheur tombant sur l’un. » et prépare le lecteur à l’exclusion finale de Pierre comme si son destin était déjà scellé. Le dernier chapitre

ne pas passer le stade de la petite enfance. Pour divertir son petit-fils, le grand-père de Jean-Baptiste l'emmène voir des représentations théâtrales, des farces pour la plupart, dans les foires, les places publiques. Mais sa passion pour le théâtre était-il né de cette époque ? Quoi qu'il en soit, le jeune garçon s'inscrit au collège de Clermont (l'actuel Louis-Le-Grand) où il étudie les mathématiques, la physique, la danse, l'escrime, la philosophie scolastique (qu'il moquera souvent). Il

déroule en un seul jour, et en un seul lieu général, la ville. Cependant, Beaumarchais utilisera des décors lui permettant d’avoir deux lieux dans un seul acte. Ainsi, l’acte un se déroule dans la rue, devant la jalousie où se trouvent Rosine et Bartholo. Pour rappel, ces règles, règles du théâtre classiques ont été imposées par l’Académie française, crée en 1634. Le roi avait du pouvoir sur cette assemblée et se réservait donc le droit de censure sur certaines œuvres. Les auteurs étaient soumis aux règles

Nana, d’Émile Zola (1880) est une œuvre naturaliste qui raconte l’histoire d’Anna Coupeau, une jeune actrice peu talentueuse, mais ayant une prestance et une beauté attirant tous les regards. Partageant sa vie entre le théâtre où elle côtoie ses compagnes et une vie de fille libre entretenue par le tout Paris. Nana va voyager d’un statut à un autre, de la richesse à la pauvreté au grès de ses «amours», vivant telle ou telle vie selon l’épaisseur du portefeuille de son amant du moment. Émile Zola

des personnages comme Arlequin qui signal bien son intention de se situer dans le registre du comique, voire de la farce ce qui n’empêche nullement d’être sérieux. Par ailleurs «  Les fausses confidences  » est une pièce de théâtre en trois actes et en prose jouée pour la première fois en 1737 à Paris par les comédiens Italiens. C'est d'ailleurs l'une des comédies les plus jouées de Marivaux . Cette comédie conte l’histoire d’un homme ruiné du nom de Dorante qui éprouve des

figaro est jouée à la Comédie Française. La pièce connaît un immense succès et est perçue comme un signe avant-coureur de la Révolution. . Une fin de vie triste En 1792, La Mère Coupable qui marque l’aboutissement de sa trilogie est jouée au théâtre du Marais. Cependant, Beaumarchais est grisé par le succès, ce qui lui fait perdre toute prudence. Son luxe le rend suspect et il est accusé de trafic d’armes. Il joue un rôle ambigu sous la Convention à partir de 1793 et échappe de peu à la guillotine

support : « Le théâtre est-il selon vous une bonne tribune pour défendre des idées ? » II. MAIS LE THEATRE A BIEN D’AUTRES FONCTIONS a. Fonction de pur divertissement • Plaisir aux différents types comique (vaudeville : le trio femme-mari-amant caché dans le placard est une valeur sûre, farce, comédie, etc.) •Théâtre : loisir culturel comme cinéma, musée…. b. Exploration du cœur humain • Les tragédies classiques (Corneille, Racine) mettent en scène des passions (jalousie, ambition