La Jeune Fille Et La Mort

Comme on voit sur la branche, de Ronsard En 1555, Ronsard est tombé amoureux d’une jeune paysanne de Bourgueil, Marie Dupin, âgée de quinze ans. Il lui a dédié des poèmes simples et clairs, sonnets et chansons. Il lui a consacré la moitié des sonnets de la Continuation des Amours, 1555 et toute la Nouvelle Continuation des Amours, 1556. Il a véritablement aimé Marie, il jalousait ses rivaux et souffrit de se voir préférer le gentilhomme qu’elle épousa. Le « servage de Bourgueil » dura jusqu’en

I. L'HISTOIRE Tonnelier devenu extrêmement riche à la suite de la Révolution, Félix Grandet vit à Saumur dans une maison froide et triste. Sa femme, sa fille Eugénie et sa servante Nanon subissent au quotidien son avarice sordide, ses colères de despote. Le 15 novembre 1819, Eugénie a 23 ans. Parents et amis sont réunis quand un élégant jeune homme se présente : c'est Charles Grandet, le cousin d'Eugénie. Pendant que Félix Grandet apprend par une lettre de son frère Guillaume que ce dernier, qui

de ce regard suprême » renforce la scène. II- La nature 1)Une scène printanière :un champ lexical simple pour parler de la nature qui est personnifiée. 2)Jeune fille en harmonie avec la nature : la jeune fille se fond « décoiffée » « pieds nus » « sauvage » « assise parmi les grands roseaux verts » le poète invite la jeune fille à l’amour les oiseaux se mettent à chanter. Conclusion Victor Hugo, écrivain et poète romantique a écrit les « Contemplations

mariage avec sa fille, Juliette. Le père se conformera à la décision de sa fille. Le vieillard annonce qu'une réception est organisée le soir même dans son palais. Paris et le vieux Capulet quittent la scène. Roméo et Benvolio paraissent. Informés de la réception, Roméo et Benvolio décident de s'y présenter. Là-bas, Roméo espère voir celle qui lui a ravi son coeur : Rosaline. Scène III Chez les Capulet. Mme Capulet et Juliette s'entretiennent : la mère espère pouvoir marier sa fille âgée de 14

Louis VII Le Jeune Introduction Louis VII, dit Louis Le Jeune, est un roi de France. Sixième souverain de la dynastie des Capétiens, il épouse successivement Aliénor d’Aquitaine, Constance de Castille et Adèle de Savoie. Son fils Philippe Auguste lui succède. I) SA VIE PRIVEE a) Son enfance Né aux environs de 1120 et mort en 1180 à Paris, Louis VII, dit Louis Le Jeune, est le deuxième fils de Louis VI Le Gros et d’Adélaïde de Savoie. Ses frères et sœurs sont Philippe de France, Henri

hyperbolique « parfaite » soulignant sa grande beauté et « son esprit et sa beauté  ». Cela donne l'impression de théâtraliser l'entrée en scène de la jeune femme et la triple occurrence du mot « beauté » traduit l'admiration qu'elle suscite chez les courtisans. -> idéalisation propre au roman héroïque. Ce n'est qu'à la troisième phrase de l'extrait (« Son père était mort jeune […] madame de Chartres, sa femme ») que le lecteur comprend qu'il s'agit de Mlle de Chartres et que à la fin de l'extrait que son portrait

la recueillit, et l'employa toute petite à garder les vaches dans la campagne. » et est « chassée pour un vol de trente sols, qu'elle n'avait pas commis » (l.38) et est engagée dans une autre ferme comme fille de basse-cour. Ses patrons l’apprécient. Elle tombe amoureuse de Théodore, « un jeune homme d’apparence cossue » (l.43) à dix-huit ans (cf. « (elle avait alors dix-huit ans) », l.40) mais il se marie avec une autre : « Pour se garantir de la conscription, Théodore avait épousé une vieille femme

Contemplations, est construit en deux partis, séparés par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle de sa fille. La premières partie, « Autrefois », est consacrée aux poèmes du bonheur, la seconde, est une méditation sur la mort et la destinée humaine. 1. Le souvenir de sa fille disparue 1. La structure du poème : les détails du souvenir Le poème, constitué de 26 alexandrins, évoque le souvenir de sa fille disparue. Il s’agit d’un poème à forte coloration autobiographique. En effet, le poète

| |De paysan à enfant de troupe, il y a un grand pas à franchir. La vie dans l'école militaire est loin d'être facile. Avec | |beaucoup d'émotion, le jeune héros nous fait partager la faim, le froid, les sévices que les " anciens " font subir aux " bleus | |", le sadisme de certains gradés, la peur de la guerre. Il raconte aussi son éveil à l'amour avec la femme de son chef... | |Les Brûlures

L’antithèse visuelle est forte. À gauche c’est l’ombre, à droite la clarté ; à gauche les silhouettes des soldats uniformisées et floues s’opposent au profil clair de la jeune fille à droite ; à gauche des hommes anonymes sont esclaves d’un pouvoir, à droite une jeune fille prend le pouvoir ; à gauche l’attitude est agressive, les poings serrés sur les fusils, les baïonnettes en avant ; à droite on voit un geste d’offrande, offrande de la vie et pourquoi pas de l’amour. C’est la paix contre la guerre