La Joie de vivre

d’insouciance et de joie de vivre, à une époque où les réformes sociales de 1936 (congés payés et semaine de 40h) font découvrir les loisirs aux Français. La chanson Y’a d’la joie, écrite et composée en 1936 par Charles Trenet, exprime elle aussi le climat du moment. Sur un rythme entraînant, avec des phrases simples et des paroles optimistes, en mêlant des scènes de la vie quotidienne à d’autres plus fantaisistes, elle évoque avec légèreté la joie de vivre. Y'a de la joie, Charles Trenet, 1936

l'entreprise de Maxime mais aussi le forain lui même. Maxime : Maxime le forain, un homme dans la quarantaine avait perdu le goût de vivre à cause d'un ennui professionnel. Il est le prototype de l'homme moderne déçut pas les évènements banals. Méfiant au début de l'histoire envers Omar-Jo, il apprend à faire confiance aux autres et surtout à retransmettre la joie à travers son manège. L'enfant qui sommeillait en lui se réveille dès qu'Omar-Jo lui offre une bille. Il se voit en train de rajeunir

Sans la promesse du plaisir, à quoi bon vivre ! Que l’on soit amené à nous interroger de la sorte suppose initialement l’accomplissement d’un jugement : l’expérimentation de la vie débouche sur le constat d’une fatigue de vivre, d’une carence de sens ou plutôt d’un malaise à assigner à l’existence une signification positive qui puisse justifier l’acte d’être et alimenter , ce faisant, le désir de durer par l’acceptation d’un processus indésirable

Camus montre l’absurdité avec les différents comportements en face du mal. Le mal et une chose qu’on peut ni comprendre ni expliquer. Le mal comme toute la vie est une chose qu’on ne peut pas changer. L’homme doit seulement croire à l’existence et vivre dans un monde absurde. Il doit accepter l’absurdité de la vie ( le mal vient si on veut ou pas). L’action de l’homme et limitée. Dans ce cas là l’homme est limité par la peste. L’absurdité et les différents manières de la confronter sont les thèmes

vers Antithèse « ennuis » et « joie » liée par un participe « grand » amplifie « ennuis » au pluriel ⍯ « joie » (au singulier) => nouvelle variation dans la liaison des antithèses Clos syntaxiquement le 1er quatrain et ouvre thématiquement le 2nd quatrain. 1er quatrain : Effets des antithèses au 1er quatrain => plutôt physiques + thème de l’amour (présents d’énonciation + allitérations en –r + syllabes longues). + contradiction sur l’Amour : se clos sur le mot « joie ». + Evoqué : sensation de l’Amour :

idée. Cependant il reste tout de même un point à éclaircir. À quoi mourir pour une idée sert-il, si nous ne verrons jamais l’obtention de cette idée ? Si nous nous battons, par exemple, pour un mode de vie différent, nous ne connaitrons jamais la joie de vivre dans le mode de vie désiré. Nous pouvons nous battre pour nos valeurs mais pas de cette manière –ci. Il faudrait réagir de manière réfléchie et mature. Car avouons-le, se donner la mort pour une idée et ne pas connaitre le bonheur de l’obtention

non comme quelque chose de naturel et d'évident. Nietzsche nous dit qu'il devient même une « honte » que d'exprimer son envie de prendre du recul, du repos mais surtout de s'occuper de soi même. Les conséquences sont profondes, on ne songe plus à vivre une vie contemplative, ou à se laisser aller et profiter de son milieu, de ses contacts. Il paraît à l'Homme que ce n'est plus acceptable, que s'en est presque immorale, les plaisirs détourneraient de la « bonne conscience » que procure le travail

conceptions du Bonheur sont assez divergentes. D’ après André- Consponvil. Le Bonheur, ce n’est pas la satiété, c’est à dire : la satisfaction de tous nos penchants. Le Bonheur, ce n’est la félicité, c’est à dire : une joie constante. Le bonheur, ce n’est pas la béatitude, c’est à dire : une joie éternelle. Le bonheur, il n’est pas Absolu mais il est relatif et subjectif. D’ après sa définition courant, le Bonheur est une déformation de « bon augure », venant du mot latin : Augurium. Qui signifie : « l’aide

Soyez Optimiste et Ayez confiance en vous même D’après le Docteur VICTOR-PAUCHET Club Positif Sommaire Avant-propos L’Homme qui se laisse vivre se laisse mourir Chapitre 1 L’Optimiste apporte avec lui l’espoir et la joie Un jour viendra où les hommes s’aimeront ........................................10 Pas un français ne sera capable de rire... ..............................................12 Comment obtenir la gaîté ? ....................................................................13

monotone ou dépourvue d’intérêt, dérivé du bas latin inodiāre, formé sur l’expression in odio esse « être un objet de haine » du latin classique. Ennui a signifié au XIIe siècle « tourment ». Il s’oppose à la distraction, à l ‘amusement, à l’appétit de vivre, à l’enthousiasme, à la créativité L’ennui est d’abord une expérience individuelle. L’ennui n’est pas provoqué seulement par l’inactivité. On peut, tout en exerçant une activité, s’ennuyer profondément : travail routinier, monotone. C’est alors