La Justice Naturelle

pendant le Moyen Age, elle occupait une place prépondérante. Aujourd'hui c’est la loi. La place de ces sources dépend donc en grande partie de notre façon de penser. ! ! ! Chapitre I : Penser le droit Les concepts de droit, de lois, de justice sont des concepts qui nous sont familiers. La façon dont ces termes sont utilisés traduit notre conception moderne, ainsi que celle du droit. Le langage n’est pas simplement un code. Il exprime et traduit une façon de penser, notre conception du droit

personne ont besoin de connaître la l’avance les conséquences possible de leurs actes. L’équité et la justice ne sont pas les objectifs uniques de la loi mais d’organiser la vie sociale, de faire régner l’ordre, la sécurité et la paix social. Le droit doit avoir aussi pour objectif d’assurer la stabilité contractuelle. Aussi entre une majoration des prix qui serait plus conforme à l’idéal de justice et le souci d’assurer la sécurité des transactions. Le code de procédure civil ou encore le code

lien de droit est créer de manière artificielle par décision de justice pour établir entre deux individus qui n’ont pas de lien biologique un rapport juridique de « parent à enfant » : il s’agit de la filiation adoptive. Pendant longtemps, sous l’influence de la religion catholique, seul le mariage établissait un lien de filiation juridique. Louis XIV révoque l’Edit de Nantes. Récemment, avec la loi de 1972, la filiation naturelle a été réputée égale à la filiation légitime. La filiation légitime

concept de justice. L’homme juste n’est-il pas en effet celui qui attribue à chacun ce qui lui est dû en justice, c’est à dire son droit. D’ailleurs chez les anciens le droit se dit le juste. De ce juste nos philosophes s’attachent d’abord à en définir les contours. Leur réflexion sur l’essence du juridique les conduit à en dégager deux manifestations distinctes et complémentaires : le juste naturel et le juste légal ou positif. Or le droit positif ne doit pas déroger au droit naturel ou au droit

misérable des hommes. C'est une guerre de chacun contre chacun = pas de justice la notion n'existe pas. La justice est la situation ou chaque individu a ce qui lui revient, chacun est jugée selon son mérite. Mais il n'y a personne pour faire justice= les lois CQRD que c'est les hommes qui apportent la justice non le la justice divine! Idée de bonne proportion mais elle ne peut exister car il n'y a personne pour faire justice = donc l'homme déterminera ce qui est juste et injuste c'est l'homme qui

En quête d’une théorie de la justice sociale Jean-Marie Harribey 2 novembre 2005 Poser la question de la justice renvoie à première vue hors d’une problématique économique orientée vers la recherche d’efficacité. Car il s’agit d’une démarche avant tout politique et philosophique. Pourtant, nombre de penseurs se sont efforcés avec plus ou moins de bonheur de montrer que la recherche de l’efficacité en termes d’affectation des ressources et la répartition de celles-ci étaient étroitement liées,

sortirait pas de sa solitude et qui ne créerait pas de véritable vie sociale ? 1) On peut estimer que le travail est avant tout un rapport à la nature puisque nous travaillons pour satisfaire nos besoins naturels, pour survivre, et lorsque nous travaillons, nous transformons une matière première naturelle en objet artificiel Le travail ne jouerait donc aucun rôle socialisant. De plus, pour Hanna Arendt, le travail est lié à la mortalité de l'homme, à sa finitude qui s'exprime à travers ses besoins matériels

l’expérience la justice est appréhendée comme une aspiration, une réaction profonde contenant une dimension idéale. Ce sentiment peut être à l’origine suscité par une frustration, une attente non satisfaite. Par exemple, Rousseau décrit avec émotion dans les Confessions la première punition qu’il a injustement reçue. La réaction au sentiment d’injustice peut être violente. Même si, révolté on semble sûre de soi, ce sentiment ne peut constituer un critère suffisant pour reconnaitre la justice. « Le moi

Introduction Dans l’expérience, la justice est appréhendée comme une aspiration, une réaction profonde contenant une dimension d’idéal. Ce sentiment peut souvent être suscité à l’origine par une frustration, une attente non satisfaite. Par exemple, Rousseau décrit avec émotion dans les Confessions la première punition qu’il a injustement reçue. La réaction au sentiment d’injustice peut être violente (on peut éprouver de la rage, de l’indignation). Mais même si, révolté, on semble sûr de soi

Dieu ni en nature “ Hobbes : introduction au vecteur juridique-à partir de là, introduire au second vecteur, comme une seconde phase, second vecteur de la modernité : phase juridique et c’est au fond tout ce qui tourne autour du mouvement du droit naturel moderne, tout un ensemble d’auteur qui vont accomplir une véritable révolution intellectuel dans l’ordre de la pensée pol, ces auteurs sont lock, hobbes, rousseau -ce qui est fascinant : au départ ces constructions grandioses sont des constructions