La Justice Naturelle

LA JUSTICE DANS L’ANTIQUITE INTRO La justice représente deux choses différentes, un principe moral qui exige le respect du droit et de l’équité, c’est cette vertu morale qui fait rendre à chacun ce qui lui est dû, c’est donc la pratique de la justice. Ou, elle peut être une action par laquelle une autorité, un pouvoir judiciaire reconnaît le droit de chacun, c’est l’action ou le pouvoir de se prononcer sur les droits de chacun, de punir ou de récompenser. Le rôle du droit est donc de garantir

appliquer. D'après Platon, il y a deux types de justice: - La justice d'attribution qui établit une égalité géométrique. La distribution selon le mérite. Aux personnes inégales, départ inégal. La source de cette justice est que les hommes ne sont pas égaux entre eux. -La justice est de donner a chaque personne ce qu'elle mérite. La justice commutative ignore la différence entre les individus et donne a tout le monde la même part. Cette justice est fondée sur égalité arithmétique. La politique

fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et, pour cela, faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste. La justice est sujette à dispute, la force est très reconnaissable et sans dispute. Ainsi on n'a pu donner la force à la justice, parce que la force

-> Vanité « Qui ne voit pas la vanité du monde est bien vain lui-même » (fragment. 33) « Notre durée vaine et chétive » (f.29) « L’homme n’est qu’un sujet plein d’erreur naturelle » (f .41) « C’est être malheureux que de vouloir et ne pouvoir » (f.71) -> Misère « L’homme n’est qu’un sujet plein d’erreur naturelle » (f .41) « Misères d’un roi dépossédé » (f.107) -> Grandeur « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connait misérable » (f. 105) -> Raison « Nous connaissons

DROIT NATUREL (Morale). L'usage de ce mot est si familier, qu'il n'y a presque personne qui ne soit convaincu au-dedans de soi-même que la chose lui est évidemment connue. Ce sentiment intérieur est commun au philosophe et à l'homme qui n'a point réfléchi ; avec cette seule différence qu'à la question, Qu'est-ce que le droit ?, celui-ci manquant aussitôt et de termes et d'idées, vous renvoie au tribunal de la conscience et reste muet ; et que le premier n'est réduit au silence et à des réflexions

publiques sont garanties. Ces règles supérieures sont dans la Constitution, des droits naturels ou les droits de l'homme. Ex : liberté de la personne, de communication, économiques, d'association.... Elles s'imposent aux idividus et aux pouvoirs publics. Doc annexe 3: les différents régimes politiques français depuis 1789. NB : Louis Napoléon Bonaparte est Napoléon III. Doc 5 p14 : Le droit naturel s'oppose-t-il au droit positif? Q15 A 16 ->1ère limite de l'Etat de droit : il est difficile

INTRO HISTORIQUE AU DROIT23OCT Pensée de Tramique. Il était plus un orateur qu’un philosophe. Sous la plume de platon il représente plus qu’un courant d’idée, les tendances naturelles du peuple. Un autre auteur décrit par platon, Calices. On le connait dans le récit «  le Gorgias ». Il prône également la loi du plus fort. Selon lui les lois sont également une convention imposée par un groupe d’hommes qui sont les plus faibles dans la cité qui essaient d’imposer leurs lois aux plus forts. Sans la

buts, ses finalités ? 1. La finalité principale est la justice. On dit souvent que le droit c’est la science du juste. Chercher la solution juste. Le juge doit trancher de la façon la plus juste possible en appliquant les règles de droit : il doit ainsi parvenir à la justice. Il y a une double approche de la justice : Depuis Aristote on distingue la justice commutative, et la justice distributive. La justice commutative : justice dans les échanges, établir une certaine égalité. Lorsqu’un

maîtres mots ne sont peut-être pas ceux que l'on croit ; les concepts qu'il faut en tirer ne sont pas nécessairement transparents aux mots. Si donc les rapports de la justice et de la force sont le sujet du texte, cela ne veut pas dire que le texte définisse l'une et l'autre et traite par là honnêtement son sujet. Les rapports de la justice et de la force servent ici l'établissement du droit, sa fondation. Le véritable sujet du texte est cet établissement. C'est la " raison des effets " du droit qui est

Donc le roi est apparemment tout puissant, cependant certaines directives le limite. II/ Les limites du pouvoir du roi. A travers les lois divines et fondamentales et les règles de justice naturelles le roi perd sa liberté totale. A/ Les lois fondamentales et les lois divines et les règles de justice naturelles. Le roi absolu bien qu'il soit proche de la liberté totale est limité d'une certaine manière dans sa souveraineté. En effet les lois fondamentales par exemple l'empêche de faire ce