La Justice Naturelle

injustice : Un mal, ce qui est contraire à la loi, une inégalité. Puisque l'égalité est le fondement rationnel de la justice, on est obligé d'admettre que toute inégalité est injuste. Les hommes sont tous égaux devant la loi. Mais, revendiquer une égalité absolue entre les êtres conduit à l'injustice. Il n'est pas vrai que tous les hommes se valent. La justice consiste à reconnaître cette évidence. La réponse à cette question constitue sans doute l'un des choix politiques essentiels

méthode classique du parti unique, qui met main sur le pouvoir et dirige tout les unités du pays, mais à la place de celui-ci, il utilise le mouvement de masse. Lorsque le totalitarisme accède au pouvoir, toutes les définition des termes tels que le justice, la morale et même la tradition sont modifié, afin que leurs définition soit plus apte avec sa politique et son objectif. Le totalitarisme ne reflète en sa politique lorsqu’il est en pourvoir aucune faiblesse ou difficulté, mais cela ne peut paraître

Interrogation sur la Justice La Justice, c'est l'application des droits c'est à dire le jugement sur les actes commis en respect des lois positive ( = loi qui est promulgué par des hommes pour des hommes ). Oppose loi positive à loi naturelle ( : obligatoire, imposer à tous les être vivants ). Justice: rendre à chacun, son dû selon son mérite . Donc certains hommes mérite plus que d'autre. Mais, être juste serait distribué à chacun une part égale --> Difficile de définir la justice. 1) Platon

LICENCE I Plan Introduction I. La sociabilité naturelle de l’homme chez Aristote : l’homme, un « zôon politikon » 1. L’homme comme un animal politique 2. La cité naturelle selon Aristote comme le lieu de réalisation de l’homme. II. La problématique de la sociabilité naturelle de l’homme ou l’insociable sociabilité de l’homme 1. Les résistances humaines à la vie sociale 2. Les idéologies et théories sur la sociabilité et l’insociabilité de l’homme III. La question contemporaine

supprimer certaines barrières sociales, économiques, afin de réformer l'administration afin de la rendre plus rationnelle et efficace. Ces mouvements de réformes sont bien reçus par l'opinion publique. Seulement toutes ces réformes tentées en matière de Justice, de fiscalité, de commerce, vont avorter car les privilégiés refusent d'entreprendre quelque réforme que ce soit. Cette situation va créer une confusion politique et pour y répondre Louix XVI va convoquer les Etats généraux qui avaient pour mission

dérogation. Réflexion sur la dérogation, sur la légitimité de la dérogation. La lecture par dérogation consiste à dire : pour comprendre le monde du droit il faut que je comprenne que ce monde est organisé par une logique qui conduit à faire échapper à la justice ordinaire l'action de certains acteurs. Le monde du droit n va pas fonctionner de la même façon selon qu'il s'occupe de l'activité des citoyens ordinaires ou selon qu'il s'occupe de l'activité de sujets extraordinaires. Ex : Les effets des opinions

celui-ci a été reconnu roi par tous un peuple car il ressemble de corps et de visage à leur roi qui s'était perdu, ce rôle ne lui revient donc pas de droit car il est en quelque sorte un « usurpateur ». Il a conscience que ce n'est pas sa condition naturelle et c'est ce qui va le distinguer d'un véritable roi. Le rôle qu'il accepte d'endosser est une pure imposture et nous pouvons penser qu'il se fera démasquer tôt ou tard car Pascal nous le suggère : « Dieu n'autoriserait pas cette possession et l'obligerait

gronde. Le déséquilibre social génère des problèmes importants de maintien de l’ordre public et la République est en péril. La masse misérable animée par la colère du ventre trouve des défenseurs auprès des aristocrates imprégnés de l’idéal grec de justice et d’humanité, les populares, partisans de réformes, s’opposent aux optimates, attachés au maintien du statu quo. Pour prévenir des actions d’ampleur qui viendraient détruire en un rien, ce que l’idéal républicain s’est évertué à bâtir pendant trois

loi divine doit apparaître en même temps loi naturelle, car elle n'est pas arbitraire. De là vient que la religion entre dans la moralité. » KANT Aujourd’hui et depuis son existence, la religion est source de conflits vis-à-vis de son interprétation, de ses fondements et même de son application, c'est-à-dire sa mise en pratique. Kant donne ici une interprétation de la religion comme une morale divine mais qui s’allie à une morale naturelle chez l’homme et qui doit être innée. Au fond,

art, d’une technique à celle d’une excellence, à la vertu. Cette excellence renvoie à la fois à l’activité politique, c’est-à-dire à la capacité de diriger en acte et en parole la vie publique, et à des qualités, des dispositions : le respect et la justice. La thèse de Protagoras soutient que tout le monde est doté de ces qualités, tandis que Platon a une définition différente de ce qu'est la politique, et de la finalité de celle-ci. De plus, le mythe de Protagoras sert souvent d'illustration à la