La Justice Peut Elle Se Passer De Loi

de son choix » La consécration de la justice pénale est consacré aux droits de l'homme, qui ne sont pas contestées par le Maroc officiellement, Le Maroc a effectuer un effort de rénovation au niveau du secteur de la justice, et au niveau de l'ouverture aux pactes et conventions relatifs aux droits de l'homme internationaux. mais en parallèle avec ce qui a été réalisé et en tenant compte des attentes de la société et des organisations juridiques, la justice reste dans notre pays caractérisé par

entre règles primaires et secondaires : B/ Les règles permissives, et les règles prohibitives. Section 2 : La distinction de la règle de droit, d'autres règles de vie sociale : I/ Droit et Justice : A/ Les liens complexes entre droit et justice : B/ Le recours à l'équité pour réduire l'écart entre justice et droit : II/ Droit et morale : A/ Le sens du terme morale : B/ Les rapports qui unissent droit et morale : III/ Droit et Religion : A/ L'influence historique des religions sur les systèmes

ou il y a une sct il y a des juges, comme le droit le juge apparait des lors qu'il existe une vie social l'existence de la fonction de juger est ainsi innervante indissociable de tte les sct aussi rudimentaire, simple sois t'elles, autrement dis on peut pas dissocié le juge d'une sct la sct des sportif 'fff' elles ont leur juges, entreprise : organe qui résout le conflit l'histoire nous montre que dans les temps les plus reculer, au temps de l'Egypte, 30 juges étaient choisis au sein des pples villes

LA JUSTICE ET LE DROIT Les notions de droit et de justice sont étroitement liées, comme l'indique déjà l'étymologie. Judicare, juger, c'est jus dicere (jus = droit), dire le droit, d'où justum et justitia. Si le droit désigne un ensemble de règles en vigueur dans une société donnée et exigible en son nom, ce qui est conforme à une loi en vigueur – bref, si le droit est d'abord et essentiellement positif, la justice elle ne saurait se confondre tout entière avec la justice « positive » ou l’institution

“Ne pouvant faire qu’il soit forcé d’obéir à la justice on a fait qu’il soit juste d’obéir à la forcé » écrit Pascal. Il montre déjà cette ambiguïté latente dans le concept de justice, et sa relation avec le pouvoir et l’autorité. En effet, il n’y a pas encore d’accord dans la nature de la justice : est-elle l’origine du pouvoir ou la conséquence ? Est-ce que ceux qui ont du pouvoir sont justes ou est-ce qu’ils imposent leur vision de la justice parce qu’ils ont du pouvoir? Ces questionnements mettent

faut-il toujours ? Le verbe « obéir » signifie « respecter ce qui est demandé », « faire ce que les règles, les lois ordonnent ». Enfin, la loi, elle, est une notion qui peut présenter divers aspects. On peut la qualifier de « positive » lorsqu’elle est écrite et qu’elle concerne tout un peuple, de « naturelle » lorsqu’elle précède toutes lois écrites, et elle peut être morale ou divine. Il s’emble qu’obéir à ces différentes lois soit nécessaire pour être juste. Mais suffit-il seulement de les respecter

l'administration de la justice, c'est l'universel lésé qui prend la place de la partie offensée, joue un rôle effectif au sein du tribunal, entreprend la poursuite et la répression du crime. Cette répression cesse d'être un simple acte subjectif et contingent de représailles, comme la vengeance, et devient la vraie réconciliation du droit avec lui-même. Du point de vue objectif, cette réconciliation est la réconciliation de la loi avec elle-même, car, par la suppression du crime, la loi se rétablit elle-même

roi. Si elle est orale elle comporte une part d'obscurité car aucuns écrits pour la vérifier. La coutume est territoriale et varie selon les peuples ou les ethnies. Progressivement la coutume a été relayé par le droit écrit et c'est pour cela qu'on peut parler aujourd'hui de la coutume comme source du droit. Les premiers droits écrits sont les actes de la pratique comme des droits commerciaux (contrats par exemple). Progressivement les rois de la civilisation antique ont décider de créer des

législateur la compétence d’édicter des peines d’emprisonnement et donc d’appliquer une règle de droit Une règle de droit, c’est une règle de conduite dans les rapports sociaux. Elle est générale, abstraite et obligatoire. Elle peut avoir plusieur sources : elle peut être légale, coutumière, rigide, souple etc Une règle de droit, est considérée comme générale car elle est appliquée sur tout le territoire national et pour tous les faits qui s’y produisent. Elle est impersonnelle car elle vaut

éventuellement ou encore il peut s agir de l utilisation de ses règles par les sujets de droits. CHAPITRE 1 : LE DROIT OBJECTIF OU REGLE DE DROIT Section 1 : le fondement de la règle de droit, La règle de droit répond à un double besoin de sécurité d une part et besoin de justice d autre part. Besoin de sécurité car la présence d une règle de droit permet aux citoyens de savoir ce qu il peut faire et ce qu il doit tolérer de la part de ses concitoyens. Besoin de justice  car si l homme tolère