La Justice Sociale Dans Les Fables De La Fontaine

histoire imaginaire généralement en vers dont le but est d’illustrer une morale. Héritée de l’Antiquité, la fable a souvent pour héros des animaux, chargés alors de représenter les hommes (Fables de La Fontaine, par exemple). L’auteur d’une fable est un fabuliste. Au Moyen Âge, de nombreux recueils de fables, appelés isopets, sont constitués. Le merveilleux et le fantastique On dit qu’il y a du merveilleux dans une œuvre littéraire lorsque lesurnaturel se mêle à la réalité ; le surnaturel étant

Clélie, (1654-1661) Mme.de Suderx Honooré d'Urfé, L'Astrée 1607. Idéal de Raffinement . Art de la conversation. →Atteindre l'élégance. 17°siècle 17° siècle Louis XIV Louis XIV Classicisme Molière Racine Corneille Jean De La Fontaine, Fables 1678 Malherbe «Consolation à Mr.du Périer» Romans de Mme. La Fayette La princesse de Montpessier 1662 La princesse de Clèves , 1672 Idéeal de perfection. Equilibre/clarté/ordonnée/ harmonieux Langue sobre et mesurée Importance de l

campagne aux territoires urbains, c´est ainsi qu´a lieu la naissance de la ville, espace qui pouvait avoir 10.000 habitants à peu près. L´économie française à cette époque est fondamentalement agricole, et la société est énormément divisée en classes sociales. Quant à la ville, on doit dire que dans l´aspect économique elles commencent à être plus autonomes par rapport aux possessions territoriales du propre seigneur de la ville grâce au commerce et à l´artisanat. C´est l´époque où l´équilibre économique

les partis politiques. Une loi est une règle édictée par une autorité souveraine et imposée à tous les individus d'une société où les conséquences créent la notion de justice; c'est-à-dire un principe moral de reconnaissance et de respect du droit naturel ou positif; ou la notion d'injustice; c'est-à-dire un acte contraire à la justice. Une loi peut également être considérée comme un droit; c'est-à-dire un ensemble de dispositions juridiques qui règlent les rapports entre les hommes. Elle peut être

générale : c’est le cas des morales des Fables de la Fontaine ou des maximes que l’on trouve chez Pascal ou La Bruyère. A. Les Fables de La Fontaine : L’esthétique classique a pour but « d’instruire et plaire ». Le genre de l’apologue est une forme d’argumentation indirecte qui illustre la double exigence. Le récit est plaisant et attrayant mais il a une visée argumentative puisqu’il abouti à un morale (=thèse). La fable relève du genre de l’apologue et La Fontaine en ai devenu le plus illustre représentant

moins généralement établi. Je le veux : mais qu’importe ce que les autres peuples ont fait dans les autres âges ? Est-ce aux usages du temps ou à sa conscience qu’il faut en appeler ? Est-ce l’intérêt, l’aveuglement, la barbarie ou la raison et la justice qu’il faut écouter ? Si l’universalité d’une pratique en prouvait l’innocence, l’apo- Utiliser le dialogisme 97 logie des usurpations, des conquêtes, de toutes les sortes d’oppressions serait achevée. Diderot, Contribution à l’Histoire

corpus › Argumenter sur la liberté - Question sur le corpus Annales corrigées : question sur le corpusFrançais1re ES1re SLa question de l'homme dans les genres de l'argumentationPondichéry Question Documents A – Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, livre I, V, 1668. B – Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’Éducation, livre IV, 1762. C – Victor Hugo, « Ultima verba », Les Châtiments, VII, 17, 1853. D – Émile Zola, Germinal, IIIe partie, 3, 1885. Qu’est-ce qui, selon les

Pascal a fréquenté les salons dès son plus jeune âge De fait il connaît les mondains et parmi eux particulièrement les libertins, qui remettent en cause l’ordre, autrement dit le christianisme et rejettent la foi (avant d’être libertin au plan social de la morale sexuelle, le libertin l’est au plan spirituel face à Dieu) Il a également par ses fréquentations des salons appris a aiguisé son style, ce dont témoigne par exemple les Provinciales, et on a vu, dans une précédente étude des Pensées

LES POETES ET ÉCRIVAINS DU 17ème SIECLE TABLES DES MATIERES I. JEAN DE LA FONTAINE..........................................................................................................................3 . A. Sa naissance :.........................................................................................................................................3 . B. Son enfance :.................................................................................................................

le voir, certains poètes, conformément à ce que pense Paul Eluard, font le choix de parler pour tous, que ce soit de façon consciente ou inconsciente, à propos de thèmes universels, d’engagements religieux, ou encore de convictions politiques et sociales. Mais ces poètes que nous venons de voir ne constituent pas la majorité des poètes. Nous allons voir que certains ne destinent pas leur production poétique à tous et ne parlent donc pas pour tous. Il arrive en effet que dans certains cas,