La Justice Sociale Dans Les Fables De La Fontaine

sociologie, littérature), partagent néanmoins certaines idées centrales: • Triomphe de la Raison et de l'esprit critique et désir de renverser les systèmes de croyances erronés et les superstitions • Conviction que la nature est source de justice et de bonté et que l'homme est naturellement bon • Croyance en la perfectibilité de l'homme et au progrès • Cosmopolitisme • Systématisation des connaissances (esprit encyclopédique) |La monarchie absolue demeure le mode de gouverne

stylistiques généraux * Les procédés poétiques | | * Familiarisation à l’analyse littéraire * Exercice l’Art poétique de Boileau | 3 | * Le plan de l’analyse littéraire | | * Présentation du classicisme * Étude de quelques fables de La Fontaine | 4 | * Rédaction d’un plan et d’un paragraphe d’analyse littéraire (10%) | 5 | * Présentation de Molière * Le théâtre classique : Comédie vs Tragédie | | * Introduction à L’Avare de Molière * Les procédés dramatiques |

caractère corruptible de la nature humaine. Au XVIII siècle, le philosophe Emmanuel Kant, reconnaissait déjà la toute-puissance de la corruption :" tout homme à un prix ". L'argent permet de tout acheter dès lors que l'on méprise les notions de droit, de justice morale. Paradoxalement, l'argent ne peut acheter que les biens matériels, même si son pouvoir est illimité, on va voir que les valeurs morales ne s'achètent pas. Les valeurs morales. en effet, n'ont aucune similitude avec les marchandises car un

faibles dans la nature à l’état solitaire. Ils doivent s’unir pour ê plus forts mais à cause de leur égoïsme ils se disputent alors se désunissent et se font tuer encore. Zeus, pour que les hommes puissent s’unir, donne aux hommes le sentiment de la justice pour qu’ils puissent se respecter les uns des autres, s’unir et ê plus forts. ( L’homme est un oubli de la nature, il a été négligé par rapport aux animaux car eux ont des atouts qui leur permettent de s’adapter dans la nature mais l’homme n’a

met en scène des animaux doués de la parole et qui présentent des comportements humains ou sociaux. Ainsi, le lion incarne la majesté, le pouvoir, la royauté, la tyrannie ; le renard représente la ruse, l’hypocrisie, la flatterie, la courtisanerie ; l’âne évoque généralement la bêtise… Ces animaux renvoient aux hommes un miroir de leur comportement, une satire de leur société. Ce court récit montre la justice et l’injustice, le bien et le mal, les qualités et les défauts des hommes… Malgré un ton

les domaines (« tous... tous... rien... »), aussi bien intellectuel (« un abîme de science ») que moral (« science sans conscience n’est que ruine de l’âme ») et religieux (« Tu dois servir, aimer et craindre Dieu »), dans le respect des valeurs sociales (« secourir 12 Préambule-FR20 © Cned – Académie en ligne nos amis... » « Sois serviable pour tes prochains ») et familiaux (« reviens vers moi afin que je te donne ma bénédiction avant que de mourir »). L’objectif de la formation décrite

pour enfants ? A-t-il une valeur pédagogique ou moralisatrice ? Les horreurs y abondent en effet : enfants dévorés, père incestueux, épouse persécutée, fillette agressée dans les bois… Il faut néanmoins rappeler que les Fables de La Fontaine ont vu aussi leur valeur éducative mise en doute par J.-J. Rousseau. Comment se fait-il que Perrault, qui est le chef de file des Modernes dans la « Querelle des Anciens et des Modernes » compose un recueil de ces histoires venues d’un

pôle / polaire... III - Le tréma Sur e, i, u. Il a été introduit en 1532 par Jacobus Sylvius, notamment sur i et u voyelles pour les distinguer de i et u consonnes ; celles-ci seront ensuite remplacées par j et v. On a écrit : On les loüe (La Fontaine) - Sur l'oüate molle (Boileau) - L'ïod (Turgot, dans l'Encyclopédie) [yod]. On trouve encore Montparnasse-Bienvenüe, station de métro à Paris.  Le tréma sert à marquer une disjonction, un hiatus, entre 2 voyelles successives, pour montrer qu'on

5) sépare l’espace maîtrisé par l’art des espaces qu’on abandonne à la nature désordonnée, sauvage, où se jettent les chasseurs, où se cachent les voleurs. Grâce aux miracles de l’art, les forêts sont transformées en « bois », les sources en « fontaines », les rivières en « canaux » (v. 10). Cette maîtrise de l’espace est aussi maîtrise du temps. Dans ces jardins bien clos, il y a « toujours » (v. 6) des fleurs et des ombrages verts et il faut imaginer un « démon » qui écarte les hivers (v. 7).

 C'est-à-dire chantée.  Elle est courtoise : elle parle d’un amour idéalisé appelé fin amor (amour parfait et délicat dans lequel l’amant est au service de la dame et il est entièrement soumis à ses désirs et à ses exigences et ce, peu importe le rang social de l’amant ou de la dame.  C’est un amour complètement platonique = aucune place au désir charnel⋄ Cela rejoint le rapport vassal/ seigneur).  Tout cela est donc dans l’esprit courtois de l’époque. Au moyen-âge, il n’y a pas d’amour dans le mariage