La Justice à Rome

Le cursus honorum Introduction Le Cursus honorum (qui en latin signifie Carrière des honneurs ou littéralement : course des honneurs) était l'ordre d'accès aux magistratures publiques sous la Rome antique. Défini très tôt à une époque mal déterminée, il ne fut formalisé que par la lex Villia Annalisen 180 av. J.-C. Il fut révisé par Sylla qui releva les conditions d'âge minimum. Chacun des mandats durait un an, et les mandats successifs devaient être séparés d’un intervalle minimum de trois

L'organisation de la justice à Rome Les acteurs de la justice : Les particuliers → Ce sont les parties qui s’affrontent lors d'un procès. Il y a l’accesseur qui apporte les preuves que l'accusé est coupable. Il peut être condamner de calomnie s'il n'est pas là lors du procès ou s'il perd ce dernier. Face à lui se trouve l'accusé, défendu par un avocat, qui sera condamné ou absout, la sentence étant irrévocable. Les professionnels → ils sont au nombre de trois. Les avocats (patronus

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Les citoyens de Rome et d'Athènes ont des droits et des devoirs différents. Des deux côtés, les citoyens disposent des droits civils de base qui sont la vente etl'acquisition de biens (terres en particulier). Ils peuvent aussi participer à la vie politique. À Arhènes, ils peuvent être membre de la boulé et de l'héliée ou devenirmagistrats. À Rome, ils ont accés au cursus honorum : "la voie de l'honneur". On constate également beaucoup de différences. Par exemple, au niveau des droits, les citoyensromains

le droit semble nécessiter la mise en œuvre d’une technique qui aurait pour finalité l’application d’une justice, méthode constitutive de tout art censé se renouveler dans le temps. Le droit fait appel à la technique et à la réflexion, il s’exerce au sein des relations avec les autres et doit être créateur. L’art est une forme de pratique s’adressant aussi bien aux sens qu’à l’intellect et à la raison. De ce fait, l’art n’englobe pas seulement les représentations matérielles comme on peut l’imaginer

conscience du juriste. Sert : - Comprendre les racines de notre droit - Apprécier la relativité du droit - Aiguiser la curiosité de l’apprenti juriste - Goûter aux chemins de travers Le droit s’inscrit a coter d’autre discipline donc il retire des bénéfices ( philosophie, histoire…). « Il n’y a que par le passé qu’on peut comprendre le présent » Claude Lévi-Strauss « le droit ne serait qu’un verbiage ridicule et vide si on lui retirait l’appui et le soutien des autres disciplines » Jean Bodin. Confusion

c’est le centre vivant de la cité. Il y a des temples, des autels, bâtiment publics, des portiques où l’on pouvait se promener, des boutiques… Aréopage : colline dédiée au Dieu Arès (dieu de la guerre). Lieu désignant le tribunal qui siégeait à cette colline. Acropole à l’époque classique : une ancienne forteresse Mycénienne, mais mtn n’a plus qu’une fonction religieuse, c’est là que se dresse les temples les plus majestueux dont le panthéon. Pnyx : colline a l’ouest de l’Acropole où se réunissaient

EUROPEEN Non prévu par le Traité de Rome, cette importante institution née de la pratique (nombreux sommets de 1961 à 1974, a été créée à la suite de la conférence de Paris du 10 décembre 1974 par l’Acte unique européen, puis constitutionnalisé par le Traité de Maastricht qui a précisé ses fonctions. Le Conseil européen est institutionnalisé par le Traité de Lisbonne, qui en renforce considérablement l’importance. Il siège à Strasbourg au Palais de l’Europe. A/ ORGANISATION • Le Conseil

[pic] - L'idée a germé pendant plus d'un demi-siècle : le projet d'un tribunal international apte à juger des criminels de guerre originaires des cinq continents est maintenant réalité. Depuis le 1er juillet 2002, la Cour pénale internationale (CPI) est le premier organe de juridiction permanent apte à juger les agressions, les crimes de guerre, les génocides et les crimes contre l'humanité. Le statut du tribunal a été adopté à Rome, le 17 juillet 1998, à l'issue d'une conférence à laquelle participaient

Dans la Rome antique, la citoyenneté romaine offre des droits étendus et fondamentaux. L'ensemble de ces droits forme le droit de cité romain (jus civitas ou civitas). À l'origine, le droit de cité, c’est-à-dire la reconnaissance de la citoyenneté, est réservé aux hommes libres inscrits dans les tribus de la ville de Rome et de son territoire limitrophe. En -89, il est étendu à tous les hommes libres d'Italie ; trois siècles après, en 212, il est accordé à tous les hommes libres de l'Empire romain