La L2

8 9 10 11 KM1 7 12 13 14 15 16 17 18 (1-H17) T3 6 L3 10A 5 30 m A 12A 4 _ 103 108 _ 102 107 _ 101 106 T2 109 113 T1 104 112 N _ 111 L1 L2 N L3 N 110 B 105 QF1 117 X6 1 SB1 400 V X6 AU 2 123 116 230 V 0V XP10 122 QF3 T1 D XP10 119 X5 3 X1 QF2 115 114 118 115 V 123 E 4-I2 4-I2 121 10 SB2 X1 AU 9 1 2 XP1 SA1 124 124 F X5 2 Contact de porte X5 1 G X4 3 SB3 X4 SQ1 1 125 X4 X4 19 20 Contact de porte AU X4

d’´chelle e s > 1 rendement d’´chelle croissant e s = 1 rendement d’´chelle constant e s < 1 rendement d’´chelle d´croissant e e 4) Rendement marginal: loi des rendements marginaux d´croissants e ∂q ∂K ∂q ∂L = fK > 0 ; = fL > 0 ; ∂2 q ∂K 2 = fKK < ∂2 q ∂L2 = fLL < 0 0 1 Productivit´ totale, moyenne et marginale e q 10 . 9 . . . .............. .... ........................ .. 8 . ... ... . ... ... .... ... .... . . .. .. ... ... . .. . 7 ... ... ... ... .... ... 6 .. ... ..... ... . . ... . ..... 5

représentations communes. Alternance codique et enseignement bilingue Mais quel rôle joue l’alternance codique dans l’enseignement bilingue ? Puisque la particularité de cet enseignement réside dans l’utilisation régulière de deux langues (L1 et L2) comme moyens d’apprentissage de disciplines non linguistiques (DNL), on pourrait alors faire l’hypothèse que, dans ce contexte, l’alternance des codes est une pratique langagière naturelle et admise en tant qu’expression de la compétence bilingue des

Lic. de Sc. du Langage, Médias, Communication, Culture, L2, sem. 3 , Médias 2, Message verbal et message iconique Première partie : Sémiologie du langage publicitaire Introduction : Le processus de sémiotisation et la notion de signe L’approche sémiologique est une lecture qui construit l’image comme un agencement de signes et de symboles et de traits visuels pertinents, c'est-à-dire porteurs de sens, des signifiants (Sã) : par ex., l'opposition de couleurs, le contraste clair/obscur, les formes

déboucher sur l’idée, qu’on peut dépenser la monnaie pour faire des placements boursiers, pour faire de la spéculation. • La demande de monnaie de spéculation : taux d’intérêt et spéculation boursière : L2 (liquidité) cette composante est indépendante du revenu, dépends du taux d’intérêt. L2 = f (i) ( c’est la demande de monnaie de spéculation. En effet, les variations des taux d’intérêts déterminent l’évolution des cours en bourse des titres à revenus fixe. Cela va déterminer le comportement des

L)→ True (penser à mettre un espace entre in et L) Print(« u » in L) → False VIII. Opérations 1. addition : L1+ L2 contient les éléments de la liste L1 suivis des éléments de la liste L2 L1=[-3 ;2] L2=[« un »,4 ,5] (concaténation de 2 listes) L1+ L2 donne [-3 ,2, « un »,4,5] 2. multiplication d’une liste par un entier L= [1,4] print(L*5) donne [1,4,1,4,1,4,1,4,1,4] IX. Obtenir des infos sur

TD comptabilité financière L2 AES L’amortissement des immobilisations Une entreprise qui souhaite acquérir une immobilisation a plusieurs possibilités de financement : Elle puise dans ses fonds propres pour s’autofinancer Elle recourt à l’emprunt auprès d’un établissement de crédit. 1 Une immobilisation s’amortit du fait de l’usure physique, de l’évolution technique (obsolescence) ou des règles juridiques (durée de protection des brevets). C’est pourquoi une entreprise doit procéder annuellement

verrons qu’elle a reçu une éducation soignée et atypique. I) Un portrait extraordinaire 1) beauté parfaite On insiste sur sa beauté exceptionnelle et l’admiration qu’elle suscite autour d’elle. - métonymie « une beauté » L2, + champ lexical de la beauté : « beauté parfaite » l2, « beauté », adj melioratif L9, « grande beauté »L28, éloge de la beauté la jeune femme. - « elle attira les yeux de tout le monde » L1, hyperbole, la beauté de la jeune femme cré un effet sur l’entourage. - « la blancheur

Réunion 2003 (4 points) Sans calculatrice MODÉLISATION D'UN MICROSCOPE SUR BANC D'OPTIQUE CORRECTION © HTTP://LABOLYCEE.ORG A - Calcul préalable : C = [pic] DONC F ' = [pic] POUR L'OBJECTIF L1: F1' = [pic] = 0,10 M Pour l'oculaire L2 : f2' = [pic] = 0,20 m B - Étude de l'image donnée par l'objectif : B-1.CALCUL DE LA POSITION DE L’IMAGE INTERMÉDIAIRE A1B1 FORMÉE SUR L'ÉCRAN [pic]= C1 [pic] L'objet est placé à 15 cm du centre optique O1, donc [pic] = – 0,15 m. [pic] [pic]

Thomas CROISSANT L2 Arts du Spectacle PROJET PERSONNEL PROFESSIONNEL Le métier de projectionniste Jean-Michel Colin, projectionniste aux Cinoches à Ris Orangis 1 Thomas CROISSANT L2 Arts du Spectacle SOMMAIRE I- Qui est le projectionniste ? …............ p. 3 a) Le rôle du projectionniste …....................................... p. 3 b) Les outils du projectionniste ….................................. p. 3 II- Le projectionniste dans l'ensemble de la chaîne du Cinéma …..................