La L2

pas à l’échelle). Il comprend, sur son axe optique, deux lentilles minces L1 et L2 de centres optiques respectifs O1 et O2. L1 est une lentille convergente de distance focale f1’ = O1F'12 = – O1F1 = 84 mm et L2, une lentille divergente de distance focale f2’ = – O 2F'12 = O 2F2 ' = – 60 mm. F1 est le foyer objet de la lentille L1 et F’2 est le foyer image de la lentille L2. Le foyer image de L1 et le foyer objet de L2 sont confondus au point F’12. BTS MÉTIERS DE L’AUDIOVISUEL – OPTION MÉTIERS DE

unités La luminance Illustration I θ Surface apparente A θ θ I I L1 = A L1 « L2 I L2 = a Lθ = Iθ/Sapp Unité cd/m2 ou lm/sr.m2 Surface apparente a Grandeurs et unités de mesure Luminance Signification de la luminance Lampe sphérique émettant de façon isotrope une intensité I et un flux F Rayon R1 Luminance L1 L1 > L2 I L= 2 πR Rayon R2 Luminance L2 (1) Plus « brillante » que (2) Application Calculer la luminance dans les deux cas suivants

couturières de la Forêt-Noire fabriquent des munitions, les corsetières des toiles de tente et des boîtes à biscuits ; d'autres, qui travaille parfois pour la première fois, des sacs, des masques à gaz, des chaussures ou même des uniformes complets. P.98, L2-38 Un surcroit de travail des jeunes filles, un transfert de main-d'oeuvre de la domesticité et des métiers traditionnels, par la mise ou remise au travail de femmes mariées et de mères. L'industrie des munitions, où la main-d'oeuvre féminine atteint

binaire, donc valant 0 ou 1, d'un point L1 à un point L2. On sait que la transmission est affectée par des perturbations, dites bruit. Aussi on émet un signal d'intensité 2 lorsqu'on veut indiquer 1 et d'intensité -2 lorsqu'on veut communiquer 0. Notons par x,où x = ±2, la valeur émise en L1 et par y la valeur enregistrée en L2. Alors y = x + E, où E représente l'erreur due au bruit du canal de transmission. Le décodage du signal en L2 obéit à la règle suivante : Si y > 0, 5 alors il est

texte argumentatif s en nous, et avons la vue raccourcie à la longueur de notre nez" (L2) -> 1er reproche : H. ne considère que son environnement immédiat. Métaphore de la vue "vue raccourcie à la longueur de notre nez"(L3) "comme nous, qui ne regardons que sous nous" (L7) -> on veut rendre compte insufisance de la pensée humaine : champs lexical rétrécissement "raccourci" (L3) "contraint" (L2) "amoncelé" (L2) + restriction qui renforce l'idée de limitation "nous, qui ne regardons que sous nous"

= {l∗ }); où l∗ (p) = p( a+b ). 2 Ex. 2 — Le triplet si dessous est il un élément fini ? ([a, b], P2 [x], Σ = {l0∗ , l1∗ , l2∗ }); où l0∗ (p) = p(a), l1∗ (p) = p(b) et l2∗ (p) = p ( a+b ). 2 Ex. 3 — Vérifier que le triplet ci-dessous est un élément fini. Il est appelé spline cubique. ([0, 1], P3 [x], Σ = {l0∗ , l1∗ , l2∗ , l3∗ }); où l0∗ (p) = p(0), l1∗ (p) = p(1), l2∗ (p) = p (0) et l3∗ (p) = p (1). Ex. 4 — Notons (l0 , l1 ) la base de Lagrange associées à [0, 1]. Considérons l’élément fini

effectu´ avec remise. e ee e 2) Mˆme question pour un tirage sans remise. e 48 3) Trouver la probabilit´ qu’un ´chantillon de taille e e une moyenne sup´rieure ou ´gale ` 66 kg. e e a 20 tir´ avec remise ait e 4) Trouver deux valeurs L1 et L2 situ´es ` distance ´gale de part et d’autres e a e de µ = 64 telles que la probabilit´ que la moyenne d’un ´chantillon non e e exhaustif de 20 ´tudiants tombe entr ces deux valeurs soit 0, 95. e Solution. 1) On est dans le cas non exhaustif, donc les

: la structure est composé de porteur cylindrique + un poignet de 1ddl. 2.1.1 Schéma cinématique: fig.4 robot cylindrique de 4 ddl 1.1.2 Calcul du MGI : | α j-1 | d j-1 | θ j | r j | art 1 | 0 | 0 | q 1 | 0 | art 2 | 0 | 0 | π /2 | L2+r2 | art 3 | π /2 | 0 | 0 | r3 | art 4 | -π /2 | 0 | q 4 | 0 | Les paramètres de Denavit- Hartenberg modifiée : Tableau 4. Les matrices de transformations Equation : RTL=40A 01A×12A×23A×RTL=43A on écrit : 01A×12A×23A×RTL=FGH

elle se définit comme l’ensemble des points d’équilibre sur le marché monétaire, correspondant à différents nivaux de r et de revenu (Y) on a Mo = L1(Y) + L2(r) avec Mo l’offre de monnaie (supposée exogène), L1 la D de mon de transaction, L2 la D de mon de spéculation. On sait par ailleurs, que L1 est une fonction croissante de Y et que L2 est une fonction décroissante de r. Si Y augmente, les agents demandent plus de monnaie de transaction L1 ; cm l’offre de mon n’a pas augmenté, cette D de

est: x1=x2=0 (donc ce sont les variables Hors Base) et t1 =1, t2= 10, t3= 4 (en base) avec z = 0. Comme le coefficient de x2 est le plus petit positif, on va faire entrer x2 en base: coef bi x1 x2 t1 t2 t3 -1/2 1 –2 1 1 0 0 x2 1 7 7 0 -3 1 0 t2 L2 – 3L1 4 4 1 0 0 0 1 t3 Z - 1 1 0 -1 0 0 L4 – L1 on va faire entrer x1 en base et en sortir t2: bi x1 x2 t1 t2 t3 3 0 1 1/7 2/7 0 x2 1 1 0 -3/7 1/7 0 x1 3 0 0 3/7 -1/7 1 t3 Z – 2 0 0 -4/7 -1/7 0 On a obtenu la solution optimale , puisque les