La Laideur Peut Elle Etre Un

différence entre l’idéal et la réalité. Mais cette image idéale a une opposition dans elle-même, comme le vers 8 suggère, “la douceur” et “le plaisir”. Peut-être, pour le poète, ces deux sensation sont toujours liées dans la vie, même que la mort (“plaisir qui tue”) rend la vie plus belle. Mais dans la réalité, autour du poète, il ne peut voit que laideur et banalité, “la rue assourdissante autour de moi hurlait”. Le désir profond pour la beauté et l’idéal est suggéré par l’opposition de “un éclair” et

thème signifiant à un regard sur le paysage urbain de la ville qui se révèle par une ville rêvée et puis par la ville réelle. En effet, le paysage urbain idéal est froid : importance des miroirs, décors, façades ; règne du minéral, de l’inanimé. On peut voir ceci illustrer dans les poèmes "Paysage" et "Rêve parisien". De même, le poète porte un rêve d’architecture urbaniste qui bannirait tout éléments naturels de sa composition, une sorte d’architecture de l’esprit permettant la détente. Mais dans

La petite sirène L’œuvre étudiée est intitulée Contes . Il s’agit d’un recueil où il est recensé certains des contes écrits par l’auteur danois Hans Christian Andersen. On peut d’ailleurs lire dans la préface que ces contes « ne sont pas présentés dans l’ordre chronologique éventuel de leur composition […] mais dans celui de la publication des recueils où ils figurent, tels que ces recueils ont vu le jour du vivant de leur auteur » De ce fait, l’extrait étudié

1891, et a participé à la guerre en tant que simple soldat. Otto Dix est En effet il voulait témoigner par ses peintures de ce qu’il voyait, de ce qu’il vivait. A cette volonté de témoigner s’ajoute un défi esthétique : Peindre la réalité, la laideur et montrer les terrifiantes suites de la guerre. C’est ce que fait Dix dans une série de toiles en 1920, qui mettent en scène des personnages affreusement mutilés. « Pragerstrasse » est l’une de ses tentatives majeures. Cette fiche présente

indications d'action, de jeu ou de mise en scène. Elle permet de donner des informations, en autre, sur le comportement, l'humeur ou encore la tenue vestimentaire d'un personnage. Bien qu’intercalées dans le dialogue écrit, elles ne sont pas destinées à être prononcées sur scène, mais sont utiles à la fois au metteur en scène et aux acteurs, ainsi qu’au lecteur afin qu’il visualise mieux l’action, les personnages ou le décor. Plus précisément, la didascalie initiale comporte la liste des personnages

conte. Quels sont les détails qui insistent sur l'apparence physique de la Bête ? Citez des passages précis. Les détails comme l'adjectif “laid” (l.6) et “laide (l.26) ou même l'association du mot “monstre” (ligne 1) nous informe sur la laideur de cette bête, sur le fait qu'elle n'est pas belle à regarder. Le mot monstre associé indique qu'elle n'est pas d'apparence humaine, elle est différente et laide. Quels sont les détails qui montrent l'humanité de la Bête ? Cites des passages

escamotée dans les phrases où disparaisse les adverbes de négations comme dans ce même vers 33, ainsi qu'au vers 43 « si tu le fais pas ». L’effet d'oralité généré par ses élisions intempestives contribue à assoir la modernité du poème. A ce sujet on peut encore noter, l'interjection « ah ah » qui se dispense des marques du discours direct. On trouve aussi dans ses vers des métaphores littéraires : « le teint de rose » vers 15, « la cuisse de nymphe » vers 19 qui voisine toutefois avec des images plus

engagement politique contre la pauvreté : Principale maladie du Peuple. En 1831, il écrit Notre Dame De Paris, un roman qui parle de l’amour entre Quasimodo, un sonneur des cloches de la cathédrale Notre Dame de Paris qui représente la difformité et la laideur et Là Esméralda, une égyptienne qui représente la fraicheur et la beauté de la jeunesse. Ces personnages antagonistes ont en commun d’être misérables et livrés à eux même. Pour illustrer l’écriture de Victor Hugo, nous avons choisit d’approfondir

exaltées par l’orgie, il ne fallait rien moins, pour enlever les suffrages, que la grimace sublime qui venait d’éblouir l’assemblée. Maître Coppenole lui-même applaudit ; et Clopin Trouillefou, qui avait concouru, et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre, s’avoua vaincu. Nous ferons de même. Nous n’essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre, de cette bouche en fer à cheval, de ce petit œil gauche obstrué d’un sourcil roux en broussailles tandis que

regardant dans ses yeux. ─ « Elle est délicieuse ! » j’ai entendu que vous disiez cela avec Hartmann. « Elle est délicieuse ! » Tu ne t’attendais pas à cela, hein ? Cette haine qui me creuse le visage, cette voix qui crie, ces détails crapuleux. Je dois être laide comme la misère en ce moment. Ne dis pas non. Tu es tout pâle. Les vaincus sont effrayants, n’est-ce pas ? Florent ─ Pourquoi emploies-tu des mots aussi bêtes ? Tu n’es pas un vaincu, et surtout, je ne suis pas un vainqueur. Thérèse ─ Tu