La Laideur Peut Elle Etre Un

témoignent d’une volonté de reproduction des objets réels. La tradition du portrait a imposé à l’artiste une exigence de ressemblance. La peinture de manière générale a été, et demeure un art figuratif, qui représente donc des objets réels que l’on peut reconnaître, mais cela est aussi vrai en musique bien des chefs-d’œuvre sont des figurations. Dans l’antiquité la sculpture grecque se faisait avec des moulages ex : des moulages de taureau où les « artistes », se sont contentés de jeter un animal

confronter les conceptions esthétiques et humaines de l'antiquité à nos jours. Les Sociétés Grecques et romaines La caricature remonte à la plus haute antiquité, ou tout au moins à l'époque où les arts du dessin eurent fait quelques progrès. On peut supposer que les sociétés, où la recherche des critères de la beauté était proposée comme but aux artistes, contenaient en elles la possibilité de voir naître une antithèse. Les sociétés grecque et romaine semblent avoir réuni les conditions d’une

laquelle on annonce ce qu'on va prouver dans l'ensemble de notre paragraphe. Conséquemment, l'idée principale chapeaute tout le paragraphe ; c'est donc dire que tous les éléments du paragraphe visent à prouver cette idée principale ; ils doivent tous lui être reliés. Souvent, l'idée principale répond directement à la question. Il est préférable de créer des idées principales «binaires», i.e. qui peuvent se diviser en deux sous-aspects. Il n'y a qu'une seule idée principale par paragraphe. Abréviation :

importe effectivement peu (I), puis nous étudierons en quoi c'est le "regard" du poète, et peut-être aussi sa langue, qui déterminent ce qu'on appelle poésie (II). *** La poésie est souvent considérée hâtivement comme le genre littéraire consacré aux sentiments les plus purs, ou au rêve (a) . Une lecture attentive des textes démontre pourtant le contraire : elle peut aussi cultiver le mal ou la laideur (b) voire préférer, tout simplement, la réalité (c). On associe volontiers à la poésie

Correction analyse linéaire texte EAF 6(l’introduction et la problématique sont sur la fiche distribuée précédemment)1er mouvement lignes 1 à 13 : Créon, une figure paternelle- deux verbes à l’impératif présent : empressement de Créon, sentiment d’urgence à rendre Antigone heureuse, à la sauver d’elle-même ligne1- apostrophe : « Antigone » : il s’adresse à elle, l’invective, sentiment de supplication.- lignes 2/3 : métaphore de la vie et de la fuite du temps, toujours sentiment d’urgence, bonheur

"roi dénué" ou "humble ver de terre"... Comment peut-on comprendre, selon vous,que les poètes s'affligent à eux-même des images si contrastées? I] Les poètes se voient eux-même soit de manière positive, soit de manière négative; parfois les approches se combinent selon l'état d'esprit ou d'âme du poète. 1) Analyse des représentations négatives 2) Un poète mal à l'aise dans le monde où il vit (cf. Animaux de la terre) 3) Mais le poète peut aussi s'évader dans un idéal (cf. Animaux du ciel)

ses lecteurs sur les héros littéraires. On demanda aux premières « Quel est le héros littéraire qui vous est le plus cher? » ; aux seconds : « Quel est le héros littéraire que vous auriez voulu être ? » : Cyrano l’emporta souvent, suivit de loin par d’Artagnan et Jean Valjean. Ce palmarès semblerait être le même de nos jours : Il serait encore largement en tête devant les héros d’Alexandre Dumas ou de Victor Hugo. Le succès de la pièce ( jouée plus de mille fois entre 1897 et 1913), ne se dément

double postulation de son être, déchiré entre sa soif d'une idéalité perdue et son enlisement dans les tourments du quotidien, qu'il nomme " ennui ", " guignon ", et surtout " spleen ", puisque c'est à l'unicité de ce mot anglais qu'il a donné mission de traduire la pluralité de ses souffrances morales et physiques. 2. " TABLEAUX PARISIENS " (poèmes LXXXVI à CIII), où la ville, " la fourmillante cité pleine de rêves ", impose à la fois au créateur le miroir multiplié de sa laideur et de son mal et le

Jeune fille devant un miroir Par Pablo Picasso Je préfère les œuvres qui me parlent, les œuvres qui déclenchent en moi un intérêt particulier, celle qui m’intrigue ou me touche. Si l’œuvre ne m’évoque rien, peut importe sa beauté, elle ne m’intéressera pas. Comme disait Voltaire, «Il ne suffit pas de voir et de connaître la beauté d'une œuvre, il faut sentir et d'être touchés par elle. » Et ce tableau de Pablo Picasso m’a touchée, j’aime ses nombreuses couleurs vives, les teintes sont joyeuses

Rappeler que Montaigne a été embastillé en 1588 permet en effet de faire le lien avec Socrate condamné à mort. Ainsi Montaigne peut-il réécrire à la première personne le plaidoyer de Socrate, réaffirmant leurs traits communs que sont naturel et vigueur. La proximité entre la devise de Montaigne "Mentre si puo" - pendant qu'on peut - et le refrain favori de Socrate : "selon qu'on peut", a retenu l'attention d'Alain Legros. Sans oublier leurs différences, il souligne l'inspiration socratique dans sa variante