La Laideur Peut Elle Etre Un

syllabes). V. Hugo y fait l’éloge paradoxal de l’araignée et l’ortie, un animal et une plante malaimés car laids ou dangereux. LECTURE * Mouvement  : - vers 1 à 6 : il prend leur défense pour leur laideur. Ce n’est pas pour leur qualité qu’il les aime, mais pour leur statut de victimes. Le poète défend ces créatures viles et laides, s’opposant ainsi à l’opinion commune- vers 7 à 10 : l’araignée et l’ortie sont emprisonnées dans leur condition misérable

troisième, L'Homme qui rit de Victor Hugo, sont des romans du mouvement réaliste. Tout ces romans donnent une vision différente de la monstruosité humaine. Pour Mary Shelley le monstre qu'a créer Frankenstein est un être bon mais qui est devenu monstrueux, par ses crimes et par sa laideur, car la société l'a rejeté. L'auteur évoque dans cet extraits deux aspects de la monstruosité. Tout d'abord la monstruosité physique est exprimée très explicitement « une silhouette que je ne peux trouver de mots pour

qu'il faut être voyant, se faire voyant ». C'est en ces termes que, en 1871 dans la lettre du voyant, Arthur Rimbaud conçoit un véritable projet poétique étranger à la tradition. Le poète doit être en mesure de comprendre le monde qui l'entoure par une simplicité des plus recherchées. « Vénus Anadyomène » illustre parfaitement cette conception. Ce sonnet fait parti du recueil « Les cahiers de Douai », contenant 22 autres poèmes écrit en 1870, lors de son adolescence. Ce poème peut être considéré

.............................................. 27 3 1. Avant-propos La présente version du guide de présentation des travaux a été allégée et simplifiée. Elle laisse plus de place aux choix méthodologiques et à l’originalité (le rédacteur peut utiliser des modèles de page titre comme ceux que l’on retrouve dans le logiciel Word). Elle demande cependant au rédacteur de faire preuve de rigueur en s’assurant notamment que toutes les informations requises sur la page titre sont présentes

vision du poète à travers la présence du crapaud dans un cadre merveilleux et l'intention morale de ce poème . Le crapaud observe la nature , et est témoin du crépuscule , situation purement symbolique soulignant clairement le contraste entre la laideur et la beauté . Ce poème se situe dans un paysage crépusculaire ou la nature dévoile sa beauté : « le couchant »v.2 , « nuages roses » v .2 , « déployant » v14« jour affaibli »v15 , l'auteur veut nous montrer la magnificence de cet instant et de

pressentiment d'une laideur définitive du monde" mais cette affirmation est-elle réellement fondée? Pour cela, nous allons dans un premier temps aborder la manière dont les médias donnent, à la population, l’image d’un monde laid et pourquoi ils le font ; puis, dans un second temps nous réfuterons l’affirmation énoncée par G. Suffert. Tout d’abord, nous pouvons comprendre comment les médias nous donnent l’image de la laideur du monde et quels sont leurs buts. Premièrement, on peut remarquer que

tout un moment de description du personnage qui est repoussante et affreuse mais aussi admirable , en effet au moment de la grimace , le peuple pouvait apercevoir son visage , et celui-ci n'est du tout admirable « et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre » ; on constate que son visage est désordonné , et mal conçu « de ce nez tétraèdre , de cette bouche en fer à cheval » , cependant on remarque quelques comparaisons qui est faites à son visage  « de ces dents désordonnées

vulgaire s’imagine volontiers que ce qui est laid n’est pas matière artistique. C’est une profonde erreur. Tout ce qu’on nomme laideur dans la nature peut dans l’art devenir admirable. (Rodin) Selon Rodin, les gens ordinaires pensent facilement que l’art ne peut pas être fait de quelque chose de laid. Il réfute cette thèse en affirmant, quant à lui, que tout ce qui est laid peut, par l’art, devenir admirable. Notons tout d’abord que le terme de « vulgaire », signifiant ici la classe moyenne de la société

l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit... Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un oeil moins superbe, Tout bas, loin du jour

étudier le portrait d’une femme. Un éloge est fait, non pas de sa beauté, mais de sa laideur, elle est le contraire des caractéristiques de beauté du siècle de du Bellay, et c’est une satire des courtisanes de cette époque. Il apporte une touche de modernité à la poésie. Ce texte est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets, eux-mêmes écrits en alexandrins. Au premier abord, le poème peut sembler être un éloge de la beauté d’une femme, cette éloge étant accentuée par l’anaphore de