La Laideur Peut Elle

responsabilité d’un entier système politique, fait peut-être la tragédie du Cromwell voire du pouvoir. Mot-clé : Cromwell, souverain, régime, légitimité, humanité Dans le théâtre de « Cromwell » de Victor. Hugo, il y a une composition intéressante qui est vue très rarement dans d’autres théâtres concernant le souverain : les complots sont essentiels dans les théâtres du souverain parce qu’ils font voir clairement la cruauté des luttes pour pouvoir et la laideur d’humanité. Mais ici dans « Cromwell », tous

suivi d'un sizain (deux tercets). La rime dans un sonnet italien n'est pas si normalisée que chez Shakespeare. Ici ABBA ABBA CDE CDE. 12 syllabes par vers. Le sujet est le cœur de l'amant. Puisque la dame le dédaigne et ne l'accepte pas, il ne peut pas le trouver aussi valoreux qu'avant. Il veut même le banir! Pour empêcher une autre dame d'en profiter!! Si sa dame ne le sécourira pas dans son exile, elle lui fait faute double: à l'auteur et encore plus à elle-même puisque le cœur l'aime davantage

: les deux tercets : recherche de l’origine d’ un chant mystérieux, ambiance fantastique 2ème mouvement  : les deux quatrains : beauté et laideur du crapaud maudit chute  : dernier vers, explication du poème 1er mouvement

créé. Il tue d’abord le frère de Victor. Celui-ci ne pouvant dévoiler son œuvre et ses actions, se retrouve face à ce secret qui va l’envahir et le refermer sur lui-même. Il se retrouve seule face ce monstre, qu’il a lui-même créer, mais dont il ne peut dévoiler l’existence, de peur d’être pris pour un fou. Cependant, le monstre s’avère être moralement humain, mais physique inhumain. Qu’est ce qui nous montre que ce roman est un roman de science-fiction qui dépasse les lois naturelles ? I- Les dangers

là, en effet, le jouet n'est pas nommé dès le début, on a: «son propre joujou» l.14, «un objet rare et inconnu»l.15 qui attise la curiosité du lecteur puis enfin «ce joujou» à la linge16. Le rat vivant, bien que laid, l'emporte sur l'inerte comme on peut le constater par la série de verbes : «agaçait, agitait et secouait»(l.16). A la fin du texte les deux personnages se rapprochent et il y a une idée de réciprocité avec l'emploi de l'adverbe « fraternellement » (l.17), ainsi que le terme d'« égale

représente ici le moment ou la dépouille du défunt doit être descendu dans la fosse. A cet enterrement, qui inaugure le large espace du nouveau cimetière assiste une assemblée représentative des principaux membre de la communauté rurale d'Ornans, que l'on peut diviser en 2 groupes. On va donc d'abord vous présenter les officiants de cette cérémonie et ensuite la communauté villageoise. 1) Les officiants Les officiants se trouvent principalement à gauche du tableau. Le clergé entoure le cercueil soutenu

autres, aux tableaux de Gustave Moreau, crée des parfums raffinés, un jardin de fleurs vénéneuses, il fait encore incruster dans la carapace d'une tortue des pierres précieuses, mais celle-ci meurt sous le poids des joyaux (symbolisme du réel qui ne peut porter le poids du rêve, du beau). Finalement, Des Esseintes ne parvient pas à venir à bout de cette névrose d’ennui. Le passage que nous commentons s’intègre à un ensemble consacré à la peinture de la cruauté et concerne un moment du mythe de Salomé

à l'abri. Là, il veille sur elle, jaloux et farouche, espérant peut-être la séduire? Cependant, les truands avec lesquels vivait Esmeralda viennent pour la délivrer. Frollo profite du tumulte pour l'emmener avec lui, et tente à son tour de la séduire. Furieux de son refus, il la livre entre les griffes de la vieille recluse du Trou-au-rats. Mais au lieu de déchirer la Esmeralda, celle ci reconnaît en elle sa propre fille. Elle ne peut cependant en profiter, car les sergents de ville la retrouvent

vision de l'homme et du monde. On peut donc amener le lecteur à se demander qu'elle est la fonction de ce dénouement. Nous étudierons la modernité d'un monologue théâtrale exprimant l'image d'un individus face au totalitarisme qui mal grès lui devient un héros moderne. Tout d'abord, ce monologue final reprend la tradition théâtrale prônant la solitude qu'illustre une situation tragique. Ici, Béranger est confronté à un dilemme et à une crise d'identité. On peut relever les nombreuses utilisation

Et dans une dernière étude, nous observerons que ce texte est un « modèle » de l’écriture balzacienne. I.Un peuple horrible Le narrateur intervient dans ce texte de manière évidente, effectuant un portrait horrible du peuple de Paris a.la laideur des individus Nombreux adjectifs péjoratifs qui insistent sur les couleurs qui apparaissent comme repoussantes, l.3 « hâve, jaune, tanné », l.14 « jeunesse blafarde et sans couleur », l.19-20 « la teinte presque infernale des figures parisiennes »