La Laideur Peut Elle

2001ce conte-ci est capital tant au point de vue thématique que formel. Ce pou voir structurant du titre, et ainsi du conte, a d'ailleurs peut-être échappé en particulier aux nombreux commentateurs anglophones à cause de sa tra- duction anglaise Mad Shadows qui insiste plus sur la dimension démentielle et diabolique du texte, que sur la dialectique entre beauté et laideur, et tous les autres termes oppositionnels que le roman met en jeu: corps/esprit; amour/haine; bien/mal; masculin/féminin. Selon nous

LA 4 : l’art indien p124-125 « Ts les regards » à « laideur » Débat sur l’art car permet différenciation entre homme / animal ( même principe avec le sourire, l’attachement filial ). Lecture p118-119 : art diff ms ne doit pas être méprisé. Témoignage de Cortès prtt grd massacreur d’indiens : art grandiose, fondé sur proportions extraordinaires. J-C Carrière, en 1992, écrit La Controverse de Valladolid, œuvre débattant sur la liberté et l’égalité des Indiens des nouvelles terres par rapport

sa virtuosité dans le maniement du fer et des vers, « Je coupe, je feinte… […] A la fin de l’envoi, je touche. » (vers 435-436) et par sa rhétorique, son sens du mot d’esprit et de la pointe assassine. La conscience de sa laideur s’accompagne d’un désir de beauté chez l’autre, chez Roxane, comme chez Christian. Ce dernier lui fournit, dans l’union quasi mystique qu’il contracte avec lui, un déguisement idéal pour laisser libre cours à son esprit et à son affectivité. Christian

La société n’est pas belle. Elle éradique la beauté en déracinant les arbres et la nature. Elle met aussi beaucoup plus d’importance sur l’apparence que sur les valeurs. C’est pourquoi la société est laide. Toutefois, la beauté peut être retrouvée par ceux qui la cherchent vraiment. En effet, le monde est un spectacle; il suffit de regarder aux bons endroits. La beauté est illustrée dans plusieurs œuvres littéraires, notamment le conte Le petit prince, d’Antoine de Saint Exupéry, la nouvelle littéraire

dans le charnier de Montfaucon, enfin unis pour l'éternité. IV) Un lieu, la cathédrale La cathédrale Notre Dame de Paris est un lieu d’où l’on voit tout Paris, la place de Grève où réside le roi Louis XI, la Seine, et tant d’autres lieux. On peut dire que c’est un symbole qui représente le regard porté par l’auteur sur le récit. La Cathédrale est grande, c’est un édifice qui se situe entre l’art gothique et l’art roman. Sa façade est composée de deux hautes et imposantes tours noires, de trois

c’est un mot prosaïque, qui n’a aucune dignité poétique. La voix des chiffonniers se fait entendre et le poète se place en soutien pour la relayer. Ce poème peut donc s’analyser en tant qu’hommage au vin et réhabilitation des petites gens. Objet précieux, le vin devient l’or dans la boue. Il participe ainsi à l’alchimie poétique et peut être qualifié de « Paradis artificiel ». Le poème est composé de huit quatrains et s’articule en trois temps : Mouvement 1 : La réalité parisienne v.1 à 12

Des phénomènes étranges se produisent : les paupières repoussent (vite, qui plus est), et rien de ce qui est coupé du corps ne saigne. On dirait que Colin n’est qu’une statue que l’on peut sculpter sans abîmer, sans blesser. Les boutons, désignés sous le nom de « comédons », se dissimulent dès que leur laideur est remarquée dans le miroir grossissant ! Introduction de Colin Un intérieur familier De prime abord, pourtant, nous sommes plongés dans un univers aux repères apparemment familiers

l'accumulation d'exclamations négatives ("je n'ai pas de cornes, hélas!", "je n'arrive pas à barrir. (…) Les hurlements ne sont pas des barrissements!") inscrivent l'extrait dans un moment de négativité. Les termes de "honte", "manque", ainsi que la laideur et la moiteur évoquées ajoutent à la tension tragique qui atteint ici, après trois actes son paroxysme. Cet extrait est le dernier moment d'une intrigue qui n'avait de cesse de se précipiter vers le pire. De plus, la tragédie se définit par deux

l'extrait est l'incipit du roman Scarron ( 1610 – 1660) utilise la comédie, vers burlesque et les parodies d’épopées. Son objectif : démystifier les traditions littéraires et il se moque des procédés d'écriture stéréotypés. Titre surprenant (un roman ne peut pas être comique à l'époque) et aspect oxymorique du titre : reprend un genre qui est à la mode, mais le transforme en version burlesque Annonce du plan + (Problématique : Comment cet incipit met-il en place l'univers du récit de manière à surprendre

couleuvre,     L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes,     Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes     De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure,     Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre,     Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ;     Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie     De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe,     Tout bas