La Laideur Peut Elle

respectant assez fidèlement la didascalie liminaire de l’auteur : « Un décor neutre. Trois portes semblables. Au lever du rideau, tous les personnages sont en scène. Ils bavardent, tricotent, jouent aux cartes. Le Prologue se détache et s’avance. ». On peut imaginer que la troisième porte est dissimulée au centre de cette toile de fond. Il n’y a pas de meubles mais de simples marches, les marches du palais… Tous les personnages sont en scène, comme si ils n'étaient pas encore en représentation

amoureuses. Les marqueurs de lieu et de temps précis « parc » (V1) « la nuit » (V16) : mise en place d’un cadre spatio-temporel qui ancre le récit de la rencontre dans un décor. Le poème se présente comme un compte rendu, le récit d’une rencontre qui peut paraître clandestine. * Les trois premières strophes mettent en place le lieu de la rencontre. * Strophes 4 à 7, transcription du dialogue des deux personnages au discours direct. * Strophe 8 : conclusion + fin de la rencontre. Les personnages

pourrait la voir. Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif Mathilde se fit qu’a l’apparence pour tout ce qui l’entour, elle rêve de la perfection mes elle ne peut ce le permettre. Image : indice des classes social de l’époque Champ lexical des classes social. Bourgeois : misère, usure des sièges (p.161), laideur, saleté… Riche : grâce, finesse, propreté, gastronomie… Troisième argument principal Maupassant fais constater les lecteurs par une vision saisissante qui fais réfléchir sur

l'idée « d'éducation au goût » (voir Voltaire et Rousseau).  Il semble qu'il existe des critères déterminant le goût artistique ou la beauté: En reprenant la pensée de Hume, la beauté procure du plaisir tandis que la laideur provoque un malaise. Cet effet du beau ou de la laideur est partagé, il n'est pas uniquement lié à l'individu. Ainsi, le bon goût et le mauvais goût sont identifiés comme tels par tous, parce que les effets sur le sujet sont identiques chez tous les individus. il est faux de

Ainsi, d’après Kant, une œuvre d’art est définie par son inutilité. Par ailleurs l’œuvre d’art est unique alors que la technique peut-être reproduite à l’infini. Mais, la limite entre art et technique reste floue. Pour Panofsky, seule l’œuvre artistique relève du beau. Mais il ne suffit pas qu’un objet soit esthétique pour être artistique (design) et un objet technique peut être artistique (Andy Warhol). Par conséquent, l’art n’est-il qu’une convention langagière ? Est-ce la seule signature de l’artiste

les femmes à droite, en dernier, comme à l’église. Puis, Courbet peint son village natal, où on peut voir sa mère, son père, ses trois sœurs, le maire ainsi que des villageois qui posent sur le tableau. On peut voir derrière les hommes portant le cercueil (qui sont les amis de Courbet), on voit un homme plutôt âgé, à l’arrière, un peu isolé, qui n'est autre que son grand-père décédé un an avant. On peut constater que le niveau social représenté est un niveau social assez élevé, faisant même partie

fait un portrait mélioratif et va même jusqu’à l’idolâtrer. Deuxième partie : Contrairement à Napoléon I, l’auteur méprise son neveu Napoléon III. Il n’a pas peur de rendre sa haine publique et le dénonce. Il se moque de sa stature et de sa laideur et critique ses choix politiques et militaires. Premièrement, Victor Hugo défit ouvertement l’empereur. Il s’adresse directement à lui en utilisant la deuxième personne du singulier comme au vers 2 « Te voilà » ou au vers 24 « Pour que tu puisses »

fuite du temps et la mort……………………………. p3 2.L’idéal, le sublime, l’harmonie………………………….p5 3. La femme………………………………………………………..p7 4.Le serpent………………………………………………………..p8 5. L’exotisme…………………………………………………....p10 6.La beauté et la laideur……………………………………p12 Thématique : La fuite du temps et la mort Dans le poème L’ennemi écrit pas Charles Baudelaire en 1857, la mort et la fuite du temps sont les deux sujets principaux. Le temps est personnifié et représenté comme celui qui «  mange

1891, et a participé à la guerre en tant que simple soldat. Otto Dix est En effet il voulait témoigner par ses peintures de ce qu’il voyait, de ce qu’il vivait. A cette volonté de témoigner s’ajoute un défi esthétique : Peindre la réalité, la laideur et montrer les terrifiantes suites de la guerre. C’est ce que fait Dix dans une série de toiles en 1920, qui mettent en scène des personnages affreusement mutilés. « Pragerstrasse » est l’une de ses tentatives majeures. Cette fiche présente

que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe, Tout bas, loin du jour, La mauvaise