La Laideur Peut Elle

dramatique) (« je lève au ciel les yeux, je vous regarde, je soupire »), Angélique essaye de faire des rimes croisées alors que Cléante faisait des rimes embrassées, mais elle n'y parvient pas complètement car mélancolique et soupire ne riment pas. Cela peut être un indice de l'improvisation. La didascalie répond en chantant montre que la pièce en italique est chantée, donc elle se démarque par rapport au reste de la pièce principale. Il y a un souhait de montrer que la pièce dans la pièce n'entretient

élément est une nouvelle raison d’être en colère. Le ton monte progressivement jusqu’à la dernière phrase qui est une question réthorique. _ Le mot le plus important du discours semble être « laideur ». C’est ce qui a le plus parqué Silvia. Alors que dans la scène 10, c’est Silvia qui employe le terme de « laideur ». Elle prète à Lisette des mots, elle change ce qu’elle dit, l’interprète de manière restrictive. Elle donne beaucoup plus de virulence à ses paroles, elle les déforme en les mettant de manières

transformer la laideur en beau. Vous pouvez donc deviner que cette œuvre divisée en six sections: «Spleen et Idéal», «Tableaux parisiens», «Le Vin», «Fleurs du Mal», «Révolte» et «la Mort», mêlera les valeurs du beau et du laid, du bien et du mal. Pour vous aider à mieux comprendre ce recueil chers lecteurs, nous avons choisi de vous présenter cinq pièces illustrant le thème de la boue et de l’or. Notre anthologie vous fera découvrir que la boue représentante du mal et de la souffrance peut être

(1ère partie : du début du texte à « Donc je ne suis pas laid, car l'effet de la laideur, sa force repoussante, est anéanti par l'argent »), l’argent nouveau Souverain bien des temps modernes (2nd partie : de « De par mon individualité, je suis perclus » à « comment son possesseur pourrait-il ne pas avoir d'esprit ? ») ; enfin le miracle de l’argent et l’« objet-isation » de l’esprit (3ème partie : de « De plus, il peut acheter les gens spirituels et celui qui possède la puissance sur les gens d'esprit »

vin : Cherchant un refuge et une nouvelle source d’inspiration, Baudelaire se tourne vers les paradis artificiels (vin, drogue), mais c’est encore une fois un échec. 4. Fleurs du mal : Après avoir dépeint la laideur extérieure dans les Tableaux parisiens, Baudelaire se concentre sur la laideur intérieure : il décrit les vices et les corruptions des hommes. 5. Révolte : Désespéré, l’auteur voue un culte à Satan et envisage de passer un pacte avec le diable, afin que celui-ci le délivre du spleen et

(= 12 quatrains d’alexandrins alternés avec octosyllabes + rimes croisées) > le fond (illustre le projet novateur du poète = beauté poétique avec le mal)Problématique = Comment Baudelaire cherche-t-il ici à transformer en beauté la laideur de la charogne tout en donnant une leçon sur le temps et le rôle du poète ? Analyse :TITRE : · Terme surprenant, « charogne » = cadavre en décomposition. Apparaît comme peu poétique et provocateur· Terme désagréable avec des sonorités dures

qui devient plus importante que la laideur. Nous verrons comment se classent L'adieu de Balzac et les Trois Contes de Flaubert par rapport à cette définition du réalisme que nous donne Edmond de Goncourt. Pour cela nous verrons d'abord dans quelles manières elles se classent comme œuvres réalistes, puis nous les étudierons comme exemples de définition de la beauté et de ce qui est élevé, et enfin, nous examinerons le côté du réalisme comme description de la laideur dans ces œuvres. Le réalisme

résistance, la mort et l’espoir. Le poète puise son inspiration dans le monde qui l’entoure. Paul Eluard, par l’intermédiaire de son poème, évoque, suggère un monde vaste, qu’il est difficilement de borner. En effet, la forme du poème peut nous donner un indice. Le poème est en vers libres, et de plus il est composé d’une seule et unique phrase, sans ponctuation, excepté le point final. Cet effet de longueur marque le caractère « innombrable » (v. 1 + 3) de la Terre. Les grandes villes

rhinocéros constituent la norme de référence : il se qualifie de « monstre »l.27 et se compare, à son désavantage, aux rhinocéros Les rhinocéros sont connotés positivement alors que lui ne cesse de se trouver laid. Le contraste de la beauté et de la laideur (« je ne suis pas beau »l.1, « ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, « rugueuses »l.11 / « flasque »l.13, « dure

d’une déesse avec un(e) mortel(le) : il se distingue par des qualités (comme la force ou le courage) qui suscitent l’admiration. Le sens du mot s’est atténué au cours des siècles pour finir par désigner simplement le personnage principal d’un roman. On peut citer à titre d’illustration la célèbre intervention du narrateur dans La Chartreuse de Parme de Stendhal au sujet de Fabrice égaré à Waterloo : “Notre héros se montrait fort peu héros en ce moment”. C ’ e s t e n c e s e n s q u ’ o n a p u p a r