La Laideur Peut Elle

vers 4. L'expression « fortement pommadés » (vers 2) suggère des soins de beauté maladroits, incapables de lutter contre la laideur due à l'âge. De plus ce terme oppose le fard et l'artifice à la beauté naturelle, attribut de la déesse. L'allitération en [S] du vers 4 traduit l'amollissement de la chair. Femme sans grâce : « lente et bête » (vers 3). Le terme « bête » peut également conférer une dimension animale à la femme. La Vénus est présentée comme une personne grasse : « gras et gris » (vers

l'entoure par une simplicité des plus recherchées. « Vénus Anadyomène » illustre parfaitement cette conception. Ce sonnet fait parti du recueil « Les cahiers de Douai », contenant 22 autres poèmes écrit en 1870, lors de son adolescence. Ce poème peut être considéré comme une parodie invitant à l'imitation comique. Initialement, il s'agirait de faire l'éloge du mythe antique et universel de la Vénus anadyomène (naissance d'Aphrodite sortie des flots), pourtant l'auteur en détourne les intentions

mœurs car c’est vu comme pathétique. Sous toute sa parure de tissu et de superficialité ce n’est que la vanité d’une femme âgée qui est dénoncé. [pic] [pic] Croquis de Léonard de Vinci La vieille femme grotesque nous saisit par sa laideur. Mais nous pouvons voir cette œuvre sous un tout autre aspect, à savoir une représentation de la maladie de Paget qui déforme les os. On suppose qu’à ce titre, Metsys aurait pu vouloir retranscrire une part de cette réalité car l’artiste s’intéressait

Le sonnet « Vénus Anadyomène », écrit par Rimbaud en 1870, peut être considéré comme un exercice de parodie. La parodie consiste dans l’imitation satirique d’un texte ou d’une image, qui les détourne de leurs intentions initiales afin de produire un effet comique. Tel est bien le principe suivi par Rimbaud dans ce poème. Comme l’indique le titre, il prend pour thème le mythe antique de la naissance d’Aphrodite (Vénus Anadyomène signifie « Vénus née des flots »), récit universellement connu par ses

tout un moment de description du personnage qui est repoussante et affreuse mais aussi admirable , en effet au moment de la grimace , le peuple pouvait apercevoir son visage , et celui-ci n'est du tout admirable « et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre » ; on constate que son visage est désordonné , et mal conçu « de ce nez tétraèdre , de cette bouche en fer à cheval » , cependant on remarque quelques comparaisons qui est faites à son visage  « de ces dents désordonnées

pressentiment d'une laideur définitive du monde" mais cette affirmation est-elle réellement fondée? Pour cela, nous allons dans un premier temps aborder la manière dont les médias donnent, à la population, l’image d’un monde laid et pourquoi ils le font ; puis, dans un second temps nous réfuterons l’affirmation énoncée par G. Suffert. Tout d’abord, nous pouvons comprendre comment les médias nous donnent l’image de la laideur du monde et quels sont leurs buts. Premièrement, on peut remarquer que

Hugo, sont des romans du mouvement réaliste. Tout ces romans donnent une vision différente de la monstruosité humaine. Pour Mary Shelley le monstre qu'a créer Frankenstein est un être bon mais qui est devenu monstrueux, par ses crimes et par sa laideur, car la société l'a rejeté. L'auteur évoque dans cet extraits deux aspects de la monstruosité. Tout d'abord la monstruosité physique est exprimée très explicitement « une silhouette que je ne peux trouver de mots pour décrire […] difforme dans ses

lorsque je repense à cet accueil. Oui parfaitement, cet accueil qui a été fait à ce magnifique recueil Les Chants de Maldoror. J’aimerais beaucoup savoir qui peut se donner le droit de juger un tel ouvrage, et qui peut s’autoriser à rejeter un homme qui pense simplement différemment. Et d’ailleurs pourquoi serait-il interdit de parler de la laideur ? Le poète est en droit à toute source d’inspiration possible, qu’il veuille parler de nature, d’objets, de sentiments. La beauté est, il me semble autorisé

pouvons étudier le portrait d’une femme. Un éloge est fait, non pas de sa beauté, mais de sa laideur, elle est le contraire des caractéristiques de beauté du siècle de du Bellay, et c’est une satire des courtisanes de cette époque. Il apporte une touche de modernité à la poésie. Ce texte est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets, eux-mêmes écrits en alexandrins. Au premier abord, le poème peut sembler être un éloge de la beauté d’une femme, cette éloge étant accentuée par l’anaphore

paragraphe; introduction du thème central qui sera développé tout au long du paragraphe L’ idée principale: 1 ou 2 phrases maximum dont l’une contient clairement le mot-clé désignant l’idée principale (IDÉE=concept abstrait. Par exemple : la laideur, la beauté, l’amour, la haine, l’ironie, etc.) ATTENTION : Début du premier paragraphe: Reprendre le terme-clé (ou un synonyme) utilisé dans le SD de l’introduction Pas de connecteur (tout d’abord, en premier lieu) ou d’organisateur textuel