La Laideur Physique

1891, et a participé à la guerre en tant que simple soldat. Otto Dix est En effet il voulait témoigner par ses peintures de ce qu’il voyait, de ce qu’il vivait. A cette volonté de témoigner s’ajoute un défi esthétique : Peindre la réalité, la laideur et montrer les terrifiantes suites de la guerre. C’est ce que fait Dix dans une série de toiles en 1920, qui mettent en scène des personnages affreusement mutilés. « Pragerstrasse » est l’une de ses tentatives majeures. Cette fiche présente

deuxième strophe débute également par “parce que”. L’araignée et l’ortie sont présentées comme des victimes. On peut le voir avec le portrait péjoratif qui leur a été dressé, avec les adjectifs “maudites” (condamnation inéluctable) et “chétives” (laideur qui entraîne la répulsion, le dégoût, la terreur) au vers 5. L’allitération en [r] “noirs êtres rampants” (v.6) les décrit comme des êtres maléfiques et sataniques. Le groupe nominal “tristes captives” (v.7) montre que l’araignée utilise sa toile

ville de Ram, où ils font la connaissance d'un jeune et riche planteur prénommé M. Jo. Il porte au doigt un énorme diamant, et malgré la laideur de son visage, la mère forme alors le souhait qu'il demandera sa fille en mariage. Le planteur, fasciné par Suzanne, revient tous les jours au bungalow. La mère surveille leurs entrevues pour leur empêcher tout contact physique ; ainsi, elle ne laisse à M. Jo que la solution du mariage pour satisfaire ses désirs. Monsieur Jo se prend au jeu, et essaie en quelque

ou “Peau d'Ane” mais encore “le petit Poucet”. Cela représente bien une caractéristique du conte. Quels sont les détails qui insistent sur l'apparence physique de la Bête ? Citez des passages précis. Les détails comme l'adjectif “laid” (l.6) et “laide (l.26) ou même l'association du mot “monstre” (ligne 1) nous informe sur la laideur de cette bête, sur le fait qu'elle n'est pas belle à regarder. Le mot monstre associé indique qu'elle n'est pas d'apparence humaine, elle est différente et laide

rire indélébile. « L’éclat de rire foudroyant », qui témoigne de la brutalité des moqueries, est un rire d’incompréhension car la foule refuse de reconnaître l’humanité du jeune homme, qui pourtant l’un de leur semblable, derrière sa monstruosité physique. Le comportement bestial de la foule va alors à l’encontre de la morale éthique qui voudrait accorder de l’empathie, de la pitié, du bon sentiment envers Gwynplaine plutôt que la répulsion de celui-ci de fait de la difformité de son apparence.

1 à 20 et 55 à 70. Vous pourrez montrer, par exemple, que le rire de Gwynplaine est omniprésent, puis que son aspect physique est en contradiction avec son caractère (aspect moral). Problématique : Comment l’auteur parvient-il à démontrer que le rire de Gwynplaine est malheureux ? Plan détaillé : 1. Un rire omniprésent. a) Un mal-être du quotidien. b) Un aspect physique en contradiction avec son caractère… c) … Qui le rend malheureux. 2. L’hypocrisie des personnes de son entourage. a)

impose la société ? Notre force de caractère, la considération que l'on accorde à l'attrait physique, à l'esthétisme interviennent pour moduler dans un sens ou dans l'autre notre perception individuelle. Notre auto évaluation n'est rendue possible que par comparaison à un référent. Le corps de l'autre est donc pris comme terme de comparaison pour estimer sa propre apparence et ses propres compétences physiques. L'autre n'étant que le modèle de perfection social imposé par la société, le duel s'annonce

celui, utopique, de l'Eldorado) de cette sagesse: se retirer du monde de la violence, travailler et faire fructifier ses terres en harmonie avec la nature. CA. a perdu l'illusion de la noblesse (voir meurtre du frère de CUN et celle de l'amour (cf laideur mais surtt caractère acariâtre de la "douce " CUN) ****** Q1: Les personnages a) Dans le chap. 1 CA est présenté en 1er (normal pour le héros!) mais reprendra la place due à son statut de "bâtard" à la fin du § où sont présentés les autres perso

condamné Bicêtre—La conciergerie—l’Hôtel de Ville Indices de l’énonciation Pronom personnel « je », adjectifs possessifs « ma… »… Thèse défendue L’abolition de la peine de mort Registres Le pathétique—Le tragique—Le lyrique Portrait physique du condamné Jeune, sain et fort Situation familiale Marié et père d’une fille de 3 ans. Il a une mère de 64 ans Situation sociale du condamné Instruit, éduqué, appartient probablement à la bourgeoisie (redingote, chemise de batiste)

Cioran écrit à propos de la Beauté : « Sous le soleil triomphe un printemps de charognes. La beauté n’est elle-même que la mort qui se pavane dans les bourgeons. » Derrière les égéries de la Beauté que la publicité nous assène triomphe une masse de laideur. Notre regard est sans cesse biaisé, détourné de ce qui dérange, de ce qui nous désespère, nous désillusionne. Et quand bien même nous nous réfugions dans la contemplation de la beauté véritable, exaltante, nous sommes vite rattrapés par l’emprise