La Laideur Physique

Une partie de campagne Tout d’abord, dans la nouvelle Une partie de campagne, Maupassant dresse un portrait ridicule des bourgeois en les décrivant comme des êtres grossiers. On peut le constater dans la description physique des personnages qui est très peu avantageuse. Entre autres, la description de Mme. Dufour nous laisse l’image d’une grosse femme qui se met très peu en valeur : «Elle respirait avec peine, étranglée violemment par l’étreinte de son corset trop serré; et la pression de cette

Cette grande toile des mutilés de guerre a fait scandale par sa violence insoutenable, qui dénonce indirectement la responsabilité des classes dirigeantes dans le conflit. Après la guerre, Dix a réalisé deux tableaux montrant les conséquences physiques de la Grande guerre sur les anciens combattants. des Joueurs de cartes (1920), et Rue de Prague (1920) Dans ce tableau , le fond est de couleur sombre et les personnages en couleur se détachent La situation est banale et représente une scène

Nous allons étudier trois textes présents au sein de ce corpus, « Je me trouve à chaque fois d'une laideur humiliante » tiré de L'Âge d'Homme écrit par Michel Leiris en 1939 ; « Et puis, ma chère, tout est en harmonie » tiré des Mémoires de deux jeunes mariées écrit par Balzac en 1842. Et « Triple Autoportrait » écrit par Norman Rockwell en 1960. Ce sont trois documents touchant le même sujet: l'autoportrait. On peut alors se demander, si la perception de soi même destiné aux autres est objective

d'autres. En bon citoyen Socrate participe aux combats de la guerre du Péloponnèse contre Sparte, notamment à la bataille de Potidée, vers -430 et sauve la vie de Xénophon à Délion (-424). Il est présentée comme un satyre. Sa laideur scandalise les athéniens pour qui la beauté physique est le symbole de la beauté morale. Socrate a de nombreux disciples comme Xénophon, Platon, Alcibiade, mais il n'a laissé aucun ouvrage car son enseignement est entièrement oral. Ses dialogues, ses pensées et sa méthode

représente la fille "facile" de bonne famille, dont l'habileté langagière, voire même une capacité toute panglossienne à recouvrir de termes nobles une attitude plutôtputassière, illustre clairement la naïveté de Candide : cette femme ne le vaut pas. La laideur qui l'afflige à la fin, sorte de révélateur tardif de sa véritable valeur, finit par rejoindre Candide et luiimposer la vraie nature de la donzelle vieillissante. Notre héros ressemble en cela à Pangloss : il faut à tous deux un long cheminement pour

placé inferieurement par rapport à elle --> chevalier)   II. L'échec de l'idéal 1) Le comique de la réalité - La chute, physique et morale (retour à la réalité) - Rythme ternaire avec "glissa, jeta et tomba" 2) Une réalité douloureuse et demystifiée - Opposition des champs lexicaux : beauté, raffinement, jeunesse et rêve pour la jeune femme, contre la laideur physique et morale de la ville ainsi que celle de ses habitants et du bataillon, dont Lucien fait partie. - C'est le regard de Lucien

instinctive. Au mieux sa “société” est jugée “insipide et sans intérêt”. Au pire le rejet va jusqu’à la violence, ainsi chez les autres enfants à l’orphelinat de Mme Gaillard. Il est vrai que les rares descriptions physiques que l’auteur nous donne du personnage insistent sur sa laideur, qui va en s’empirant au fil des mauvais traitements et des maladies. On peut citer deux extraits, le premier à la page 25 : “...il en garda des cicatrices, des crevasses et des escarres, ainsi qu’un pied quelque peu

lecteurs (enfants) car depuis leurs origines, de nombreux comtes abordent des questions essentielles liées à l’homme. Ici le dialogue se construit autour d’une opposition âme/physique ce qui signifie que l’apparence physique ne reflète pas nécessairement l’intériorité d’un individu. Relevé des champs lexicaux de la bonté et de la laideur, tous les 2 dominent dans cet extrait grâce à des oxymores. Ils aboutissent à la remarque finale de la belle énoncée sous la forme d’une antithèse « si laide » l26 qui

lampadaire une sorte de visage. Les formes des personnages sont brisées, « distorsionées » ce qui traduit la violence de la guerre. A travers ce tableau Otto Dix exprime la brutalité des combats et les conséquences physiques qu’elles ont eues sur l’homme (Les Gueules Cassées). La laideur, jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Otto Dix critique ainsi la guerre, en montrant de façon choquante ses conséquences dans

l’Evangile reste cause de persécution. Regardons ce qui se passe en France : les chrétiens sont taxés d’homophobes, d’extrémistes, parce qu’ils s’opposent à une loi amorale : le mariage pour tous. Une euphémisation qui masque à peine la puanteur et laideur du tapi rouge déroulé aux chantres de l’homosexualité. Le vingtième siècle est celui qui a connu le plus grand nombre de martyrs. Mais rien ne peut empêcher la Parole de Dieu de produire du fruit. C’est cette bonne nouvelle que nous lisons dans