La Lanterne

visage des victimes laisse percevoir la peur, renforcé par l’attitude des enfants.Scène la moins évocatrice car absence de sang mais laissant présager d’une barbarie sans limite. | Analyse chromatique | Couleurs chaudes assez vives : jaune pour la lanterne et rouge en référence au sang en opposition aux couleurs neutres et sombres : gris.Blanc, couleur qui met l’accent sur les victimes | La luminosité met en avant l’innocence et la pureté des victimes.Peinture nette rendant visible les détails. |

croyant en l'homme et en son libre arbitre sans cesser de croire en Dieu ou à la sculpture comme par exemple Michel Ange qui a sculpté David. Quelques humanistes étaient aussi passionnés par l’architecture comme Brunelleschi qui a réalisé le Dôme et lanterne de la cathédrale Santa Maria del Fiore à Florence. Les principaux champs de connaissance investigués par les humanistes sont aussi les sciences et les peintures. Les humanistes connus dans ces deux domaines sont Ambroise Paré qui s’est intéressé

industriel : " aucune ombre d'arbre " (l. 10), " grosses planches fermant une voie ferrée " (l.31). Plus loin, il rencontre des éléments de verticalité : " pignons " (l.33), " constructions " (l.40), " cheminée d'usine " (l.40), " cinq ou six lanternes " (l. 42), … • Identification difficile : Le paysage est pauvre, il est " très obscur " (l.2) et sombre ? métaphore " épaisseur d'encre ", la nuit est comparée à de l'encre. La " tête vide d'ouvrier " perçoit confusément le paysage. Il ne distingue

personnifications : « une seul voix montait, la respiration grosse et longue d’un échappement de vapeur » Ce passage peut aussi nous faire craindre la suite du récit car la mort est omniprésente : «  le ciel mort », « des lunes fumeuses », « cinq ou six lanternes tristes », « les bois noircis ». Dans cet extrait la dernière phrase, «  alors l’homme reconnut la fosse », joue un rôle primordial. Cette phrase fait sortir l’homme et le lecteur de cet environnement de ténèbres et de mystères et nous ramènes à

central : un martyr à l'image du Christ en croix. La position des bras, l'attitude face à la mort et la chemise blanche de l'innocence éclairent le tableau. Il symbolise la résistance espagnole. La lumière : éclaire les condamnés et provient d'une lanterne posée au sol. Arrière-plan : le palais Liria (banlieue de Madrid) et la nuit qui représente celle dans laquelle l'Espagne réprimée est plongée. Explication de l'oeuvre : Ce tableau est une RUPTURE avec le néo-classicisme. Les héros ne sont

plus un moyen de montrer sa puissance où bien de se donner bonne conscience. On apprend que plusieurs nobles se battent, pour obtenir la place d'honneur "Noble sire de Chateauvieux, hâtezvous, de peur que le sire de Grugel, qui passe là-bas avec sa lanterne de papier, n’aille s’emparer en votre absence de la place d’honneur au banc des confrères de SaintAntoine!" Les confrères de St-Antoine étant un cercle de nobles qui avaient beaucoup de pouvoirs. Ces places étaient un moyen de montrer son rang social

Am                          Am                 C                        G Ami prends ma lanterne car j’ai perdu ma flamme, Mon amour est parti, Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide, Elle a fait des fertiles des averses, L’aride. Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison A ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union Pensent oublier

Gaumont crée le Chrono de poche, avec un film de15 mm à perforation centrales entraîné par came Demenÿ. Compact, l'appareil était réversible et servait à la prise de vues au tirage des positifs et à la projection en le plaçant devant n'importe quelle lanterne ordinaire. La même année, les Parisiens Reulos et Goudeau proposent le Mirograph mais son film 21 mm non perforé mais simplement encoché sur les bords s'avéra trop fragile. Également réversible, le Kino Ernemann (1903) utilisait du film 17,5 mm à

soigna admirablement dans sa célèbre maison de Passy. Le poète composa quelques poèmes sur ses voyages et plusieurs autres entre ses séjours à Passy et ses internements. En 1855, à l’aube du 26 janvier, on le retrouva pendu dans la rue de la Vieille-Lanterne à Paris, par -18°. Le motif du suicide était sans nul doute, la folie. Sources: « La Quinzaine littéraire » « Le nouveau dictionnaire des auteurs » - LAFFRONT - BOMPIANI

Religion est glorifiée", "L'Autorité est sacrée", "La Stabilité est assurée", "Les Sauveurs se sauveront". Certains passages sont très connus par leurs apostrophes de haut goût : Napoléon le Petit est l'homme qui, tel un voleur, "de nuit alluma sa lanterne - Au soleil d'Austerlitz" ; quand il entre en grande pompe à Notre-Dame, un mois après son crime, le Christ, sur la croix, "avait été cloué pour qu'il restât" ; à ceux qui méprisaient ses invectives en disant : "Bah ! Le Poète ! il est dans les nuages