La Lecture Permet De Se Divertir

Lecture analytique n° Cendrillon, Charles Perrault Charles Perrault est un auteur français du XVIIe siècle. Il est surtout connu pour ses contes qui sont réunis dans son célèbre recueil intitulé Les contes de ma mère l'Oye. Cendrillon ou la petite pantoufle de verre écrit en 1697 fait parti de son ouvrage. C'est un des contes les plus marquants puisque c'est une histoire heureuse et pour tout public. En effet, ce conte nous livre la représentation d'un monde féerique où la jeune héroïne étant

Vierge 3Les citations importantes (dissertation) I. Les textes des Lectures Expliquées - « Comme de vrai, il semble que nous n’avons d’autre mire de la vérité et de la raison que l’exemple et idée des opinions et usances du pays où nous sommes », Michel de Montaigne, Des Cannibales. - « Ce n’est pas comme on pense pour s’en nourrir, ainsi que faisaient anciennement les Scythes; c’est pour représenter une extrême vengeance. », Michel de Montaigne, Des Cannibales. - « Nous les pouvons donc bien

les enseignants : de grandes marques proposent des supports nouveaux pour améliorer leurs cours gratuitement. · Par les éditeurs scolaires : certaines marques ont insérer des publicités dans les manuels scolaire comme par exemple dans un manuel de lecture pour les CP- CE1 édité par Hachette éducation dans lequel on retrouve deux pages consacrées à l’emballage des « chocos » de Kellog’s. · Par le ministère de l’éducation national lui-même : il n’est pas rare qu’il soutienne et même qu’il s’engage dans

Fiche de lecture : 1. Repère : Auteur : Marie Bénilde. Titre du livre : « On achète bien les cerveaux. La publicité et les médias. » Maison d’éditions : Raisons d’Agir. Date de publication : Février 2007. Situation de l’œuvre : « On achète bien les cerveaux » est l’unique livre écrit par Marie Bénilde, on peut donc dire qu’il ne fait pas parti d’un cycle. Contexte politique et culturel : L’événement politique principal de l’année 2007 est l’élection présidentiel remporté par Nicolas Sarkozy

expressive). Bien entendu, le public semble être le destinataire privilégié, mais le monologue est d'abord un dialogue de soi à soi (emploi du 'tu' pour se désigner). Il peut aussi s'adresser à un pers absent (usage de l'apostrophe). Enjeux : le monologue permet d'avoir accès à l'intériorité du pers. Les émotions suscitées chez le spectateur sont donc importantes. De +, sa valeur délibérative implique des conséquences sur l'action à venir : quelle décision est prise ? Quels sont ses effets ? 4) Le dialogue

d’aisance […]. Là son précepteur répétait ce qui avait été lu »l.9 à 11. L’habillement « il était habillé […] pendant ce temps on lui répétait les leçons de la veille »l.15-16 Le travail, le temps d’étude « pendant trois heures on lui faisait la lecture »l.20-22, l’astronomie l.12-14, « on apportait des cartes, non pour jouer mais pour y apprendre mille petits tours … l’arithmétique »l.61-62, « il se prit de passion pour la science des nombres, tous les jours »l.63 Le sport « s’exerçant le corps

dans L'Illusion comique (1635)? Servir les gens d'honneur est mon plus grand désir ; J'ai pris ma récompense en vous faisant plaisir. On pourrait voir dans cette réplique une signature de Corneille, qui définit humblement son art comme celui de divertir les « gens d'honneur », c'est-à-dire la cour. C'est bien la fonction du dramaturge au XVIIe siècle. En effet, le signe le plus manifeste de cette présence de l'auteur consiste dans l'évolution du discours selon la condition de l'écrivain. Dans Chatterton

était appuyé bien plus tard par Jacques Lassalle, metteur en scène contemporain français qui disait que ce qui était plus drôle était le plus profond. En effet, sa phrase invite au questionnement; ce qui est drôle n'est-il pas sensé faire rire pour divertir? La comique servirait-il donc à exprimer quelque chose d'autre que l'amusement? Le comique pourrait-il même faire réfléchir? Si c'est le cas alors nous pouvons nous demander en quoi le comique est un moyen pertinent pour faire réfléchir. Pour répondre

Rappeneau (1995) Lectures cursives obligatoires : L'étranger, Albert Camus (1942) Séance 1 : L'arrivée aux Omergues (2H) Objectifs : Étudier un premier mode de construction indirecte du personnage à travers l'adoption d'un point de vue interne qui donne à lire les sensations et les pensées successives du héros. Analyser la dramatisation du récit dans cette page clef du roman qui met en scène la première rencontre d'Angelo avec la mort. Support : Extrait n°1 en lecture analytique : p47/49

fortune. L’extrait  : A la scène 5 de l’acte II, Argan demande à Cléante, qu’il prend pour le maître de musique de sa fille, de la faire chanter. Le jeune homme accepte et précise : « Il m’est venue en pensée, pour divertir la compagnie, de chanter avec mademoiselle une scène d’un petit opéra qu’on a fait depuis peu ». - Problématique  : En quoi cette scène est-elle structurée autour d’une mise en abime, qui interroge les rapports entre spectacle