La Liberté Chez Rousseau

l’éducation comme héritage 2.1. Chez Platon et Socrate 2.1.1. Distinction entre deux rapports au savoir 2.1.2. Dialogue et maïeutique socratique 2.2. Rousseau et l’éducation 2.2.1. Faculté de se perfectionner 2.2.2. Reconnaissance de l’enfant 2.2.3. Education négative et positive 2.2.4. Liberté et rapport à la loi 2.3 Kant et l’éducation 2.3.1. Devenir homme par l’éducation 2.3.2. Education, instruction et discipline 2.3.3. L’éducation entre contrainte et liberté 3. L’âge d’or du pédagogique

l’homme devient un environnement infernal. De plus, l’homme a instinctivement besoin d’être commander. Et ce fait d’être dirigé garantit une sécurité avec les autres pays. Lorsque les hommes ne sont pas gouvernés, ceux-ci acquièrent une certaine « liberté » dans le sens où ils sont libres de faire ce qu’ils veulent, d’assouvir leurs désirs. De plus, si les hommes ne sont pas guidés, c’est-à-dire si les hommes vivent dans une anarchie ou un nihilisme, soit un état sans loi, cela peut gravement dégénérer

considérable de l’économie, de la société et des mentalités. Ni Louis XIV ni Louis XV n’ont entrepris les réformes nécessaires à l’accompagnement de cette transformation qui conduira à la chute de l’Ancien Régime. Les écrivains philosophes (notamment Rousseau, Diderot, Voltaire et d’Alembert) ont éclairé et favorisé les esprits, ce qui aboutira à la Révolution Française, en contestant les bases politiques et idéologiques tout au cours de ce siècle. Il n’y a pas que les hommes qui participent à ce mouvement

désacralisation de la loi : les terribles expériences nazis, fascistes et vichyste ont provoqués cela en faisant comprendre que le législateur n’est pas infaillible et que le gouvernement pouvait se tromper, que la loi pouvait porter atteinte aux libertés et droits fondamentaux de l’homme. Mais c’est sert de se protéger contre la loi pas seulement contre les actes du pouvoir exécutif. La loi n’est plus au sommet du système normatif. Le développement du constitutionnalisme (= mouvement d’apparition

s’obtenir, selon lui, qu’à travers une révolution. Jean-Jacques Rousseau, à travers Emile ou de l’Education, s’adresse à tous les jeunes gens qui arrivent en âge où ils doivent prendre un métier et/ou assurer leur statut : il critique donc particulièrement les jeunes nobles pour leur faire prendre conscience qu’ils risquent de faire de mauvais choix. En effet, c’est une catégorie oisive qui reste dépendante d’un titre, alors que Rousseau revendique l’honneur de faire un métier dont on peut être fier

Commentaire de texte Rousseau: Jean-Jacques Rousseau est né à Genève en juin 1712. Dès sa naissance sa mère meurt ; il est donc élevé par son père, puis par un pasteur genevois. Et à 16 ans il est recueilli par Mme de Warens. Il s’installe à Paris en 1742. Il fréquente le milieu littéraire et rencontre notamment Diderot, Condillac, Grimm, d’Alembert avec qui il se lie. Rousseau participe à la rédaction d'article de musique pour l'encyclopédie. Il entre dans l'histoire des idées avec ses

celles de l'époque, du moins celles du « bas peuple » de l'époque. On voit aussi dans les textes du courant littéraire du naturalisme et celui du réalisme, des descriptions presque scientifiques des mœurs de l’époque. On peut le voir par exemple chez Zola, dans Thérèse Raquin, roman racontant comment un couple adultère cherche à se débarrasser d'un mari devenu gênant. Ce livre est un miroir de la société du XIXe siècle, on le voit notamment dans la vie de « petits-bourgeois » que vivent les personnages

archives. Point de rupture : Barthes qui abandonne le schéma narratif. Michon : fragmentation des Vies minuscules, réflexion sur la mémoire et l’archive (vie de gens très ordinaires). - Murat note le déplacement d’une éthique individuelle (Augustin, Rousseau), où l’autobiographe dote le récit de sa vie d’une fonction explicative, d’aveu et d’apologétique, à une éthique collective (Michon s’implique par métonymie secondairement dans les vies d’autrui). b) pacte et transaction : la part du lecteur

partir de 1750. Les lumières correspondent à un mot d’ordre dès le début du 18ème siècle. La génération des lumières philosophiques, Montesquieu, Diderot, Voltaire, Rousseau, est annoncée par Bayle et Fontenelle. C’est un combat des philosophes Européens. Les lumières ont leur figure, les philosophes sont les défenseurs de la liberté de penser, de la science et de la tolérance en France religieuse. Leur idéal est le bonheur dans une société prospère et juste. En 1789, c’est la révolution française

L’Etat est-il, pour la liberté de l’individu, un obstacle ou une condition nécessaire ? Le problème est ici de savoir pourquoi les hommes ont instauré l’Etat. Cette réponse pourra nous faire prendre conscience de l’importance du rôle de l’Etat ainsi que la nécessité d’instaurer des lois. Nous nous demanderons donc si une société sans lois est pour autant une société libre, puis nous verrons si l’Etat nous empêche d’être libre ou si au contraire il est la condition de notre liberté. Première partie :