La Liberté Est Elle Une Condition Au Bonheur

Morale 1)Développez la notion de Bien qui contribue à notre bonheur personnel. Etayez ce constat à travers notre système politique. Notre systeme politique est basé sur une démocratie représentative, c'est-à-dire que l'on laisse à des représentant la volonté générale des citoyens, de ce fait ils représentent la nation et sont élu par les citoyens. Aristote dans Éthique à Nicomaque insiste sur le fait que la politique est à la recherche du "bien suprême de l'homme". Il faut constater tout de

l'ami de tous en même temps que l'ennemi de chacun ? Dans les conversations courantes, on parle souvent de l’Etat comme d’un mal nécessaire. D’un côté il imposerait des entraves aux individus à travers le système judiciaire et menacerait les libertés à cause des dérives des gouvernants, de l’autre, il serait incontournable pour garantir la sécurité et la propriété privée, assurer le bon état des infrastructures etc. Garant d’un certain nombre d’intérêts qui nous concernent tous, il menacerait

LE RÔLE DES PHILOSOPHES I) Introduction Un philosophe est un penseur qui réfléchit sur le monde, l’homme et la condition humaine. Les premiers philosophes ayant marqué l’histoire sont ceux de l’antiquité grecque. Il s’agit de Platon, Socrate et Aristote. Les philosophes auxquels nous allons nous intéresser sont ceux du XVIIIème siècle plus communément connus sous le nom de « philosophes des lumières ». Cette période, appelée « Siècle des Lumières » s'étend grossièrement de 1715 à 1815. Il s'agit

en société, de suivre « l’effet de masse » et de suivre les codes universels. Ces valeurs sont contradictoires avec la notion de désir qui nous pousse à défier ces codes en vue de les satisfaire. Une action ne peut avoir de valeur morale qu’à la condition qu’elle s’oppose à nos inclinations, c’est-à-dire à nos désirs, nos passions, nos sentiments : seule une action morale est véritablement morale, c’est-à-dire est faite par devoir, lorsqu’elle exclut toute inclination, même conforme au devoir. Seule

rester dans ses limites. Qu’elle se borne à être juste ; nous nous chargerons d’être heureux »1. Cette phrase, tirée du célèbre discours de 1819 de Benjamin Constant – De la liberté des Anciens comparée à celles des Modernes – nous interroge sur les relations entre les deux notions qu’elle convoque : le politique et le bonheur. Nous pouvons premièrement nous accorder si une définition du politique comme étant ce qui relève de l’exercice et de l’organisation du pouvoir dans une société organisée

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique

d’introspection, de remise en question. La “morale” des cyniques grecs plaçait la liberté de l’individu et sa totale indépendance comme principe premier, fondamental à son épanouissement. C’est pour commencer en cela que Houellebecq se trouve en désaccord avec eux. Il faut savoir que les cyniques grecs plaçaient l’animal au dessus de l’homme dans la hiérarchie “cosmique”, parce que l’animal avait cette indépendance et cette liberté naturelles qui font défaut à l’homme. Les animaux étaient donc considérés

faut vivre. « Bonne » règle de vie : double sens. Une règle de vie peut être « bonne » au sens où elle nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le projet d'accomplir tous les désirs est-il réalisable ? N'y a-t-il pas une contradiction implicite entre l'assouvissement de

|éclairée | |But de la vie |Rejoindre Dieu, sauver son ame. |Bonheur sur Terre. Bonheur = bien être, | | | |bonheur de jouissance | |Conception de la vie |L’Homme a des devoirs naturels .L’Homme a des|L’Homme a des droits naturels( aboutira aux

LETTRE A MENECEE, Cours sur une œuvre de lecture suivie EXPLICATION DU TEXTE : Introduction : a) Pourquoi une méthode du bonheur ? Epicure propose une méthode du bonheur dans cette lettre, qui comporte deux originalités : -c’est une méthode corrective. Elle ne concerne que ceux qui ne parviennent pas à être heureux. Sous-entendu que ce n’est pas la seule méthode possible, même si elle lui semble la plus efficace. Elle repose, comme il l’indique en préambule, sur l’activité philosophique