La Liberté Réalité Ou Illusion

La liberté est une valeur que plusieurs philosophes ont essayé de définir pendant longtemps. Une chose reste certaine, tous les hommes cherchent à l’obtenir. Cependant si certains prétendent être libres, comment pourraient-ils le prouver? Si nous sommes réellement libre, il serait facile de le prouver, alors qu’au contraire, cette difficulté à le prouver pourrait indiquer qu’en réalité nous ne somme pas libre. Je présenterai dans un premier temps la conception déterministe de la liberté. J’enchainerai

positif. Parfois, par accident, obligation ou faiblesse, des bribes d'elle-même se rangent du côté funeste et avec regret. Un facteur de liberté Évidemment, cette part sombre du monde scientifique, alimente les suspicions à l'encontre du progrès. Certains philosophes, estiment ses erreurs comme des points négatifs. Ils en viennent alors à douter de la réalité d'un progrès positif. On retrouve me semble-t-il, cette vision dans la philosophie d'Herbert Marcuse. Pour le philosophe allemand, le détournement

l’intermédiaire de notre sensibilité. Les réalités sont d’abord celles de notre existence quotidienne dont nous nous contentons habituellement pour vivre. Nous avons emmagasiné depuis notre enfance une grande quantité d’opinions que nous avons crues vraies et qui se sont révélées incertaines ou fausses. Les opinons sont des jugements que l’on porte sur des choses ou sur des personnes. Elles sont imprégnées de nos craintes et de nos désirs qui déforment la réalité. Je juge les êtres tels qu’ils m’apparaissent

La liberté est facile à définir. Elle est la faculté d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est la capacité de se déterminer soi-même à des choix contingents. Mais alors qu’est-ce que le libre arbitre ? Descartes le définit comme un pouvoir de décision. En effet, personne ne peut savoir ce que l’on fera demain, pas même une science. On sait qu’on est libre parce qu’on le sent. Or, d’autres philosophes comme Spinoza nie la notion

L'objet y devient une force capable d'hypnotiser le sujet. La cause du désir fait du sujet son effet, en modifiant sa réalité mentale. Le sujet peut certes ne pas se rendre compte de ce processus où il est plus passif qu'actif. C'est que de son point de vue, désirer, tendre vers, relèverait d'une activité, dans la mesure où il espère le plaisir. Mais ce peut être une pure illusion, ce que montre les passions, c'est-à-dire des désirs (ou des sentiments) démesurés, excessifs. Le sujet est littéralement

représentante des femmes de son temps. Elle est froide et irréprochable au début de la pièce, elle écarte les invitations dont elle est l'objet, mais s'agace de l'attitude de son mari. Sa curiosité s'en éveille. Marianne n'est pas une femme libre, sa liberté, ce sera l'homme qu'elle choisira pour amant. On lui a imposé un mari, on ne lui imposera pas son amant. Elle rejète alors Coelio qu'elle ne connait pas. Elle n'est pas sincèrement attachée aux pratiques religieuses mais elle va à la messe car c'est

Comment et pourquoi une fortune appétissante se révèle-t-elle finalement comme une illusion à fuir ? I – Moralité, Narration, description : des places réduites mais significatives : a) La moralité est implicite et se dégage de l’ensemble de la fable (mais esquisse au vers 40). Pas de commentaire du narrateur. Morale : la liberté n’a pas de prix / Il vaut mieux vivre libre mais pauvre que riche et non libre. b) La narration occupe peux de vers mais elle est placé sous le signe du mouvement

eau apprivoisée, lumière des ampoules, nature encagée ( arbre, mets, bâtards, squares) * ce citadin-là est un homme domestiqué, esclave des règles et de la routine, incapable de reflexion Or le narrateur sait lui que le confort n’est qu’une illusion dangereuse, qu’il existe une nature libre, sauvage, menaçante ------------------------------------------------- AXE III « UNE GRANDE NATURE VAGUE » 1. Définitions : ensemble de forces naturelles qui peut se venger de l’excès de domestication

théâtre est le domaine le plus apprécié de nombreux auteurs aux XVII et XVIIIème siècles. C’est au cours de cette période qu’il s'étend le plus. Il est alors considéré comme une véritable forme d’écriture reconnue et permet de s’exprimer en toute liberté. C’est entre 1600 et 1660 que l'auteur et le metteur en scène sont dissociés ; ainsi la mise en place d’un spectacle est complète. De cette manière, "l'illusion créée par le théâtre éloigne-t-elle le spectateur de la vérité ou lui permet-elle de s'en

correspond bien à ce double rôle. Le professeur nous laisse la liberté de lui attribuer d'autres fonctions. J'ai commencé à réfléchir, et j'ai trouvé mon plan : I) Instruire et divertir : deux rôles différents 1) Le théâtre sert souvent de divertissement - le comique : Le Bourgeois Gentilhomme, Le Tartuffe, Molière - la Cantatrice chauve, la Leçon, Ionesco 2) Mais certaines pièces ont pour but d'instruire - Andromaque, Racine : illusions de l'amour et idéalisation héroïque effet carthartique