La Libre Esthétique

possible? Pourquoi est ce plutôt paradoxal ? Une oeuvre d'art est un objet spécifique qui, avant même de posséder une quelconque valeur esthétique (la "beauté") se définit comme symbolique et expressif, très différent en ce sens de l'objet naturel ou de l'objet technique. La beauté, que l’on attribue notamment aux œuvres fait l'objet d'un jugement dit « esthétique » qui semble etre personnel, surtout si on le compare au jugement « éthique » (portant sur le bien) ou au jugement « logique » (portant

apparu dans les années 1960 mais dont les origines remontent aux ready made de Marcel Duchamp au début du xxe siècle. L'art est défini non par les propriétés esthétiques des objets ou des œuvres, mais seulement par le concept ou l'idée de l'art. 2) Les années 60 marquent le réel début de l’« art contemporain ». Les catégories esthétiques traditionnelles, peinture et sculpture, explosent. Importent plus l’intention de l’artiste, sa démarche, ou, mieux encore, le « concept »… Focus sur l’art conceptuel

conception de la beauté et ses déplacements référentiels au cours des siècles. Partant de l’hypothèse que « l’histoire s’inscrit dans le corps », que « silhouettes et formes changent avec le temps », l’auteur met en évidence les évolutions des codes esthétiques et des « manières de les énoncer comme de les regarder ». L’ouvrage offre une histoire de la beauté observée et décrite par des acteurs qui produisent à son propos mots et images. Poursuivant ainsi ses travaux sur les rapports aux corps, l’auteur

le percevons tel qu’il est, du point de vue esthétique. C’est à cette vision des choses que les artistes nous convient. De sorte que le but de l’œuvre d’art n’est pas en elle-même. C’est une manière de nous apprendre à regarder toute chose sous un angle nouveau. C’est alors que l’on se demande : à quoi sert l’art ? Pour Kant, l’art et le beau doivent être désintéressés. Le beau doit être distingué de l’utile. En effet, on doit distinguer « beauté libre » et « beauté adhérente ». Par exemple, admirer

se développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle (1600-1690). Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. Le respect des règles qui doivent permettre la production d'œuvres de goût inspirées des modèles de l'art antique marqués par l'équilibre, la mesure et la vraisemblance. Littérature baroque Grand

la beauté.B) Le sentiment de plaisir essentiel dans le jugement de goût plaisir similaire devant un phénomène esthétique qui ns permet de savoir si une œuvre est belle. Le plaisir proviendrait à la fois des expériences vécus par l’esprit et par les qualités de l’objet. Précense tt de même de règle d’art qui nous permettent de distinguer les bons des mauvais sentiments,C) Pour une esthétique expérimentale Nous ne pouvons pas accéder à la norme du goût de façon immédiate car cette norme est toujours

résultat. L'art apparaît comme étant un moyen en vue d'une fin. La seconde acception appartient elle au champ plus particulier de l'esthétique, l'art est dans ce sens la création artistique, autrement dit l'œuvre d'art qui est objet de jugement esthétique. L’œuvre d’art est un produit purement humain, une représentation particulière du monde, des émotions et d’une sensibilité particuliaire, voire d’un instant spontané et créatif. L’œuvre d’art nous apporte quelque chose, c’est voir en elle la source

d’abord, nous pouvons dire que l’objet est une chose considérée comme un tout, fabriquée par l'homme et destinée à un certain usage, c’est quelque chose de tangible et non vivant. Il y a quatre types d’objet, il peut être artisanal, industriel, esthétique, dématérialisé. Il peut avoir une fonction utilitaire comme un stylo par exemple, décoratif comme un bibelot, symbolique comme un chapelet et sans fonction comme un gadget inutilisable. Depuis plusieurs années dans la société, beaucoup de chose

Commentaire de texte. Hegel, Esthétique, introduction. Introduction. Accroche. Quand en 1957 le public américain est allé au cinéma voir le film de Sidney Lumet, Douze hommes en colère, c'était probablement pour oublier ses soucis et s'évader du quotidien. Pourtant, en sortant, il avait reçu la conviction de certaines vérités : l'importance du doute méthodique, la force de persuasion de la raison, la capacité de tout homme à délibérer, ... Le cinéma est souvent présenté comme un divertissement

Critique : jugement appréciatif d’un point de vue esthétique, éthique, philosophique; estimer, évaluer, juger, sentir, percevoir. Les règles d’une critique - Jamais de critique énonçant directement l’opinion de façon explicite. L’opinion doit être suggérée, implicite dans l’approche et le traitement de l’objet critiqué; - Une critique doit être militante. Elle doit avoir une finalité et un parti pris, qu’ils soient esthétiques, sociaux, politiques, éthiques, etc.; - Une critique