La Logique Dialectique

formuler clairement les axiomes fondamentaux de la logique (propositions primitives non démontrables et sur lesquelles sont fondées une essence) par son principe de non-contradiction : une chose ne peut être elle-même et son contraire ; et par son principe du tiers-exclu : de deux propositions contradictoires, l’une est vraie, l’autre fausse. Aristote s’éloigne de Platon en parti par la critique du statut des Idées : pour Aristote, par la logique, il n’y a pas de séparation entre notre monde, sensible

assouvissement nous laisse, et l'immensité de l'espérance que nous placions en lui. La connaissance débute donc pour Platon par la reconnaissance initiale d'un manque, reconnaissance qui doit sans cesse être répétée tout au long de la progression dialectique. Il s'ensuit que la véritable ignorance est pour lui non pas l'absence de savoir, mais le pseudo savoir : croire que l'on sait nous dispense de chercher. On connaît l'anecdote du jeune enfant et de Socrate : il lui demande "sais-tu où est l'Acropole

revue philosophique annuelle Vox sapientiae (Voie de la sagesse), de cette illustre Institution. Il est auteur de plusieurs articles philosophiques inédits dont le plus récent, et en voie de publication a pour titre : Faire et faire faire : une dialectique de l’action agissante et de l’action non agissante. Une approche métaphysique de la notion de responsabilité

volontaire. Mise en place d'une déduction avec un discours qui assure la certitude et la validité du raisonnement. Aristote : 2 types de syllogisme : le Démonstratif : part de prémices vraies conclu au vrai et le Dialectique : formalisation du discours d'opinion, on pars de prémices dialectiques ( probables) et où la forme de raisonnement permet de conclure sans erreur ) une conclusion vraisemblable → Syllogisme permet à la pensée de se développer. Donnée vraies : conclusion vraie / Données probables

que l’on pourrait vous opposer). Ces exigences, toutefois, ne peuvent définir un modèle de plan : chaque problématique appelle son plan, et peut même en susciter plusieurs. Cependant il en existe 3 : Le plan dialectique Il permet d'envisager tous les aspects d'une question. Le plan dialectique exprime une thèse dans la première partie, une antithèse dans la deuxième partie et une synthèse (un dépassement) dans la dernière partie (mais cette dernière partie est difficile est n’est pas forcément attendue

persuader. L’image publicitaire joue essentiellement sur la persuasion. B. Convaincre. Convaincre c’est s’adresser à la raison du lecteur, de l’auditeur ou du spectateur pour lui faire partager une opinion. On use pour cela d’une argumentation logique, de faits ou de statistiques ayant de valeur de preuve. Un raisonnement courant : le syllogisme Le syllogisme est construit en trois temps : deux constatations (prémisses majeures et les prémisses mineures) et la conclusion. Exemple: « Tous les

sujet, il est possible de terminer la conclusion par une ouverture vers ce qui pourrait être un autre sujet, une autre problématique dans le même champ, mais vers d'autres horizons. | | Rappels |   | retour | Ce qui importe avant tout est la logique du raisonnement, la rigueur et la précision de la démonstration. Les connaissances doivent donc être parfaitement assimilées pour s'enchaîner logiquement. | | Exemples de sujets |   | retour | Sujet de type évolutif :La Gauche en France de

où ? quand ? comment ? : l’utilisation du vocabulaire : les figures du discours : l’implicite = ce qu’on suggère 1) Des arguments • Rationnels ou logiques = s’appuient sur l’enchaînement logique de deux propositions ex : « raconter tout serait impossible car il faudrait alors un volume au moins par journée pour énumérer la multitude d’incidents insignifiants

Délimitation de la zone d’étude, situation et étendue géographique… 2. Elaboration d’un plan Tout plan doit être : Logique Cohérent Équilibré Répondant à la problématique que vous vous êtes posée Remarque : un I sans II, un A sans B, un 1 sans 2… n’ont aucun sens, aucun intérêt !!! Votre plan peut être : thèse (arguments pour) – antithèse (arguments contre) … et synthèse en conclusion dialectique ou : oui – mais… / non – mais… analytique démonstratif / descriptif / plan-inventaire d’opposition le problème

........................................................... 15 a – Prédominance de la quantification chez Malthus, idéal de compensation............................................... 15 b - Prédominance de l’ajustement qualitatif chez Darwin, dialectique quantité-qualité productrice de nouveauté....................................................................................................................................................... 16 C - LA SCIENCE ANGLO-SAXONNE.................