La Loi De Consommation Keynésienne

3.1.1 Les composantes de la demande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.2 L’équilibre entre offre et demande globales et l’effet multiplicateur . A. L’équilibre sur le marché des biens . . . . . . . . . . . . . . . . B. Le multiplicateur keynésien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Le théorème d’Haavelmo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Monnaie et taux d’intérêt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 La demande de monnaie . . . . . . . . . . . . .

que la baisse de la consommation est due à une mauvais répartition des revenus puisque, selon lui, lorsque le revenu augmente la consommation aussi mais dans des proportions moins importantes c’est à dire que les personnes fortunées consomment proportionnellement moins que les personnes moins riches. C’est la propension marginale à consommer. On voit bien dans ce graphique que l’augmentation du revenu ( delta Y) est plus forte que l’augmentation de la consommation ( delta C). Donc augmenter

de son rythme a quasi systématiquement des effets négatifs (exemple : voir loi d’Okun : moins de 3% de croissance  hausse du chômage) par mécanisme économique cela se traduit pour un Etat par une baisse des recettes (affectées par le ralentissement économique) et une augmentation des dépenses dans le but de soutenir l’économie. 2) D’autre part il peut également être décidé par l’Etat d’avoir des déficits. Les Keynésiens pensent que le déficit budgétaire peut avoir un effet positif sur la croissance

2 1,8 1,9 2,2 2,3 1,9 1,9 1,7 Question : Exprimez le PIB de la France en € constants en prenant l’année 2000 comme référence (base 100) Pourquoi ? Consommation et croissance : Nous vivons de plus en plus sur un modèle économique fondé sur la consommation, la croissance est le moteur de cette consommation, qui en retour alimente la croissance. Ce modèle économique qui pousse l'individu à consommer toujours plus pose cependant aujourd’hui des questions sur la finalité de notre

3) Autre approche L’hypothèse du revenu relatif avancée par Dusemberry, la consommation, a une période donné dépendant seulement du revenu de cette période mais aussi des habitudes de consommation acquises antérieurement L’hypothèse du revenu permanent de l’économiste Américain Friedman : le comportement des consommateurs et liées au revenu prévu et non au revenu perçu a un moment donné, les erreurs d’anticipation se traduisent a cours terme par une variation de l’épargne L’hypothèse du cycle

lutter contre l’illettrisme) Comment mesure-t-on la production ? Valeur ajoutée : valeur ajoutée au cours du processus de production. Elle est égale a la différence entre le chiffre d’affaires moins la consommation intermediaire. Chiffre d’affaires : total des ventes. Il est égal a P*Q. Consommation intermédiaires : ensemble des produits (biens ou services), on passe en capital fixe lorsque l’utilisation dure plus d’une année. Capital fixe : Ensemble des biens de production dont la durée de vie dépasse

l'influence d’une double mutation, politique et théorique, liée à l'irruption de la crise économique. L'échec des politiques contracycliques de stabilisation a provoqué une très nette défiance à l'encontre des politiques traditionnelles d'inspiration keynésienne. La redéfinition des politiques monétaires et le retour de l'orthodoxie budgétaire ont débouché sur une tendance à réduire le pouvoir discrétionnaire de l'État et à fixer des règles budgétaires et monétaires stables et prévisibles. Au plan théorique

Théorie keynesienne : introduit questions des prévisions, du point de vue des entrepreneurs. Loi de say : 2 formes : Primitive : offre produit sa propre demande. Durant activité de production, agent éco crée des revenus = valeur de l’offre. Idée que la production créé ipso facto des revenus, qui sont distribués à l’occasion de la production. Les individus ont tout intérêt à investir dans ce qui rapporte. Conséquence de l’investissement : baisse du taux d’intérêt. Elaborée : revenus épargnés

variables qui mesurent une réalité à l’échelle de la nation. Ainsi, on parlera de « consommation des ménages » plutôt que de consommation individuelle, de « produit national » plutôt que du 3 chiffre d’affaire d’une firme particulière, ou encore « d’indice des prix » plutôt que du prix pratiqué par une firme ou du prix d’équilibre sur un marché particulier. Quelques exemples: Consommation privée = somme des consommations des ménages nationaux Produit national = somme des production des entreprises

productives aptes à promouvoir la richesse de la nation. EPARGNE : Condition nécessaire au bon fonctionnement de l’économie INVESTISSEMENT : Conséquence de l’EPARGNE CONSOMMATION : « Destruction des richesses » « Le désir d’épargner peut être invisible car il va limiter les débouchés de la production » Dupont De Nemours LOI DES DEBOUCHES (J.B SAY) L’offre créé la Demande. La monnaie n’a de la valeur que quand on l’utilise. SISMANDI : Le problème c’est l’organisation sociale. Préconise