La Loi Est Elle Juste

Ce qui est juste c’est ce qui est conforme au droit et à l’égalité des personnes. La justice est l’objet de discussions. Lorsqu’il y a un conflit, les deux parties pensent toutes deux être du coté de ce qui est justes. Même si l’on admet que la mauvaise foi puisse intervenir, il n’en reste pas moins que nous n’avons recours à des arbitrages que parce que la justice n’est pas chose évidente qui s’impose immédiatement aux yeux de tous. Il y a cependant des injustices flagrantes, et pas seulement aux

Dissertation Dans l’histoire d’Antigone, lorsqu’elle doit s’expliquer devant son oncle, maître de la cité, celle-ci admet que son geste est à l’encontre de la loi mais le trouve malgré tout juste alors que Créon, son oncle, le trouve injuste. Or le juste et l’injuste de sont-ils que des conventions ? Tout d’abord nous pouvons penser que le juste et l’injuste ne sont que des conventions, au sens où ce sont bien des conventions, mais que ceci est positif pour la société car ces notions, inventées par

partie : «  Avons-nous le droit de discuter le droit ? » ou : « A quelles conditions peut-on contester la loi ? ». « Peut-on se faire justice soi-même ? » I-/ Les conditions du conflit. Qu’est-ce qui peut amener à désobéir ? La différence entre le légal et le légitime, c’est-à-dire entre le droit positif et le droit naturel Le droit positif : Il dit ce qui est permis ou non. C’est la loi qui parle. Il délimite ce que les lois permettent et ce qu’elles interdisent. Il indique la borne dans

par Hobbes dans l’extrait étudié est alors de savoir ce qui caractérise une bonne loi. Quels sont les critères d’une bonne loi ? Hobbes apporte une réponse nouvelle à cette question ancienne. Il est en rupture avec les thèses anciennes affirmant qu’une bonne loi est une loi juste. En effet, sa thèse est qu’une loi bonne n’est non plus une loi juste, mais une « loi nécessaire au bien du peuple et claire ». La bonne loi, selon lui, doit donc permettre d’assurer la protection du peuple, son bien-être

monde ou les hommes seront livrés a eux mêmes, des rapports de force naîtra entre ces hommes guidés par leurs propres idéaux, et par des hommes qui n'auront pas a répondre de leurs actes devant une cour de justice car une seule loi régnera selon Caliclés '' Seul la loi du plus fort peut subsister '' Le monde serait plongé dans un monde ou les faibles ne pourront rien faire a part accepter les lois qu'imposent les plus fort. Les rapports qui existeront seront des rapports de maître a esclaves, l'esclave

elles sont censées appartenir apparait donc comme un mot creux désignant tout et son contraire. Pour Eschyle, plusieurs conceptions de la justice s’affrontent : celle des Erinyes et celle d’Apollon, dans un cas une justice vindicative basée sur la loi du talion et dans l’autre cas une justice plus distributive basée quand a elle sur l’équité. Il parait donc impossible de s’accorder sur ce que signifie le terme de justice. Apparait alors le scandale d’une justice injustice, pour pascal, les hommes

Homme et Nature dans le système juridique où la loi naturelle est souvent contredite par la loi humaine.On se demande dès lors si la justice selon la loi humaine est juste. Ou doit-on se référer à la justice de la loi naturelle ? Laquelle reçoit la préférence de Calliclès ? Pour Calliclès, personnage fictif qui est adversaire farouche de Socrate dans le dialogue de Platon intitulé « Gorgias », la bonne justice implique la suprématie de la nature sur la loi. Il affirme que l’égalité entre les hommes doit

Autrement dit, on admet qu’il ne suffit pas de ne pas enfreindre les lois pour être juste. Cependant, c’est à la fois exiger plus de chacun qu’il ne peut et surtout ouvrir la voie à une compréhension individuelle de la justice qui est susceptible de se transformer en destruction de la vie sociale. On peut donc se demander s’il y a des conditions qui font qu’il n’est pas suffisant de ne pas enfreindre les lois pour être juste. On peut constater que les lois changent en fonction des sociétés. Avoir

définir le fondement du droit, et plus précisément, dans le passage étudié, ce qu’est la loi lorsque prise comme principe du droit. Partant de la loi comme point de départ, ce monologue se propose en effet d’argumenter cette position au travers de trois définitions, consacrées tour à tour au statut naturel de la loi, puis à la sémantique choisie pour l’envisager, et enfin aux différents niveaux qui composent la loi, dans le but de retenir le plus évident comme étant le principe du droit. En guise

pour désigner ces deux réalités (jus, « ce qui est droit ou juste »). Toutefois, elles ne sont pas de même nature : le droit (au sens de positif) est un système de règles instituées par les hommes tandis que la justice est un principe moral universel. En fait, le droit serait l'application positive de la justice à la société. Si le droit a la volonté d'appliquer la justice universelle et éternelle, cela signifie-t-il que le droit est juste ? N'existe-t-il pas une incompatibilité entre la relativité