La Légende De Faust

Les printemps éternels (Travail de création littéraire) Par Malek Saada Groupe : 00601 Travail remis à David Faust Dans le cadre du cours 601-102-04 : La littérature française d’hier à aujourd’hui Collège de Maisonneuve – Formation continue Hiver 2010 Les printemps éternels Chapitre premier J’ai feuilleté les pages de ma mémoire pour t’écrire une histoire, et dans ce marché aux souvenirs, il a fallu que je ralentisse, que je prenne mon temps comme l’aurait

images ac de nouveaux plans * Thématique : faute originelle, malédiction, épidémie, rejet de l’individu par une communauté. * Plusieurs gds films : Nosferatu, Le Dernier des Hommes (1924), Tartuffe (1925), Faust (1926) * Films qui touchent à l’allégorie. Gds thèmes/légendes germaniques * 1926 part aux US et meurt d’un accident de voiture.

Allemagne. ------------------------------------------------- « Sturm und Drang » (Tempête et assaut) ------------------------------------------------- Il est caractérisé par le goût pour la nature sauvage, l’expression du ‘‘moi’’, la légende médiévale. (Goethe Faust ou Les souffrances du jeune Werther) ------------------------------------------------- 3. ------------------------------------------------- En France ------------------------------------------------- Dans les 15-20 années qui

d’Homère. Doktor Faustus, Thomas Mann reprend le thème du pacte avec le diable, mais Faust est un musicien contemporain (double de Schönberg, qui a fondé la musique dodécaphonique, basée sur une série de douze sons dont aucun ne doit se répéter, musique codifiée avec Berg et Webern) qui passe un pacte avec le diable permettant sa création mais le prix à payer pour le génie est la syphilis. La légende de Faust remonte à la Renaissance, un savant vend son âme en échange de la connaissance, au moyen-âge

Auteurs | 1800 | De la littérature | Mme de Staël | 1801 | Atala | Chateaubriand | 1802 | Le Génie du christianisme | Châteaubriand | 1804 | Oberman | Senancour | 1810 | Le prince de Hambourg | Kleist | 1812 | Contes | Grimm | 1816 | Faust | Goethe | 1819 | Ivanohé | Scott | 1820 | Méditations poétiques | Lamartine | 1820 | Odes | Keats | 1821 | Smarra | Nodier | 1823-1825 | Racine et Shakespeare | Stendhal | 1827 | Cromwell | Hugo | 1829 | Wilhelm Meister | Goethe |

L’IDÉAL FÉMININ SYMBOLISTE : FEMME RÊVÉE, FEMME FATALE, FEMME DE LÉGENDES Solène Camus Introduction Pour cette section, nous avons choisi comme thème l’idéal féminin chez les symbolistes. Plusieurs facteurs justifient notre choix, mais le premier est probablement de répondre à l’énigme posée par Baudelaire quand il dit : « La femme est naturelle, c’est-à-dire abominable. » (extrait de « Mon cœur mis à nu » dans ses Journaux intimes). Alors que le Féminisme commence à se faire entendre

nous verrons les relations qu'entretiennent ces deux arts dans le contexte fantastique. I - LE FANTASTIQUE EN LITTÉRATURE : Dans les légendes, les contes, les récits, les mythes, on a toujours noté la présence de magie, de surnaturel ou encore d'étrange. Alors qu’au Moyen Age, on parle merveilleux comme dans Merlin de Boron où se mêle à la fois légende et imaginaire, le fantastique, lui, n'apparaît qu'à la fin du XVIIIe avec l'ère industrielle. A l’inverse du merveilleux, l'irrationnel et le

des muses, il joue aussi de la cithare, sorte de lyre. Lusignan et Biron : Nerval pensait descendre d’une ancienne famille du Périgord, apparentée aux Biron et Lusignan. Lusignan était un comte de Poitou qui devint roi de Chypre et qui, selon la légende épousa la fée Mélusine (abréviation de la Mère de Lusignan). Vers 10. Qui est la Reine ? La majuscule nous indique qu’il s’agit sans doute d’un symbole ou d’une allégorie. La note d’un manuscrit des Chimères vient nous éclairer. Nerval a porté

est supérieur dans la hiérarchie comme le « bateau-mère » ce qui est premier dans la vie de quelqu'un (langue maternelle) ce qui est premier, le plus important (carte mère) ce qui est aux principes de toutes choses : Les Mères (cf. Faust II, Goethe) la création de la Nature : Mère Nature . La mère dans l'art Sur les autres projets Wikimedia : Mère dans l'art, sur Wikimedia Commons Littérature La Mère, de Maxime Gorki La Mère, de Pearl Buck Le

mère. Elevé dans le Valois, il sera marqué par les paysage, les légendes et impressions de cette région. En 1836, il s’éprend d’une actrice, Jenny Colon, qui deviendra dans son œuvreAurélie ou Aurélia (1853). Il s’intéresse à la mythologie, à l’ésotérie, à l’occulte et au surnaturel qu’il retraduit dans ses œuvres. Auteur sensible, il perd peu à peu la raison. En janvier 1855, on le retrouve pendu. Œuvres : Traduction de Goethe (Faust...), Aurélia, Pandora, Les Chimères...