La Main Aristote Explication

rapport a telle ou telle situation politique ou historique, on assiste a la formation d’une conscience politique ou d’une conscience historique. - En un autre sens, on évoque le remords, le regret d’avoir commis une faute par l’expression « Jurer la main sur sa conscience.» ou « En son âme et conscience » quand la culpabilité de l’accusé/l’incriminé ne lui est plus supportable. (( Dévoilement/transparence/Moi profond face au juge par exemple.) Le dévouement total, l’implication parfaite dans une

partir de la notion d'opinion publique. Celle-ci est-elle l'opinion de tous les citoyens? D'une majorité d'entre eux ? Quel est donc le "public" qui serait l'auteur d'une opinion générale ? Il serait utile dans un premier temps, de proposer une explication précise du texte d'ALAIN, afin de poursuivre ensuite la reflexion à partir de l'énoncé de la problématique évoquée plus haut. IV - UNE DEMARCHE POSSIBLE A - REFLEXION SUR L'OPINION PUBLIQUE ALAIN réfléchit sur les opinions connues,

correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant l'école classique. 1)Antiquité et Moyen-Age. Aristote est un philosophe du IV ème siècle avant J.C, il est à l'origine du savoir économique car il distinguait 3 sciences de l'homme: éthique, économique et politique. L'économie concernée la production des richesses. Au Moyen-Age, cette réflexion s'est

culturel tout ce qui n’est pas naturel, ce qui suppose l’intervention humaine par opposition avec ce qui existe antérieurement à cette intervention. Une trace de ce sens apparaît dans le mot"agriculture" littéralement la culture de la terre, ce que la main de l’homme fait pousser en opposition à la nature. Cette définition reste pourtant insuffisante puisqu’elle est doublement négative (on définit la culture par opposition à la nature mais sans encore dire ce que sont positivement l’une et l’autre

l’origine. Ces mythes, comme toujours, ne nous renseignent évidemment pas sur la véritable origine des phénomènes dont ils prétendent rendre compte, mais ils nous renseignent bien, en revanche, sur la manière dont l’homme perçoit ces phénomènes. Les explications inventées par l’homme montrent comment il perçoit la chose à expliquer. Les aspects négatifs et aliénants du travail sont assez évidents : ils transparaissent déjà à travers l’éloge du travail ! Le premier et le plus fondamental aspect négatif

crise : mariages diminuent et célibat prend de l’importance. Parallèlement, croissance des divorces fait apparaître nvx modèles familiaux : familles monoparentales, recomposées… pas surprenant que naissances soient moins nbrses qu’autrefois. - Explications de cette crise: changement ds les valeurs pt permettre de comprendre cette évolution; l’émergence d’un désir de liberté, à ts les niveaux dans la société française, aboutit au refus de tte contrainte et aiguise le désir de vivre pleinement sa vie

c’est-à-dire, indépendamment d’un dialogue avec le praticien de l’art. C’est la période des positions tranchées des affirmations massives sur l’art ou le beau. Parmi les philosophes représentatifs de cet âge, nous pouvons indiquer : Socrate, Platon, Aristote, Plotin, St Augustin, St Thomas d’Aquin et Descartes. SOCRATE (470-399) Pour Socrate, l’artiste, qu’il soit peintre ou sculpteur, doit chercher à exprimer la vraie beauté de l’âme, la beauté essentielle de l’esprit. Platon dira même dans le Phédon

philosophiques qui s’inspirent d’un courant qu’on nomme la psychologie phénoménologique. À cette époque, il essaie d’expliquer le fonctionnement de certains aspects de l’esprit humain en prenant la conscience comme point de départ de toutes ses explications. Plus précisément, le philosophe français cherche à comprendre comment les images se forment dans notre esprit. À ce sujet, les titres des écrits philosophiques de cette période sont évocateurs : L'imagination; La transcendance de  l'ego; Esquisse

développaient leurs idées en la matière. Citons, par exemple, Socrate pour qui une planification des unions conjugales et des naissances par les détenteurs du pouvoir s’inscrivait dans un projet global d’organisation de la cité idéale. Citons également Aristote qui recommandait, quant à lui, de façon très explicite, d’adopter des pratiques d’exposition et d’avortement envers les nouveaux-nés dans son ouvrage intitulé "Les Politiques". Les mesures qu’il y préconise sont très énergiques. Il écrit, en particulier

le XVI è siècle. Exemple : Aristote condamnait la chrématistique (croissance infinie de biens matériels) car elle n’avait d’autres buts qu’elle-même, elle était sans finalité (sans fin ni but). Aristote considère que l’enrichissement sans fin n’est pas générateur de bien-être. Alors que pour nous aujourd’hui, la chrématistique est ce qui dicte le but de nos sociétés. Avec les précurseurs apparaît la notion d’économie politique. Alors que l’économie pour Aristote ne peut être politique et inversement